Chapitre Premier : L'étrangère  
 
Okioris était un jeune garçon vivant dans un petit village, sur une île au climat tropical. Ce village était connu pour son auberge, car il était situé à mi-chemin entre la capitale du royaume, Pavas, et la citée Kranquer, où vivaient de nombreux Hens, une assez peu connue dans cette région. Okioris avait toujours été considéré comme un bon à rien par ses aînés et comme un héros par ses cadets. Il maniait la lance comme un vrai garde royal et passait ses journées à s'entraîner avec un vieux bâton taillé à la pointe. Il rêvait de partir explorer le monde et, dès que des marchands arrivaient dans le village, ils étaient accueillis par Okioris, qu'ils finirent par le surnommer le quêteur.
 Une nuit, il fut réveillé par un grand bruit d'écroulement. Il se leva et vit que tout le village était en feu. Sa maison aussi, et les flammes commencèrent à dévorer sa chambre. Dans un recoin assez sombre, il vit une forme vaguement humaine se rapprocher lentement de lui. Okioris prit son bâton et se mit debout. Une force invisible retint l'étrange forme, et elle s'en fût, comme apeurée. Okioris donna un grand coup dans la porte, et celle si sortit de ses gonds sans montrer aucune résistance. Il quitta sa maison et partit sur la place du village. Il n'y avait personne à part le doyen, debout au milieu de la place, semblant attendre Okioris.
"Que se passe-t-il maître, demanda Okioris, d'où vient ce feu?
_Je ne sais pas, répondit le doyen, mais les autres habitants sont partis, je t'attendais. La voyageuse venue hier est toujours coincée dans l'auberge. Tu es le seul à pouvoir l'aider, je suis trop vieux. Prends cette lance, elle te sera grandement utile. Je ne peux t'attendre."
 Il tendit à Okioris une lance, une vraie, avec la pointe en métal, et un manche en bois gravé de nombreux signes.
 Après un moment, il pénétra dans le majestueux bâtiment assailli par les flammes de toutes parts. Le couloir principal était mystérieusement bien conservé. Cette bâtisse, qu'Okioris connaissait parfaitement bien, semblait bien plus lugubre. Tout à coup, des voix surgirent d'une pièce.
"Chef, la mission est-elle accomplie?
_Non, il fut le capturer. Mais surtout pas le tuer!
_Pourquoi?
_Ben … j'sais pas ! Le chef a ses raisons.
_O.K."
 Tout à coup, une porte s'ouvrit, et la forme qu'avait vue Okioris s'avança dans le couloir. Il put remarquer qu'elle n'était que flammes.  Elle entra dans la salle d'où provenaient les voix, et se mit à parler d'une voix faible et grave. Okioris se remit à marcher, et monta rapidement les trois étages de l'auberge. Le dernier était une sorte de clocher, qui dominait tout le village. Arrivé en haut, il vit, dans une petite salle très poussiéreuse, une autre forme, qui, contrairement à l'autre, n'était pas sombre, mais lumineuse. En fait, elle était faite de feu. Elle vit, ou plutôt sentit Okioris, et s'approcha vers lui. Peu à peu, elle l'enveloppa, sans qu'Okioris ne puisse réagir. Il était comme hypnotisé, et s'endormit dans un profond sommeil, proche de la mort. Puis elle se retourna, attirée par un bruit.
 Les poussières au sol se rassemblaient en un tas, au pied du démon. Celui-ci comprenait ce qui arrivait, et fut paralysé par la peur. Peu à peu, le tas s'agrandissait, et prenait forme humaine.
"Le fléau Terran est revenu, s'exclama le démon.
_Oui, répondit le tas, qui avait maintenant pris la forme d'une jeune femme aux cheveux et yeux bruns. Et tu connais parfaitement la raison pour laquelle je me trouve en ses lieux. Toi et les tiens n'avez pas respecté le pacte établi. Une punition est nécessaire."
 Elle leva simplement les bras, et les abaissa très rapidement. Des pierres jaillirent de ses mains, elles enveloppèrent le démon, et l'étouffèrent. Dans un dernier souffle de vie, il se fit exploser, éjectant Okioris, encore inconscient et l'étrangère au dehors.
 Ils se réveillèrent un peu plus tard, au milieu de la place du village. Le feu était éteint et l'auberge écroulée. L'étrangère réfléchissait à ses côtés.
"Ca y est? Tu es réveillé, demanda-t-elle, il faut partir sur le champ. Nous n'avons pas le temps. Le doyen a laissé un message, tout le monde est parti vers l'ouest.
_Une minute, je ne comprends plus rien, que me voulez-vous ? Et puis d'abord, qui êtes-vous ?
_Tu peu me tutoyer, mais on est pressés,  je te donnerai plus de précision en chemin, viens.
_Où allons-nous ?
_Vers l'ouest."

