Stop à la dépression [ Les anti-dépresseurs ] - Page : 28 - Santé - Discussions
Marsh Posté le 04-07-2004 à 23:06:45
Et effectivement le sport a l'air d'être une thérapie très efficace, j'ai lu des articles très encourageants sur le sujet. Ce forcer pendant 15 jours a 3 semaines a pratiquer 30 min par jour de sport, c'est comme les AD faut un peu se forcer mais après des résultats semblent visibles, meme tres visible dans certains cas.
Marsh Posté le 04-07-2004 à 23:13:01
Personnellement je ne fais que de la marche... Je ne peux pas me permettre de faire du VTT à cause de mes chutes de tension... Pareil pour l'équitation, limité au manège couvert et fermé
Marsh Posté le 04-07-2004 à 23:31:54
Nico [PPC] a écrit : Personnellement je ne fais que de la marche... Je ne peux pas me permettre de faire du VTT à cause de mes chutes de tension... Pareil pour l'équitation, limité au manège couvert et fermé |
Dasn une emission radio, lils parlaient justement que faire plusieurs ballades/marche pouvaient aider en cas de depression. Mais un conseil, mieux vaut eviter de penser/ressasser pdt ce temps.
Marsh Posté le 05-07-2004 à 00:54:24
hezekiell a écrit : Resumé de la journée . |
Avant de commercialiser un médicament il doivent passer par 3 étapes :
I - je sais plus
II - tests sur les animaux
III - tests sur l'homme (groupe de volontaires par exemple)
Quand tu vois la mention d'un effet secondaire sur une notice comme étant TRES RARE, c'est que le cas est apparu pendant les phases de tests. rien ne dis que ça se reproduira.
Puis pendant la phase II, ils testent aussi les quantités. Genre on peut le comparer aux processeurs qui sont testé à des fréquences supérieures à celles de commercialisation.
Bref franchement si tu as une vie relativement saine, pas d'antécédents hépatiques et que t pas alcoolique, tu n'as pas à t'inquiéter
Marsh Posté le 05-07-2004 à 10:20:57
Il y a également une 4° phase qui se passe après la commercialisation et qui s'appelle pharmacovigilance (on remonte tout les effets indésirables imputables à un médocs) et qui conduit à des modifications d'AMM, voire des retraits (cf la cerivastatine)
Marsh Posté le 05-07-2004 à 11:13:05
Le Stablon est le seul antidepresseur conseillé en cas de cirrhose... c'esst plutôt encourageant pour le foie. Je continue donc.
Non y a un an et demi j'ai eu une legere augmentation des transaminases, j'ai fais les tests Hep B, Hep C du coup et rien nada. Donc les Transa peuvent augmenter parfois legerement visiblement et ce, sans raison forcément grave. A ce moment j'avais pris un anxylolitique je crois et je n'avais pas une alimentation saine du tout. Ceci peut expliquer celà.
Je ne bois pratiquement jamais d'alcool.
Evidemment j'ai jamais eu d'ictere, le blanc des yeux jaunes etc...
Tiens ici qui durant son traitement antidep a eu des examens de sang réguliers ? Ca semble pas si courant.
Marsh Posté le 06-07-2004 à 13:31:40
Bah ouais vu que certains AD semble mal supportés, je dirais pas toxiques, pas un seul est vraiment hépatotoxique sauf quelques rares cas d'hépatites médicamenteuses non chroniques et stopant lentement (plusieurs mois ou années) à l'arrêt du traiement. Donc un dosage des Gamma GT, Transaminases , NFS, et puis glycémie à jeun, cholesterol et tryglicérides, VS semble le minimum à faire ce temps en temps.
De toutes façon, tout à chaqun devrait en faire un de temps en temps (tous les 2 ans) histoire de voir. Le sang est très révélateur quand les chiffres éclatent les normes. De legeres hausses isolées ne sont en général pas révélatrices ou graves mais quand c'est très au dessus ou en dessous des normes, bein on se soigne.
Marsh Posté le 06-07-2004 à 13:34:24
Un généraliste suffit pour des examens de sang non ? Un psy c'est pas trop son taf ca ?
Marsh Posté le 06-07-2004 à 13:38:50
Et interprete les résultats avec ton médecin , va pas flipper tout seul si jamais t'as des taux pas bons, c'est parfois normal même si un peu haut ou bas pour le labo. Bref pas d'inquiétude à tort parceque si tu fais comme moi, t'as une legere augmentation des transa, tu mattes sur le net, hop hépatite C direct. C'est ce qu'ils disent la plupart du temps alors que dans le cas d'hépatites, ca éclate le plafond, genre 2 a 10 fois la dose normale et pas 60 pour 40 par exemple.
