Pensez vous qu'il s'agit d'un des plus audacieux des récits ? - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 24-04-2004 à 17:34:34
oulala les vieux copier coller pour faire de la pub pour son site
Marsh Posté le 24-04-2004 à 17:40:03
ReplyMarsh Posté le 24-04-2004 à 17:43:27
en tt cas j'espere que le récit est mieux écrit que le titre
Marsh Posté le 24-04-2004 à 17:46:36
Il y a du vrai pas tout cependant celà n'enlève en rien ma question et je suis de ces "pauvres écrivains" en quete de soutien.
Salutations.
Marsh Posté le 24-04-2004 à 17:48:25
kired a écrit : Il y a du vrai pas tout cependant celà n'enlève en rien ma question et je suis de ces "pauvres écrivains" en quete de soutien. |
d'ou le fait de poster 2 fois le meme sujet.
mort a la culture!
Marsh Posté le 24-04-2004 à 17:53:02
kired a écrit : La terre n’est plus qu’une seule nation unie |
Pure science fiction et pas crédible
(j'ai l'impression de me repeter )
Marsh Posté le 24-04-2004 à 17:55:03
kired a écrit : Oui,je ne manie pas bien l'ordinateur. |
Pour manier l'ordinateur comme il faut, il faut l'empoigner d'une main ferme, et le balancer d'un mouvement de poignet. C'est la meilleure technique que j'ai trouvé pour le maniement de l'ordi.
par contre, si vous avez des idées pour le maniement du marteau, je veux bien.
Marsh Posté le 24-04-2004 à 17:33:56
Bonjour,voici un résumé d'une nouvelle suivi de quelques poemes;donnez moi votre avis;au delà du maché,du remaché j'affirme qu'il y a là de l'audace et que seule une signature connue aurait déjà révélé ce texte.Ceux qui sont interessés peuvent retrouver les suites sur: www.planetexpo.fr auteur :kired
Enoutre tous les textes ont un sens ésotérique et un autre exotérique.
Salutations
La terre n?est plus qu?une seule nation unie ;nous sommes au temps où la science à rejoint la spiritualité n pratique la médecine prédictive,et les expériences sur les condamnés démontrent l?existence d?une conscience ;telle une boule grise l?ame est suivie sur un écran ;les preuves de l?existence de l?ame sont désormais acquises.Nous sommes arrivés à la certitude qu?il y a un Créateur et que toutes les ames sont rssuscités ;dès lors une expédition est envisagée vers l?empyrée afin de demander l?immortalité.L?humain ne veut plus subir son Créateur,on revendique le droit à l?immortalité,la possibilité de créer et de maintenir les mondes.La rébellion de l?homme contre son Dieun?est plus que dans la raison,elle est aussi dans l?acte.Arrive le moment où l?on prend un espace,à l?interieur duquel,on trtavaille le temps et nous voilà dans le monde des paradis et des enfers ;un prophète nous accueille et nous invite à revenir d?où nous venons : »toute ame doit gouter à la mort » dit il ;refusant d?obtempérer,nous nous avançons à travers des enfers,où les damnés consumés par des remords,nous accueillent en sauveur?Nous traversons des paradis,où des bienheureux s?étonnent de notre visite?
Malgré plusieurs signes nous refusons de partir et nous abattons dans un premier accrochage des anges divins d?une dimension exceptionnelles,à travers cette première victoire,nous voyons déjà notre triomphe sur le Créateur d?autant plus que l?ange rebelle(satan,iblis) nous propose une alliance.Nous acceptons avecl?intention de l?éliminer,nous ignorons qu?il a le meme but?
Voilà un résumé qui reste un résumé.
Le roman est construit de plusieurs personnages et chacun a un caractère bien défini .
Le récit est riche par des descriptions,des couleurs,des émotion et des révélations que seule la lecture du roman pourra vous apporter.La fin du roman se manifeste à travers un conflit entre des humain en quete d?immortalité et des anges divins serviteurs de leur Créateur jusqu?au bout des ailes.
Le récit entre fiction et réalité traite de la vie,de la mort avec une grande tendresse et un humour féroce.
Enfin,il y est développé l?idée qu?à travers la multiplicité se cache l?Unicité :la source qui s?effusionne dans un mouvement perpétuel.
