Ecce homo - Le topic majeur de Serge Gainsbourg - Musique - Discussions
Marsh Posté le 15-01-2010 à 20:35:21
rés
[...]
http://www.tetedechou.com/ - (ne pas louper la video du mur, hommage à la rue de Verneuil)
http://www.deezer.com/fr/music/serge-gainsbourg
http://www.gainsbourg.net/
http://gainsbarre.typepad.com/
http://www.gainsbourg.org/
..
Marsh Posté le 15-01-2010 à 20:35:28
rés
Charlotte Gainsbourg fille de serge et Jane Birkin
Site off :
http://www.charlottegainsbourg.com/
Actu
IRM l'album, critique (et écoute) chez les inrock :
http://www.lesinrocks.com/musique/ [...] integrale/
Jane Birkin
Site off :
http://www.janebirkin.net/
Actu
Janvier & Février 2010 - Concerts en France, Belgique et aux Etats Unis.
les Dates http://www.janebirkin.net/fr/concerts.html
Citation : Jane chante en France (Auray, Annecy, Mulhouse, Florange et Saone), en Belgique (Namur, Arlon et Woluwe) et aux Etats Unis (Washington et New York)son nouveau spectacle composé des chansons que Serge Gainsbourg avait écrites pour elle, pour lui et pour d'autres mais aussi des titres de l'album ENFANTS D'HIVER notamment les très personnels: 14 Février, Période Bleue ou encore Aung San Suu Kyi. |
Nana
http://www.youtube.com/watch?v=bCr [...] re=related
[...]
- Dutronc en tournée
Billetterie : http://infoconcert.francebillet.co [...] 3584942213
- Renaud. L'album du moment Molly mallone
Citation : Trois ans après Rouge sang, Renaud poursuit donc, dans ce nouveau disque, Molly Malone. Balade irlandaise - enregistré à Dublin par Pete Briquette et Thomas Davidson Noton - sa promenade au fil d'airs traditionnels déjà entonnés avant lui par les Chieftains ou les Dubliners. Les mélodies pleines de cornemuses, de flûtes, de violons font rebondir ses mots blêmes. Car Renaud chante la famine et l'exil, les usines fermées, les enfants fauchés par la guerre, la mémoire des pères et les combattants de l'IRA. Ce sont des chansons amples en noir et brumes, aux choeurs fervents, qui explorent les thèmes familiers de la littérature irlandaise (Frank McCourt ; Robert McLiam Wilson, etc.). Le "chanteur énervant" y peint les villes industrielles sinistrées avec une colère très contemporaine. Sa voix ne porte plus, mais le ton reste convaincant. |
Source : http://www.lexpress.fr/culture/mus [...] 30478.html
Marsh Posté le 15-01-2010 à 20:53:42
rés
[...]
- les écrits de Serge
Evguénie Sokolov
Citation : Evguénie Sokolov est un conte parabolique écrit par Serge Gainsbourg et publié chez Gallimard en 1980. |
- Les Bio
En commencant par LE biographe de gainsbourg, Gilles Verlant.
Citation : Gilles Verlant avait déjà publié un certain nombre de livres sur Gainsbourg, biographies de deux ou trois centaines de pages, recueils d'aphorismes ou de photographies. Voici sa somme, son ouvrage sans doute final, LA biographie. L'ampleur de l'entreprise est étourdissante : 762 pages, plus de trois cents témoins interrogés, des milliers d'articles et de documents audiovisuels dépouillés ainsi que quelques dizaines d'heures d'interviews avec Serge Gainsbourg lui-même. |
[...]
Marsh Posté le 15-01-2010 à 21:11:26
rés -der
Pourquoi comment et surtout dans quelle étagère.
Round 1
http://www.googlefight.com/index.p [...] gainsbarre
[...]
Les provoc', le cirque médiatique et tout l'bordel
Anecdotes et contextes qui vous ont marqué(e)s - ou pas.
(W.houston, 7/7 , deneuve, guy béart, catherine ringer..)
[...]
Exemple :
- En réponse à un fan braillard dans un concert ;
Ta gueule.
Exemple numéro 2
- La laideur est supérieure à la beauté en ceci qu’elle dure.
[...]
- Archives
Soyez nostalgiques, camarades.