Si en plus tu as un surpoid (comme moi), bein le foie est plus gras, donc souffre plus, donc libere plus de transa également sans pour autant être une hépatite chronique ou autre.
Bref bref pour le NFS pareil, trop de globules rouges, c'est pas un drame, pas assez de blanc, plus ennuyeux, trop de blanc, signe que ton corps combat une bactérie (ca arrive super souvent), etc...
Marsh Posté le 25-07-2004 à 14:00:06
Un autre test en anglais existe qui permet de mesurer son degré de dépression et son degré d'exaltation (manie).
J'ai traduit ce test sur mon site (que je suis en train de construire)
Voici le lien, vous trouverez sur la page les renvois au test anglais.
http://ressources.forumactif.com/viewtopic.forum?t=123
Marsh Posté le 29-07-2004 à 12:42:15
webzeb a écrit : J'obtiens un magnifique 53.:sweat: |
un psy fait pas des miracles ça c sûr. Mais en allant en consulter un régulièrement et en souhaitant honnêtement effectuer un travail sur toi-même, tu arriveras non pas à changer le comprtement des autres, mais à apprendre à ne plus y faire autant attention.
Et c logique : du moment sur tu as une image relativement juste de toi-même et que tu sais ce que tu vaux autant au niveau de tes forces et de tes faiblesses, ben le jugement des autres tu t'en balances.
Marsh Posté le 29-07-2004 à 12:58:13
webzeb a écrit : Ca fait 5-6ans que j'essaye de me convaindre de ça, du mieux que je peux. Mais très honnêtements y'a certains comportement qui me sont insupportables. C'est trop, trop souvent, pour que je puisse y ignorer et subir encore longtemps... |
Je n'en doute pas, mais je craint que tu ne continues de ne voir que le haut de l'iceberg de ton "moi".
Si vraiment tu veux te comprendre seul, alors je ne vois que la méditation. Et encore, à mes yeux, il manquera toujours l'expression du ressenti.
Tu pexu pas savoir l'importance que ça a de mettre des mots sur les choses. C comme ça que les mécanismes se mettent à jour.
Par exemple prend les mathématiques, j'ai toujours pensé que pour réussir ct une question de français. Si tu maîtrise le sens des mots que tu lis (énoncé) et que tu écris (démonstration) les problèmes de maths se font quasiment sans réfléchir.
Bah pour se comrpendre, c pareil.
Marsh Posté le 29-07-2004 à 19:06:42
Vous avez déjà pensé à vous foutre le tour? Moi des millions de fois et plus le temps file, plus je me dis que c'est la meilleure solution, je ne peux que tomber mieux.
A quoi bon vivre pour faire chier tout le monde et que tout le monde me fasse chier, tout ça pour finir dans une maison car je n'arrive en rien à m'assumer toute seule...
Des fois on voit des handicapés dans la rue, on se dit qu'il serait mieux au ciel, mais moi aussi, je peux rien faire toute seule, j'ai plus le goût à rien, et se battre c'est des conneries je me bats depuis que j'ai cette maladie, des années, et elle ne m'enfonce que plus.
Toutes les années je vois des personnes trop proches s'en aller, me fuir et ne plus jamais me voir... Pourquoi ai-je le droit, plus que qqun d'autre, de souffrir autant?
Mon père s'est suicidé, et ma mère dit qu'il est mieux où il est car il était malheureux dans ce monde... Mais c'est vrai!!! Je ressens ce qu'il ressentait!
Merde!
Marsh Posté le 29-07-2004 à 21:15:04
ca peut pas être mieux quand on meurt, vu qu'il n'y a plus rien.
à toi de voir si ta vie n'est réellement que mine de mauvaises choses. quand à ta mère, je trouve ca dommage qu'elle puisse dire une chose aussi horrible, mais ca c'est ma vision personnelle.
Marsh Posté le 29-07-2004 à 22:07:02
Franchement, à tous: tenez bon. J'ai aussi pateaugé dans le caca, comme vous, au point de rester enfermer chez moi pendant une semaine sans sortir.
Oui, à un moment on perd espoir. Il suffit d'accepter le fait qu'on soit malade (pas dans le sens 'maboule' bien sûr!). A partir du moment où l'on a réalisé cela, vous êtes sur la voie de la guérison. Sachez que la vie n'est pas parfaite, et qu'elle ne le sera jamais. Mais on en tire du bonheur.