Chapitre Deux : La fin
 
Soudain une pluie de comètes tomba sur la planète, détruisant toute forme de vie.
 
FIN

 
Hum hum ... si ce topic ne vous interresse pas, absetnez-vous...

- Vers l'Ouest?
- Oui direction Porte Saint Cloud. Mais le métro est en grève (encore un coup de la CGT) et va nous falloir y aller à pied.
- Tu veux dire qu'il va falloir traverser le 16ème A PIED.
- Oui hélas, dit-elle en se curant l'oreille avec la jambe droite.
Okionis avait entendu maites et maintes légendes sur cet érange endroit appelé le "Seiziaime". Des populations rutres l'habitaient. Vivant à 4 dans 200m² ou avec tout juste 20 000 Euros par mois, ces gens arpentaient les rues dans l'espérance de détrousser le voyageur imprudent qui se serait aventuré jusqu'en ces terres hostiles. LMà, ils se ferait voler ses actions, ses stock options et son assurance vie par des bandes organisées cruelles et affamées.

LE CHAPITRE ! FAUT METTRE UN NUMERO DE CHAPITRE

Chapitre TROIS: le procès
 
Kevin ayant trop mangé de hamburger durant sa tendre et moelleuse jeunesse, il était devenu obèse. Sa mère, une fan de chirurgie esthétique, coucha avec une avocat aux dents longues et intenta un procès à MaQueueMickey, pour les préjudices dramatiques subit sur Kevin. L'espèrance de vie de Kevin ne dépassera pas les 40 ans à cause de risques cardiaques et arthériosclerotiques dûe à son obésité aggravée. Malgré tout ça, Kevin est un battant et le jour de ses 18 ans, il s'inscrivit dans l'armée pour défendre son pays contre les ennemis de la liberté. Kevin fit ses classes, mais sans réussir, toujours à cause de son obésité.  Kevin, dont le surnom fut Baleine, tenta de se suicider d'une balle dans la tête la veille de son anniversaire. Malheureusement il se loupa et devint hémiplégique et lourdement atteint au cerveau.
 
 
THE END.
 

Chapitre 4 : dialogue
- dis donc toi !
- heu...oui ?
- t'as pas honte ?
 
 
Chapitre 5 : rien
 
Chapitre 6 : et pis log ( toi )
- je suis là
- oui
- tu es heureuse ?
- oui ben pas trop
- ah...
- voilà

( on avance vite là )

 
On ne met pas d'espaces dans les parenthèses

Sources ?  

(onavancevitelà) ?

 
Le topic de Buck

 
   
C'est MesCouillesMickey  

chapitre 7:
Et il s'exclama :
Chambon-Sur-Voueize...  
 
La belle commune encaissée au fond d'une vallée, se situe au confluent de la Tardes et de la Voueize que l'on traverse grâce au pont d'époque IIIè ou XIVè siècle.
 
 
Vouée au tourisme, animée toute l'année, elle possède une structure d'accueil remarquable.
 
Imposante, l'Abbatiale romane de Sainte Valérie, est un des plus grands édifices de ce style en Limousin. Elle se visite tous les jours du 1er juillet au 31 août.  
 
Chambon héberge de nombreux artisans, commerces et entreprises.  
 
Parmi celles ci, plusieurs chaudronneries industrielles spécialisées dans des fabrications "pointues" en acier inoxydable, et une de carrosserie industrielle (agencement de poids lourds). Elles offrent de nombreux emplois, et le taux de population demeure élevé.
 
 
 
 
A vous...
 

y'a t-il l'adsl, se demanda Okioris .

Chapitre 8 : Free
 
Oriknis appelle Free Telecom pour une ouverture de ligne, car avec la Freebox, il pourra appeller sa grand tante Robert aux ASU pour 1.8€ la minute...

chapitre 9
note heros appel france telecom pour ouvrir une deuxieme ligne et ainsi avoir une deuxieme freebox. sa femme etant toujours sur la permiere a appeller ses copines

Chapitre 10
 
Free commence déjà à déconner... il doit utiliser ses 2 lignes avec le 56K de secours pour Internet, et appelle avec France Télécom pour le téléphone

Chapitre 11
 
finalement la freebox, c'est nul.
Il a décidé de repasser au rtc avec ses 15 heures wanadoo a 39.95€ / mois, de s'abonner au satellite et a pris onetel pour sa ligne téléphonique

Okioris si tu nous lis