TSR
http://archives.tsr.ch/player/personnalite-gainbourg
INA
http://www.ina.fr/recherche/recher [...] &vue=Video
Marsh Posté le 16-01-2010 à 08:42:23
ReplyMarsh Posté le 16-01-2010 à 08:50:10
Y'en a plus de Gainsbourg...
Un mec moche qui a un charme et une classe fou.
Poète et romantique.
Respect à ce virtuose.
HS (mais pas tant que ça) :J'adore l'anecdote avec Guy Béart http://www.youtube.com/watch?v=XnbC1Wa7uno
OU VOIT ON CA DE NOS JOURS???§§§§§§
Marsh Posté le 16-01-2010 à 08:55:13
Drapal pour un topic avec une introduction de grande qualité, merci Meg
Marsh Posté le 16-01-2010 à 11:12:17
Tapmensinque a écrit : |
-C'est Béart qui te parle !
-Oui mais j'ai bien compris...
Bravo pour ce topic et vive Serge.
Marsh Posté le 16-01-2010 à 21:45:48
effectivement du bon et beau travail Meganne, merci!
étonnant même qu'il n' y ait pas eu de topic avant!
en même temps quand on lit certains, on se demande vraiment ce qu'ils aiment, ne jurent que par les anglo-saxons, et si peu ouverts...
alors que ce topic vive !
Marsh Posté le 22-01-2010 à 15:48:06
bah plus de post depuis une semaine?
le film est une réussite, AMHA. j'ai jamais été un grand fan de la musique de SG, au sens que que je la connaissais mal. Tout ce que je connaissais de lui ce sont les scandale ramenés par les journaux entre le billet brulé en direct et le Gainsbarre des Guignols. J'étais trop jeune en 91 quand il est mort pour comprendre qui c'était.
Donc le film m'a touché, mais je ne sais pas comment le fan de base réagira. Il y a des procédés scénaristiques qui en feront tiquer plus d'un, au sens du "on ne joue pas avec une telle icone" sauf que d'entrée le jeu, Sfar explique bien la différence et le choix de cette liberté: il s'agit d'un conte pas d'une biopic dans le style 'l'histoire d'un mec" sur Coluche.
A partir de là, on comprend mieux le cheminement et les choix de Sfar et son idée (que je spoilerais pas) , tant au début elle peut rebuter et tout simplement choquer, tant à la fin, elle nous parait logique. Il y a beaucoup d'onirisme dans le film. Le seul reproche que je ferais, c'est les chansons qui prennent le pas sur l'histoire, on aimerait en savoir plus, on se sent parfois frustré.
Reste de très beaux passages, parfois émouvant, on découvre une facette qu'on ne connaissait pas. Le film était casse-gueule, surtout dans le choix de l'acteur, très très ressemblant avec son modèle. Mais au bout d'un moment on oublie cette ressemblance, il n'y a plus de duallité et on se laisse porter par le film.
tout ça pour dire que ça donné envie de réécouter du Gainsbourg, car je decouvre qu'au fond, je n'en connaissais rien.
Marsh Posté le 29-01-2010 à 00:12:30
(les mises à jour arriveront bientôt désolée je n'ai pas trop le temps en ce moment)
Spoiler : bon j'dis ça pour les 2 fans du topic |
Marsh Posté le 29-01-2010 à 00:20:21
Marsh Posté le 05-02-2010 à 23:35:21
bon, le film est superbe... un peu trop de chanson a mon gout mais non. Sorte de comédie musicale onirique...
la voix de l'acteur principal comme de son double est :
non, vraiment, superbe photo, superbe décor et Laëtitia Casta
Le film marche moyen au niveau box office ... pourquoi ? sujet trop récent (enfin, ça va faire 20 ans qu'il est décédé), parle pas assez à la jeunesse ? mauvaise promo ?
bon, en tout cas, j'irais le revoir.
Marsh Posté le 22-02-2010 à 14:42:51
UP
http://www.youtube.com/watch?v=vBuiCefW-yk
Inceste de citron
L'amour paternel déclaré dans une chanson avec un tel titre faut le faire.
Subtilité...