KIRED ABDESLEM
une brise passée sur une fleur m'a transporté son parfum suave,et cette rose,de ses épines acérées m'a transpercé de cent mille éclairs.Mais qui donc évoquera ces cheveux et ces yeux de pure magie qui font renoncer au monde?c'est ainsi! devant le trouble et le tumulte,les épithètes s'épuisent pour louer la beauté;de cet aveu,j'en suis ivre et lorsque je plonge au fond de ce regard bleu,je vois dans ces flambeaux sublimes la détresse,et toute la pluie qui s'est répandue limpide sur ces joues,et je lis dans une goutte cent espoirs,et me voici bouleversé,là où est la vague qui mène au printemps dans l'émerveillement du chant du rossignol,et ceci et celà font que je n'ai plus de souvenir;le souvenir n'est que pour l'absent.Ma pensée est lisse et mes pieds sont enchainés;sùr,l'amour à son firmement provoque l'extase et la violence.
kired abdeslem
j'étais là distrait quand elle m'est apparue,vetue de gràce et de mérite,et sa beauté pour toute gloire;
j'étais là le coeur adouci,soudainement propice à congédier l'animosité qui de son ombre rend les coeurs maussades;
j'étais là le coeur bienveillant rigouresement appliqué à chercher une joie enfouie,enfantine dans ces yeux incontestablement brillants,et là au milieu du chaos,en cet endroit où la source vive se tarissait,je la surprenais parfaite et étincellante parmi ces bijou et ces femmes sophistiquées;quel était son secret?un univers où une quete qui s'articulait vers des sommets et des vertes prairies malgré la cruelle structure,elle souffrait puis s'évadait,se confectionnait aisément un monde enthousiaste où le lamento s'éteignait dans un monde d'éternité où le temps n'était plus minuté.
kired abdeslem
lorsque les ames voleront comme des flocons de neige,et que l'univers s'ébranlera,alors l'on t'interrogera et tu raconteras:
elle ne pouvait me connaitre,elle marchait avec la raison
je marchais avec le coeur
la raison est une prison dans la tete,le coeur est évasion sans fontière;sans oubli,en moi bien réelle,qu'il est doux ce visage,qu'il est doux ce visage!
je l'ai approché,j'ai tenu une hanche voluptueuse,et que dire de son odeur!
alors l'on te répondra:
tu ne connais pas ton bien,et si je t'ai évité ce vin,cette femme,c'est pour taire ta sensualité:une entrave à ton évasion.
kired abdeslem
connais tu mon désordre,mon amie,connais tu l'errance?qui suis je?
quel bruit étrange,quel bruit étrange!
je ne peux ni dormir,ni respirer,ni frémir;
quel désordre!
et où fuir?
je ne sais où aller,je ne sais où aller;
prétendre aimer est facile quand j'en ai les arguments:
mon coeur est faible et fragile
sais tu?tu est ma douleur,ma passion et mon désir;
hélas dans cette obscurité,sous ce voile,je n'ai plus d'étoile,le soir où je t'ai approché,elle s'est sauvée.
kired abdeslem
Ma songerie allant vers vous,je vous ai vue riante,et la clarté m'est apparue;
vous etes fuyante,or le temps est furtif,ainsi vous si belle,en ce jour je vous interpelle
avant que coeur chancelle et nous plonge dans l'oubli:
regardez l'etre qui vous admire et vous interdit la douleur,la peine et les soucis;
ma songerie allant vers vous,je vous ai vue souriante et le bonheur m'est venu sur cette terre édifiante témoignage de lumière,où s'oublie le malheur et l'enfer et toutes les souffrances de la vie;
je vous offre ce feu en toutes veines dont mes paupières se sont nourries;charmant tourbillon,féminité du corps,du coeur et de l'ame,votre visage parfois de mélancolie compresse mon coeur d'un immense souci;o étoile céleste dont l'absence me flétrit les yeux s'abimant en errance parmi les cieux.
kired abdeslem
et quand je laissais plein d'amertume,de regrets mon regard par dessus mon épaule naviguer,et par les heures comptées,à mes pas précipités je me rappelais un temps de gràce dans un silence éloquent où une superbe fée de gràce vint à passer avec le ciel d'azur pour unique couronnement;elle ravissait mon ame,voluptueuse et rieuse à la fois elle me chutait dans l'enchantement;elle était le bonheur,la joie au fond de ces yeux rieurs,j'en oubliais la vie cette douleur,la mort cette peur;elle était ce charme qui blesse et guérit.
kired abdeslem
Qu'il était silencieux l'instant,le verbe absent;
et derriere le visage,il y avait un point,
derriere le point,le mouvement;
ce mouvement s'alchimisait en forme,
et cette forme répandait l'Amour,
l'Amour délicieux dans son élan déployait un son qui prolongeait le temps,et l'Amour semblable aux souhaits,noblement,en pluie bénie,à son titre,retombait sur le point;
certes la gràce est bien l'étalon du discernemeent;
loin des certitudes,des affirmations,des égarements,et de toutes ces croyances qui naissent par défaut dans l'effondrement.
KIRED
abdeslem