sur Paris DD 20 Go [VDS] - Achats & Ventes
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:24:47
fabd a écrit a écrit : facture garantie ? |
A pas facture, cadeau d'un fournisseur
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:25:56
oki, pour ce prix, jprefer en avoir un neuf vu ke ca clak 1 fois sur 2 les disques dur
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:27:04
fabd a écrit a écrit : oki, pour ce prix, jprefer en avoir un neuf vu ke ca clak 1 fois sur 2 les disques dur |
Je te comprend.
Si je le vend c'est pas a cause de souci(s), c'est pour prendre plus gros Voila tout
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:27:16
fabd a écrit a écrit : oki, pour ce prix, jprefer en avoir un neuf vu ke ca clak 1 fois sur 2 les disques dur |
j'ai ouvert un ibm 18G qui etait bloqué
il tourne maintenant mais je sais pas combien de temps
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:29:25
krampous a écrit a écrit : j'ai ouvert un ibm 18G qui etait bloqué il tourne maintenant mais je sais pas combien de temps |
Arf pas longtemps à mon avis, si c'est sous vide c pas pour rien.
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:31:43
ducateam a écrit a écrit : Arf pas longtemps à mon avis, si c'est sous vide c pas pour rien. |
ben ya deja une semaine et pas dblem,jlui ai mis un bas novo et nickel
je sais qu'il va lacher mais quand
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:34:27
krampous a écrit a écrit : ben ya deja une semaine et pas dblem,jlui ai mis un bas novo et nickel je sais qu'il va lacher mais quand |
Ca c'est la surprise
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:37:50
ducateam a écrit a écrit : Ca c'est la surprise |
sacré surprise
pu garanti et pas moyen de mettre des trucs importants dessus
enfin c'est pour tester car tant qu'il tient c'est bon
Marsh Posté le 12-08-2002 à 12:50:50
senado a écrit a écrit : tu peux livrer à Saint Germain en Laye ? |
Faut voir..
Marsh Posté le 12-08-2002 à 12:51:58
pour 45?, si tu passes dans mon coin, je te le prends. Mais je peux vraiment pas monter sur Paris...
Marsh Posté le 12-08-2002 à 12:55:18
senado a écrit a écrit : pour 45?, si tu passes dans mon coin, je te le prends. Mais je peux vraiment pas monter sur Paris... |
Si c bon pour toi le week end qui viens, genre Samedi, oki
Marsh Posté le 12-08-2002 à 13:49:34
En fait je bosse à Saint Germain en Laye, donc pour moi la semaine serait plus pratique, sinon le week end je suis sur Saint Quentin en Yvelines... Si ça te complique trop la vie, laisse tomber, c'est pas grave !
A+
Marsh Posté le 12-08-2002 à 14:18:46
senado a écrit a écrit : En fait je bosse à Saint Germain en Laye, donc pour moi la semaine serait plus pratique, sinon le week end je suis sur Saint Quentin en Yvelines... Si ça te complique trop la vie, laisse tomber, c'est pas grave ! A+ |
St quentin c a combien de bornes de paris ca?
Marsh Posté le 12-08-2002 à 14:21:30
Ouh lalala c'est à côté de l'Ecole militaire de St Cyr cela ! Perpet les oies.
Marsh Posté le 12-08-2002 à 14:40:17
foxtrotmikedelta a écrit a écrit : Ouh lalala c'est à côté de l'Ecole militaire de St Cyr cela ! Perpet les oies. |
Ah?
Marsh Posté le 12-08-2002 à 14:41:54
Ben c'est du côté de Versailles-Montigny le Bretonneux dans le 78.
Marsh Posté le 12-08-2002 à 14:41:58
ducateam a écrit a écrit : Arf pas longtemps à mon avis, si c'est sous vide c pas pour rien. |
Effectivement, la distance tete/plateau est tellement mince qu'une poussiere et boum apu.... C'est pour ca que c'est cellé mais c'est pas sous vide.