Quand je dis réaliser, ce n'est pas se dire une fois 'OK, je suis malade'. Non, c'est au bout d'une réflexion sur soi-même. Je ne peux pas vous donner la clef, c'est à chacun de la trouver. Si vous réalisez que vous gagnerez plus à avancer plutôt qu'à stagner, c'est du tout bon. Surtout, ne vous forcez pas artificiellement à essayer de vous en sortir pour quelqu'un d'autre. C'est vous, et vous seul qui comptez. Vous agissez pour vous, et sachez une chose, votre destinée vous appartient. Vous seul avez la solution. Même si un proche vous aide, ce sera toujours vous qui aurez fait le boulot nécessaire.
Après les nuages, le soleil. Franchement, mettre fin à sa vie est un terrible (et ce n'est pas l'opinion d'un djeunze qui dit ça alors qu'il n'a pas vécu cette situation. Moi aussi j'ai sérieusement pensé à en finir). J'aurai raté tellement de choses. Demain je vais avouer ma flamme à une jolie fille (c'est du tout cuit, vous verriez les regards qu'on échange lorsqu'on discute ), je vais bouffer un barbecue avec mes amis, et ensuite je me casse avec eux en montagne. Je bosse les langues parce que l'école à laquelle j'ai postulé en Juin m'a trouvé trop faible en langues mais m'a donné une seconde chance parce que sinon, leur dossier les intéresse (la vie n'est pas parfaite, et alors? Une fois la volonté retrouvée, on peut changer le cours des choses). Si tout va bien, je rentre dans leur école et je vais pouvoir au final faire un boulot qui m'intéresse.
Franchement, ç'aurait été trop con de me fouttre en l'air maintenant que j'y pense.
Vous avez la solution, c'est certain. Vous devez la trouver. Non, il n'y a pas de gens qui n'ont pas de solution. Seulement des gens qui ont été trop impatients pour trouver la solution et qui en ont finit.
Si vous avez une histoire qui représente un poids énorme pour vous, et qui est à l'origine de votre dépression, parlez en à un proche. Si ça ne les concerne pas directement, les parents sont là. Sachez qu'une mère a un lien très intense avec ses enfants. Vous souffrez, elle souffre elle aussi. Pour ma part, j'ai eu le déclic lorsque ma mère est venue me voir dans mon lit (une des rares fois ou je retournais chez eux. Autant dire que j'étais un zombi), m'a caressé la joue, sans rien dire, en me regardant avec un amour qu'il est impossible de décrire. On est de la même chaire, elle me donnait son amour. J'ai pleuré, alors que ça ne m'arrive jamais.
Faites du sport, ça aide.
Et rappelez vous, après les nuages, le soleil!
Bonne chance à tous.
edit: lisez "les nourritures affectives" de Boris Cyrulnik et son bouquin sur la résiliance (la capacité à trouver la force de s'en sortir), très intéressants comme livres. Je les ai étudiés en cours de psycho à la fac. La vie = prise de risques.
Marsh Posté le 09-08-2004 à 18:25:16
une de mes meilleures amies vient d'y entrer
Marsh Posté le 09-08-2004 à 21:44:43
T-W a écrit : c'est ca le pire: je ne leur en parle meme pas |
bienvenu au club! exactement la même chose! T'en as parlé avec tes parents?
Marsh Posté le 10-08-2004 à 08:28:54
Nico [PPC] a écrit : De retour après 15 jours d'hospitalisation |
Ben fait pas cette tête
ça ne t'as rien apporté ?
Marsh Posté le 10-08-2004 à 11:54:13
Rien du tout, c'est pire qu'à la maison, ça manquait de calme notamment.
Marsh Posté le 10-08-2004 à 14:06:50
Nico [PPC] a écrit : Rien du tout, c'est pire qu'à la maison, ça manquait de calme notamment. |
Essaie d'expliquer, que ça profite à d'autre.
Tu étais dans quel type d'établissement ? dans quel service ? comment était organisé la journée ? avais-tu un traitement en parallèle ? etc...