Marsh Posté le 22-02-2010 à 15:01:45
Tapmensinque a écrit : L'amour paternel déclaré dans une chanson avec un tel titre faut le faire. |
Je suis sûr que de nos jours tu fais ça, tu vas en taule
Marsh Posté le 26-02-2010 à 11:11:15
Gainsbourg et moi c'est un peu ambigü. Pour faire court, je dirais qu'il avait indéniablement du talent, mais qu'il cédait beaucoup trop à la facilité à mon goût, et même que celle-ci nuit encore aujourd'hui à son œuvre.
Je ne parle pas tant de son comportement à la télévision ou son mode de vie, qui, finalement, n'ont que peu à voir avec ses œuvres, que de cette tendance à faire cohabiter le bon et le mauvais goût, les mélodies enlevées et les chansons banales, des beaux textes et des provocations qui alourdissent le propos. C'est quelqu'un qui était capable de tirer profit de ses rencontres avec Monk, Vian, Sly and Robbie et, en même temps, de faire des tubes électro-funk dont l'intérêt aussi bien mélodique qu'artistique m'échappe un peu. Mon jugement est certainement sévère, surtout quand on regarde ce qu'est devenue la chanson française (pour paraphraser feu Zappa, je dirais qu'elle n'est pas morte, mais qu'elle a une drôle d'odeur), mais j'ai toujours pensé que l'artiste, même musical, même populaire, doit faire montre d'une haute exigence dans la création, et défendre cette création en conséquence, ce qu'il n'a pas toujours fait (ou, du moins, je ne pense pas qu'il ait fait honneur à Aux armes et cætera en avançant que vendre 400 000 exemplaires, c'est "pas dégueu" ).
J'espère en tout cas que ce sujet permettra d'avoir des discussions enrichissantes, car je ne veux pas m'acharner non plus sur une personne qui ne peut plus se défendre, mais juste parler de ce que j'apprécie et ce que j'apprécie moins chez lui.
[edit] Je n'ai pas d'opinion sur le film en lui-même, que je ne suis pas allé voir. J'ai pourtant des amis qui sont cinéphiles et qui l'ont apprécié. Mais je n'ai pourtant pas plus envie de le voir que cela. J'ai l'impression qu'il s'inscrit dans cette mode des biographies de personnalités, et qu'après Piaf, Mesrine, Coluche, Gainsbourg, Camus et Sagan, on aura droit à Malraux, Brel, Levi-Strauss et Ferré...
Marsh Posté le 18-08-2010 à 23:06:37
J'ai 30 ans, j'entends par là que j'ai vécu en plein le ressac Serge Gainsbourg après sa mort. Il est mort j'avais 11 ans donc je n'ai pas vraiment de souvenir de cet homme mais ma jeunesse a été marquée par les pro-Gainsbourg devenus fans après sa mort.
Pour autant je n'ai jamais accroché à l'oeuvre, j'entends par là ce qu'il a laissé d'un point de vue artistique, que ça soit de ses débuts adulés par certains à sa fin adulée par d'autres.
Pour autant, le côté Gainsbarre, Sabatier, le billet de 500 francs, ça m'a toujours fasciné et je ne peux m'empêcher de penser à ce qui se passerait si un artiste (ahem) d'aujourd'hui faisait un dixième de tout ça.
Drapal
Marsh Posté le 19-08-2010 à 10:54:03
drapal. J'ai 23 ans. Donc j'ai découvert S.G. après sa mort, mais ce type à révolutionner la musique.
Marsh Posté le 21-08-2010 à 01:13:24
Quelqu'un aurait la transcription exacte des paroles d'ecce homo et cætera ? Impossible de les trouver online
Marsh Posté le 08-09-2010 à 12:59:49
Salut...
Je cherche du "son" façon Histoire de Melody Nelson .
La musique je parle.
Quelqu'un aurait quelques pistes à me suggérer ?
Marsh Posté le 08-09-2010 à 16:54:39
tsr1 a écrit : Quelqu'un aurait la transcription exacte des paroles d'ecce homo et cætera ? Impossible de les trouver online |
Troisième lien dans google
Citation : |
Pas terrible d'ailleurs cette chanson. Enfin perso je suis plus sur la période poinçonneur des lilas jusqu'à la balade de Melody Nelson. Après ça devient un peu du n'importe quoi.