Marsh Posté le 12-08-2002 à 15:06:09
bolomatic a écrit a écrit : Effectivement, la distance tete/plateau est tellement mince qu'une poussiere et boum apu.... C'est pour ca que c'est cellé mais c'est pas sous vide. |
hmmmmmm
T SUR que c pas sous vide?
Marsh Posté le 12-08-2002 à 15:10:59
Pourkoi pas à 40 fdpin !!
intéressé alors !!!
Marsh Posté le 12-08-2002 à 15:13:09
bolomatic a écrit a écrit : Effectivement, la distance tete/plateau est tellement mince qu'une poussiere et boum apu.... C'est pour ca que c'est cellé mais c'est pas sous vide. |
Bon...finalement tu aurais du rien dire
Copie d'un article sur les disque durs
La première percée technologique majeure qui allait conduire à la création des disques durs modernes vint dans les années 50. Des ingénieurs d'IBM réalisèrent que, conçues d'une manière appropriée, les têtes pouvaient être suspendues au-dessus de la surface du disque et lire les données au fur et à mesure qu'elles passent sous les têtes. Avec cette découverte capitale que le contact avec la surface du disque n'était pas nécéssaire, les bases du disque dur moderne étaient nées.
Le premier disque dur de production était l'IBM 305 RAMAC (Random Access Method of Accounting and Control), introduit le 13 septembre 1956. Ce monstre pouvait stocker 5 millions de caractères (approximativement 5 méga-octets, mais un "caractère" à cette époque ne comptait que 7 bits, et non pas 8!) sur 50 disques, mesurant chacun 61 cm de diamètre! Sa densité surfacique était d'environ 2 000 bits par pouce carré; en comparaison, les disques durs actuels ont des densités surfaciques mesurées en milliards de bits par pouce carré. Le taux de transfert de ce premier disque dur était de 8,8 Ko/s... L'ensemble pesait environ une tonne!
Au cours des années suivantes, la technologie s'est sans cesse améliorée, tant au niveau de la densité surfacique, que de la capacité et des performances. En 1962, IBM introduisit le modèle 1301. La grande innovation de ce disque était l'introduction de têtes qui flottaient, ou qui "volaient" au-dessus de la surface du disque sur un "coussin d'air", réduisant la distance des têtes à la surface du disque de 20,32 µm à 6,35 µm.
En 1973, IBM présenta le modèle 3340, qui est souvent considéré comme le père du disque dur moderne. Cette unité avait deux modules séparés, l'un permanent et l'autre amovible, chacun avec une capacité de 30 Mo. Pour cette raison, le disque était souvent désigné "30-30". Ce nom lui a d'ailleurs valu le surnom de disque dur "Winchester", d'après la célèbre carabine Winchester 30-30. En faisant appel au premier environnement scellé et à une technologie sur "coussin d'air" grandement améliorée, le disque dur Winchester voyait la distance de ses têtes au-dessus de la surface du disque réduite à 0,43 µm. Les disques durs modernes d'aujourd'hui utilisent toujours de nombreux concepts introduits dans le 3340 d'IBM, et pour cette raison sont parfois appelés disques durs "Winchester".
Le premier disque dur au format 5,25" employé dans les premiers PC était le Seagate ST-506. Il disposait de quatre têtes et d'une capacité de 5 Mo. IBM ne choisit pas ce disque, mais plutôt le ST-412 - un disque de 10 Mo au même format - pour l'IBM PC/XT, faisant de ce disque dur la premier à être largement utilisé dans les PC et les compatibles-PC.
Les PC à base de processeurs Intel 8088, 8086, 80286, 80386 et 80486 avaient des disques durs dont la capacité se situait entre 40 et 200 Mo en moyenne.
La grande saga des disques durs
Année
Avancée technologique Description
1956
Premier disque dur
Le RAMAC d'IBM est introduit. Il a une capacité d'environ 5 Mo, stockés sur 50 disques de 61 cm de diamètre. Sa densité surfacique est de 2 000 bits par pouce carré, et son taux de transfert de 8,8 Ko/s.