Marsh Posté le 10-08-2004 à 14:16:26
Au départ je devais y aller pour une cure de mais les divers examens ont révélé que mon foie ne supporterait pas les hypnotiques qu'on administre dans ce genre de traitement. C'était dans une clinique psychiatrique privée, le problème c'est qu'il y avait deux cas assez avancés dans les chambres adjacentes, j'ai passé mes journées dehors à me promener, j'ai refait plusieurs examens avant de rentrer chez moi
Marsh Posté le 10-08-2004 à 15:32:06
ouais parle-en, je vais voir mon amie demain, histoire que je lui pose pas les questions qu'il ne faut pas
Marsh Posté le 12-08-2004 à 06:58:37
Salut tout le monde,
j'ai traversé, comme beaucoup d'entre vous, une phase de depression très importante, au point d'avoir essayé de mettre fin à mes jours (et d'avoir presque réussi).
Je ne vais pas retracer tout mon parcours, mais plutôt vous dire comment je m'en suis sorti, avec bien entendu toute la reserve qui s'impose. A savoir que ce que je raconte n'est pas un modèle de guérison ni un comparatif avec d'autres méthodes, simplement une expérience qui pourrait éclairer certains, voire les aider.
Tout d'abord, le traitement médicamenteux. Je prenais du Zoloft, puis du Deroxat (Paroxétine par la suite) et ça m'a quand même pas mal aidé. Au moins j'arrivais à me lever, à reprendre un peu de contôle sur ma vie, et ça me donnait l'energie de faire les gestes basiques (se lever, se laver, se faire a bouffer, etc ...) qui permettent de redonner un peu de normalité à la vie de depressif.
Ensuite, la consultation chez le psychiâtre. J'ai réalisé que je souffrais d'une image extrêmement négative de moi même, et d'autres problèmes qui restent encore un peu durs à exposer sur un forum, mais que j'ai essayé d'aborder sans tabous avec le psy.
Comprenez bien qu'il n'est pas là pour juger, mais payé pour vous écouter et vous aider, alors n'hésitez pas à aller au fond des choses. Je me rappelle parfaitement le bien être que j'ai ressenti en sortant de certaines séances où j'abordais mes problèmes de manière frontale, sans me réfugier derrière de fausses excuses. Meilleur qu'une double dose de Xanax !
Et puis, je pense, l'élément décisif, fut le sport. Pour vous situer le personnage, je suis un gringalet qui fume un paquet de clopes par jour, qui a en classe de première eu le commentaire suivant du prof d'EPS à la fin de l'année : "ne connait pas cet éléve. Ne s'est jamais présenté à un seul cours". Donc à priori, pas l'athlète du coin, hein ...
Bon, donc pendant que j'étais en vacances au soleil, j'ai commencé à courir un peu. 15 minutes tous les deux jours (environ) au début. Puis un peu plus, 20 minutes chaque jour, et ça allait vraiment mieux.
En rentrant sur Paris, j'ai bien essayé de courir encore, mais prendre le metro à 6h du mat' le dimanche (sinon bonjour la pollution) pour aller dans un stade à la porte de Paris pour avoir 30 minutes de transport à suer dans son jogging, je n'ai pas tenu longtemps.
Et là, rechute. Donc, sans affirmer qu'il y a une corrélation directe et radicale entre l'arrêt de l'activité physique et la reprise des symptômes depressifs, je pense quand même que le sport m'aidait à refaire surface et me procurait des sensations de bien-être que je n'avais pas ressenti depuis la dernière fois ou je m'étais vraiment senti BIEN.
Je me suis alors orienté vers la musculation dans un club, même si j'étais extrêmement réticent au début. Et là j'ai vraiment commencé, non seulement à me fixer des objectifs (y aller tant de jours par semaine, faire tels ou tels exercices), et varier mes activités sportives, allant goûter à des sports qui me dégoutaient avant, comme la boxe française, etc ...
Là j'ai vraiment commencé à aller beaucoup mieux, quasiment plus aucuns symptômes depressifs, abandon progressif du traitement médicamenteux, consultations plus aléatoires chez le psy, bref, enfin la délivrance.
Aujourd'hui je ne suis plus depressif, j'ai une bien meilleur image de moi même (la muscu a aidé, sans le vouloir), et une partie de mes problèmes sont résolus, mais je continue à voir le psy environ deux fois par mois, comme une sorte de suivi (et aussi parce que je souffre de crises d'angoisse, mais c'est un autre sujet. D'ailleurs, elles disparaissent complètement tant que je fais du sport et réapparaissent si j'arrête, c'est quasi automatique).
Voilà, bon courage à tous et n'hésitez pas à me poser des questions où à me contacter en MP si je peux être d'une quelconque aide.