Marsh Posté le 08-09-2010 à 17:11:44
Je parlais en fait de Ecce Homo et Caetera, un inédit sorti en 2003 sur une réédition de l'album
edit: lien : http://www.deezer.com/listen-2442104
Marsh Posté le 08-09-2010 à 17:32:11
Ah, navré.
Marsh Posté le 09-09-2010 à 17:04:08
Maldoror a écrit : |
L'Homme à la tête de chou et Histoire de Melody Nelson
Marsh Posté le 09-09-2010 à 17:07:12
nekikool1 a écrit : |
La ballade de Melody Nelson est un titre de l'histoire de Melody Nelson.
Par contre, tu as raison pour l'homme à la tête de chou
Marsh Posté le 09-09-2010 à 18:27:19
tsr1 a écrit : Ann Sorel - L'amour à plusieurs. |
En fait ce qui m'intéressait c'était de savoir où il avait tiré ce son avec un saveur si particulière.
A la fois propre mais crade.
Des idées ? (plusieurs groupes anglophones j'imagine ?)
Marsh Posté le 09-09-2010 à 18:34:09
quelqu'un a déjà lu Evguénie Sokolov ? le bouquin de Gainsbourg, dont le livre préféré, paraît-il, était A Rebours de Huysmans et son héros Des Esseintes
Marsh Posté le 09-09-2010 à 18:57:45
J'ai lu ouais. Bof, de mémoire
Marsh Posté le 09-09-2010 à 19:01:22
Merde, si Meria a aimé j'm'en souviens p'tèt plus trop bien alors
Ca parle de quoi, déjà, au fait ?
Marsh Posté le 09-09-2010 à 19:03:44
un peintre qui peint en pétant.
Marsh Posté le 09-09-2010 à 19:08:33
Ah oui, voilà. J'avais pas aimé, donc
Marsh Posté le 15-01-2010 à 20:35:10
Chantier sponsorisé par Ricard et Gitanes en totale dé-re-construction - A venir dans la semaine et pas avant >> sa bio/disco/duos/périodes/influences/sondages etc
L'hymne qui va avec http://www.youtube.com/watch?v=o1ONRpYDkhA
Welcome aux ptits gars et aux pisseuses.
Trève d'introductions ;
1/ - France 3 lundi 18/01 20h35
Un documentaire ; durée 1h30
En 1984, alors qu'il faisait ses débuts comme journaliste, Didier Varrod, devenu auteur et documentariste, a croisé le chemin de Serge Gainsbourg. Une rencontre qu'il n'a jamais oubliée et qui a marqué sa carrière. Il est aussi témoin de la dernière apparition à la télévision de l'artiste, en décembre 1990. A l'aube des vingt ans de la disparition de Serge Gainsbourg, il lui rend hommage et retrace sa vie et son oeuvre, dressant le portrait d'un mythe de la chanson française. Il est allé à la rencontre de ces nombreuses femmes qui ont tant compté pour lui et l'ont si souvent inspiré : Jane Birkin, Juliette Gréco, Vanessa Paradis, Bambou, Brigitte Bardot, Françoise Hardy ou sa fille Charlotte.
2/ - Gainsbourg (vie heroique) le film ou conte comme préfère le dire Jane Birkin.
Grand séducteur, artiste écorché vif, provocateur impénitent... l'acteur Éric Elmosnino compose un Serge Gainsbourg plus vrai que nature dans Gainsbourg, une vie héroïque, réalisé par l'auteur de bandes dessinées Joann Sfar avec une fantaisie qui s'essouffle au fil du film, écrit Rébecca Frasquet, de l'AFP.
Dans les salles le 20 janvier, «ce conte de Joann Sfar» - une mention exigée via la justice par l'une des compagnes de Gainsbourg, Jane Birkin - prend quelques libertés avec la biographie de l'artiste.
Mais c'est pour mieux saisir sa vérité intime, estime son auteur, connu pour ses aventures du Chat du rabbin qui, à 38 ans, a publié près de 140 albums, dont les aventures de Petit Vampire, Pascin ou la Sardine de l'espace.
L'enfance est au cœur de la première moitié de ce long-métrage de 2h10, de loin la plus réussie: on y suit, dans le Paris occupé par les nazis des années 1940, le jeune Lucien Ginsburg, un garçon en culottes courtes affligé, pour son malheur, d'une terrible «Gueule de juif».