1962
Premières têtes sur coussin d'air
Le modèle 1301 d'IBM abaisse l'altitude des têtes à 6,35 µm. Il dispose d'une capacité de 28 Mo avec deux fois moins de têtes que le RAMAC, et tant sa densité surfacique que son taux de transfert sont accrus d'environ 1 000%.
1965
Premier disque dur amovible
Le modèle 2310 d'IBM est le premier disque dur avec un sous-ensemble disque amovible. De nombreux utilisateurs de PC pensent que le concept de disque amovible est récent, alors qu'il était populaire dans les années 60 et 70!
1966
Premières têtes en ferrite (oxyde de fer principalement)
Le modèle 2314 d'IBM est le premier modèle à faire usage de têtes en ferrite, le premier type de têtes qui seront utilisées plus tard dans les disques durs de PC.
1973
Premier disque de conception moderne
Le modèle 3340 d'IBM, surnommé "Winchester", est introduit. Avec une capacité totale de 60 Mo, il ouvre la voie à de nombreuses technologies clés qui en font le véritable ancêtre des disques durs modernes.
1979
Premières têtes Thin Film (couches minces)
Le modèle 3370 d'IBM est le premier disque dur avec des têtes Thin Film, qui deviendront le standard de l'industrie pendant plusieurs années.
1979
Premier disque au format 8"
Le modèle 3310 d'IBM est le premier disque dur avec des plateaux de 8" de diamètre, nettement plus petits que ceux de 14" qui ont été le standard pendant une décennie.
1980
Premier disque au format 5,25"
Le Seagate ST-506 est le premier disque dur au format 5,25" utilisé dans les PC de la première heure.
1983
Premier disque au format 3,5"
Rodime introduit le RO352, le premier disque dur à adopter le format de 3,5", qui allait devenir l'un des plus importants standards de l'industrie.
1985
Premier disque dur sous forme de carte d'extension
Quantum introduit le Hardcard, un disque dur de 10,5 Mo monté sur une carte d'extension ISA pour les PC qui étaient fabriqués à l'origine sans disque dur. Ce produit lança véritablement Quantum.
1986
Premier disque de 3,5" muni de bobines électromagnétiques
Conner Peripherals introduit le CP340, le premier disque dur à utiliser des bobines électromagnétiques pour actionner les actuateurs des bras supportant les têtes.
1988
Premier disque de 3,5" bas-profil
Conner Peripherals introduit le CP3022, qui est le premier disque dur à adopter la hauteur réduite de 1" appelée aujourd'hui "bas-profil", et qui est le standard pour les disques de 3,5" modernes.
1988
Premier disque au format 2,5"
PrairieTek introduit un disque dur utilisant des plateaux de 2,5" de diamètre. Cette dimension allait devenir plus tard un standard pour les ordinateurs portables.
1990
Premier disque à utiliser des têtes magnéto-résistives et le décodage des données PRML
Le modèle 681 d'IBM, alias Redwing, un disque dur de 857 Mo, est le premier à utiliser des têtes magnéto-résistives et le décodage des données PRML.
1991
Premiers disques à membrane fine
Le disque pour mainframes d'IBM "Pacifica" est le premier à remplacer le média à Oxyde de métal par un média à membrane fine sur la surface des plateaux.
1991
Premier disque au format 1,8 "
Le 1820 d'Integral Peripherals est le premier disque dur avec des plateaux de 1,8", qui seront utilisés plus tards sur les disques au format PC-Card.
1992 Premier disque au format 1,3""
Le C3013A de Hewlett Packard est le premier disque dur au format 1,3".
1997
Introduction des têtes GMR par IBM (Giant Magnetoresistive)
Alternance de deux couches de matériaux magnétique avec une couche non magnétique: têtes quatre fois plus sensibles, car les deux couches magnétiques augmentent artificiellement la magnétorésistance de la tête.
Anatomie d'un disque dur contemporain
L'intérieur d'un disque dur est complètement scellé, afin d'éviter toute introduction de particule à l'intérieur, c'est pourquoi les disques durs sont construits dans des salles blanches. Le disque dur contient un ensemble de plateaux tournant autour d'un axe fixe à des vitesses allant de 5 400 à 15 000 tours/minute, pour les plus rapides. Ces plateaux sont traditionnellement faits d'aluminium, ou d'alliages mélangeant l'aluminium et manganèse, mais de nouvelles technologies ont vu le jour au cours de ces dernières années, comme la technologie de substrats de verre développée par IBM (encore eux!), qui sera détaillée plus loin.
Chaque disque est divisé en cercles concentriques, contrairement aux disques vinyle, qui sont faits en spirales. Ces cercles sont appelés des "pistes", et ils comportent eux-mêmes des "secteurs". Chaque piste a le même nombre de secteurs, peu importe si elles sont situées vers l'extérieur du disque ou vers l'intérieur. Pour que celles-ci aient le même nombre de secteurs, elles enregistrent les données à une densité plus faible que celles qui sont vers l'intérieur. De plus en plus, les interfaces intelligentes, telles que le SCSI, font en sorte que les pistes externes enregistrent à une densité semblable à celle de leurs consoeurs; elles contiennent plus de secteurs, donc plus d'espace disque.
En moyenne, un disque contient 500 à 2000 pistes; cela dépend bien sûr du diamètre du disque. Contrairement aux disquettes, les disques n'arrêtent jamais de tourner. Ils sont en constante rotation. Cela permet d'aller chercher l'information beaucoup plus rapidement. Toutefois, les derniers nés du marché possèdent un système d'économie d'énergie, permettant de ralentir la vitesse des disques et de "ranger" les têtes de lecture lorsque aucun accès disque n'est réalisé.
Pour lire ou écrire l'information dans un secteur, un bras mobile, avec la tête en son extrémité, est situé au-dessus de chaque plateau. De part et d'autre de chaque plateau, les têtes enregistrent les données en aimantant de petits secteurs, nommés domaines, alignés dans le sens de la longueur selon des pistes concentriques; les têtes récupèrent l'information en détectant les aimantations. Les bras sont tous solidaires les uns des autres, c'est-à-dire que si l'un d'entre eux doit se déplacer au-dessus d'un secteur donné, tous les bras seront au-dessus du secteur de leur piste respective. Les têtes n'entrent jamais en contact avec les plateaux. Un choc brutal pourrait venir endommager le disque et en détruire les données. Si aucune information ne s'y trouve, aucune information ne pourra plus y être écrite.
Les têtes de lecture survolent les plateaux à 0,25 µm. La rotation des plateaux produit un vent de 270 km/h qui fait planer la tête, ce qui correspond, à l'échelle 1/32 000, à un Boeing 747 planant à 8 millimètres du sol sans jamais atterrir!
On comprend mieux, étant donnée la précision nécessaire, pourquoi les disques durs sont scellés sous vide: toute poussière à l'assemblage serait fatale aux têtes du disque dur. C'est pourquoi les disques durs sont scellés sous vide, et que tout headcrash (écrasement d'une tête de lecture sur un plateau) est fatal.
La tête de lecture en elle-même est beaucoup plus fine que sur un lecteur de disquettes, afin de pouvoir se déplacer rapidement. Étant plus fine, elle ne magnétise qu'une petite partie de la surface, ce qui permet encore une fois de maximiser le disque. La tête est une petite pièce métallique polarisée munie d'un trou à son extrémité. Celui-ci laisse passer l'impulsion électrique. Elle joue le rôle d'amplificateur qui transforme des impulsions magnétiques en impulsions électriques.
Cheminement d'une lecture d'information typique sur un disque dur :
Le processeur demande au contrôleur disque l'accès à un emplacement précis du disque dur (via le bus PCI).
Le contrôleur acquitte réception de la demande auprès du processeur et transmet la requête au disque dur en même temps.
Le processeur se met en veille, ou va faire autre chose en attendant la suite.
Le disque dur pendant ce temps commence à déplacer ses têtes de lecture à l'emplacement où se trouve l'information.