Celle-ci devient bientôt un véritable alter ego, un personnage indépendant qui symbolise à la fois l'instinct créateur et le mauvais génie de Gainsbourg.
Jouée par l'acteur américain Doug Jones - qui avait personnifié l'humanoïde aquatique de Hellboy ou Pan dans Le Labyrinthe de Pan - revêtu d'une tête en latex à l'appendice nasal géant, cette figure apporte une dimension poétique, tantôt tragique, tantôt humoristique, au film.
C'est là la meilleure idée de Sfar. Celui-ci signe sa première réalisation qui s'ouvre sur un joli générique en animation. C'est en juin que doit sortir son film d'animation Le chat du rabbin, adapté de sa BD et cosigné avec Antoine Delesvaux.
Après avoir campé l'artiste en jeune poète timide cloîtré dans sa chambre sous les toits, Sfar saisit le processus créatif «gainsbourien», émaillé de provocations flamboyantes et de pulsions autodestructrices, et les rencontres marquantes - avec Boris Vian notamment -, au fil de scènes plutôt réussies.
Mais bientôt entrent en scène les femmes de la vie de Gainsbourg, aussitôt déclinées comme autant d'archétypes: France Gall (Sara Forestier) en adolescente mièvre, Juliette Gréco (Anna Mouglalis) l'irrésistible femme fatale, Brigitte Bardot (Laetitia Casta) la femme-enfant déjà sex-symbol, Jane Birkin (Lucy Gordon, qui s'est suicidée en mai) l'âme sœur et Bambou (Mylène Jampanoï) la sulfureuse amante.
Avec ce défilé d'icônes parfois réduites à une célèbre tenue, une poignée de mimiques et un phrasé exagérément calqué sur l'original - surtout la Bardot de Laetitia Casta -, le spectateur voit s'évanouir une bonne part de la fantaisie et de l'originalité du film.
Chantées par les comédiens, les versions des tubes de Gainsbourg qui émaillent le film sont plus ou moins réussies.
Après avoir envisagé de confier le rôle à Charlotte Gainsbourg, fille de Serge - après des mois d'hésitation, elle a décliné -, Joann Sfar s'est tourné vers Éric Elmosnino, un comédien chevronné venu du théâtre et qui, au cinéma, a déjà tourné avec Olivier Assayas, Bruno Podalydès ou Albert Dupontel.
Son Serge Gainsbourg est impressionnant de vérité: ironie mordante, séduction, fragilité, élégance ou violence, tout y est.
source >> lorientlejour.com
Avec un site dédié pas trop mal gaulé http://www.gainsbourg-lefilm.com/ comportant de nombreux extraits, un concours, des itv.
L'acteur incarnant serge parait étonnament crédible au moins physiquement. J'ai un peu peur et en même temps je suis curieuse de voir le résultat.
3/ - L'expo au Jazz Club de Paris (chez l'élite donc)
Dans le cadre de la sortie au cinéma le 20 janvier 2010 du film Gainsbourg (vie héroïque) de Joann Sfar, le Jazz Club Etoile s'associe à Universal pour exposer une sélection de photos tirées du film. Ce film hors normes raconte de façon épique la vie réelle et fantasmée de Gainsbourg, l'un des plus grands artistes français du siècle passé.
Ce sont plus d'une vingtaine de photos représentants les scènes les plus saisissantes et symboliques du film qui seront exposées jusqu'à mi-février.
La bande originale du film, signée Olivier Daviaud, sera également diffusée au Jazz Club Etoile, pendant la journée. Les plus célèbres chansons de Gainsbourg y sont réinterprétées par les acteurs et la musique a été confiée à des artistes différents pour chaque morceau : Gonzales, Dionysos ou encore Philippe Katerine.
Du Poinçonneur des lilas, en passant par la Javanaise, Comic Strip, Bonnie & Clyde ou encore la Valse de Mélodie Nelson, replongez dans l'univers 'Gainsbarre' au son des plus grandes mélodies de l'artiste.
Source >> http://www.jazzclub-paris.com
__________________________________________________________________________________
Message édité par Meganne le 15-01-2010 à 23:49:48
---------------
#AOC2024 & #2028