Une fois les têtes de lecture en place, l'information est lue et stockée dans la mémoire cache du disque dur.
Le disque transmet ensuite l'information au contrôleur.
Le contrôleur copie l'information en mémoire puis notifie le processeur que l'information est arrivée.
Le processeur revient à son travail et continue de traiter les données.
Pour bien comprendre l'importance de chaque étape, il faut garder en mémoire que les temps d'accès et de lecture d'un disque dur se comptent en millisecondes (ce sont des opérations utilisant de la mécanique), alors que le reste de l'électronique travaille plutôt à des vitesses de l'ordre de la nanoseconde. Par conséquent, les étapes 1. et 2. sont presque instantanées, d'autant qu'elles ne nécessitent que l'échange de quelques octets. Les étapes 4. 5. 6. et 7. sont en revanche relativement lentes puisqu'elles se comptent en... millisecondes! On peut cependant, dans une certaine mesure, optimiser les étapes 6. et 7. en intervenant d'une part sur l'interface et le contrôleur disque, au niveau de l'étape 6., et d'autre part sur le bus PCI et la vitesse de la mémoire vive pour l'étape 7.
L'étape 6. va consister à faire transiter souvent quelques Méga-octets du disque dur au bus PCI. Le protocole de communication du contrôleur disque va donc déterminer la vitesse d'arrivée des données. Entre alors en jeu l'interface et le contrôleur de disque! Bien que l'information ait été récupérée par le disque dur, il faut la transmettre en mémoire vive. En ce qui concerne le protocole de communication, il en existe deux grandes familles bien connues : l'IDE et le SCSI. L'IDE a l'avantage en parts de marchés, car il est simple, bon marché et de série sur tous les PC vendus dans le monde. Le SCSI est moins utilisé, car son implémentation coûte plus cher, mais a la faveur des professionnels, pour ses performances intrinsèques, sa supériorité dans les domaines vraiment multitaches, sa capacité à travailler en paquets (pour les serveurs) et à pouvoir lancer un nombre de requêtes de lecture/écriture beaucoup plus important que sur un disque à interface IDE (256 contre 8 ).
L'étape 7. dépend du bus PCI et de la vitesse de la mémoire vive. Le bus PCI standard est limité à 133 Mo/s, ce qui est bien au-delà du débit maximal du meilleur disque dur existant. Mais, lorsque plusieurs disques durs tournent simultanément, ce débit peut devenir insuffisant! Certaines cartes Ultra 160/m SCSI peuvent contrôler 30 disques durs, sur deux interfaces à 160 Mo/s chacune. Soit 320 Mo/s de données en pointe... non seulement le bus PCI arrive à saturation, mais même la mémoire vive (800 Mo/s sur un PC avec SDRAM PC100) commence à être sérieusement occupée.
Les différents types d'interface
Dénomination
Débit théorique
Connecteur
IDE (PIO4)
16 Mo/s
IDE
IDE (Ultra-DMA/33)
33 Mo/s
IDE
IDE (Ultra-DMA/66)
66 Mo/s
U-DMA/66
IDE (Ultra-DMA/100)
100 Mo/s
U-DMA/66
Fast SCSI II
10 Mo/s
50 broches
Ultra SCSI
20 Mo/s
50 broches
Wide SCSI
20 Mo/s
68 broches
Ultra Wide SCSI
40 Mo/s
68 broches
Ultra 2 SCSI
80 Mo/s
68 broches LVD
Ultra 160/m SCSI
160 Mo/s
68 broches LVD
Ultra 320/m SCSI
320 Mo/s
68 broches LVD
Marsh Posté le 12-08-2002 à 15:14:08
soulsurfer a écrit a écrit : Pourkoi pas à 40 fdpin !! intéressé alors !!! |
Pasque 40? ça pourrait m'interesser mais FDP out
De plus j'ai besoin des sous rapidement, alors par la poste......
Marsh Posté le 10-08-2002 à 12:20:14
UDMA100, Samsung.
Faites vos propos