Marsh Posté le 12-08-2004 à 14:42:12
J'ai essayé le Zoloft, et j'avoue que je me sentais mieux. Mais 3 jours après le début du traitement, j'ai commencé à ressentir des douleurs lorsque j'urinais et j'éjaculais. J'ai fait des analyses d'urine et de l'urètre, rien. Donc je viens de passer au Citalopram, je verrai bien ce que ça donne...
Même si ça a déjà été dit, j'étais très réticent aux médicaments, et ils m'ont bien aidé. L'image de la béquille me plait.
Marsh Posté le 16-08-2004 à 19:41:43
zoloft c'est pas particulièrement récent ; ca doit avoir a peu près 10 ans
Marsh Posté le 19-08-2004 à 00:16:38
Bonjour tout le monde
Je commence le Deroxat ce soir 1 cachet + anxiolitique pour plusieurs raisons, la liste des effets secondaire fait un peu peur mais comparé à mes problèmes je tente le coup; j'ai tapé Deroxat dans google et j'ai lu de tout .. certains disent qu'il fait effet immediatement et d'autres au bout d'une quinzaine de jour ( ce que m'a dit mon docteur ) alors j'attends de voir si il aura ou pas un effet positif sur moi, j'en prends pour 15 jours et ensuite je vais revoir mon docteur pour faire le point, j'espère qu'il me fera du bien.
Marsh Posté le 19-08-2004 à 00:22:29
Le Matou a écrit : J'ai essayé le Zoloft, et j'avoue que je me sentais mieux. Mais 3 jours après le début du traitement, j'ai commencé à ressentir des douleurs lorsque j'urinais et j'éjaculais. J'ai fait des analyses d'urine et de l'urètre, rien. Donc je viens de passer au Citalopram, je verrai bien ce que ça donne... |
tu y arrivais?? moi quand j'etais sour deroxat, impossible!!
Marsh Posté le 19-08-2004 à 00:23:14
Bestial Warlust a écrit : Bonjour tout le monde |
pour moi l'effet a mis du temps à venir! ptet 3 semaines!
Marsh Posté le 19-08-2004 à 00:32:19
cyber-MX a écrit : pour moi l'effet a mis du temps à venir! ptet 3 semaines! |
Ah oué quand même, à la base je prends déjà des anxiolytiques depuis 6 ans ( j'ai demandé si je pouvais les arreter puisque je prendrais du Deroxat mais le doc a dit que non vu que le Deroxat n'agirait que quelques-jours plus tard, j'aurai été en sevrage et mes problèmes seraient réapparu en pire donc pour le moment je prends les 2 ) j'aurai peut-être plus de mal à ressentir l'effet du Deroxat que quelqu'un de "saint" à ce niveau là, enfin on verra bien
Marsh Posté le 19-08-2004 à 06:31:49
je sais que ca a pas trop à voir directement avec la dépression mais je suis en train de recommencer à faire des insomnies normales et insomnies matinales.
Tout cela provient d'un mix entre plusieurs choses: ce qui n'allait déjà pas bien avant, recherche d'emploi, chomage imminent, l'impression de ne rien pouvoir prendre en main, etc.
je vais chez le psychologue la semaine prochaine pour en parler. Perso je n'aimerais pas avoir d'anti-dépresseurs, mais dans quels cas sont-ils donnés? perso j'ai l'impression qu'ils les donnent à tord et à travers
Marsh Posté le 19-08-2004 à 10:08:50
urd-sama a écrit : je sais que ca a pas trop à voir directement avec la dépression mais je suis en train de recommencer à faire des insomnies normales et insomnies matinales. |
les insomines c'est souvent du à la depression...
Marsh Posté le 19-08-2004 à 10:36:27
cyber-MX a écrit : les insomines c'est souvent du à la depression... |
peut-etre, j'ai jamais su si j'étais en dépression ou pas, et pour moi ca change rien.
tout ce que je veux c'est ne pas avoir des médicaments pour rien, car je culpabilise d'en prendre
(abonnée aux maux de tête)
Marsh Posté le 19-08-2004 à 14:54:37
cyber-MX a écrit : les insomines c'est souvent du à la depression... |
non, là t'inverse le truc quand même.
La dépression cause souvent des insomnies, c vrai. Mais les insomnies ne sont pas particulièrement dues à la dépression.
Marsh Posté le 19-08-2004 à 15:39:52
cyber-MX a écrit : pour moi l'effet a mis du temps à venir! ptet 3 semaines! |
Moi je suis sous deroxat depuis 5 ans. Ca a tout de suite marché; j'avais une sorte de névrose phobique, je ne voulais plus sortir de chez moi parce que j'avais peur qu'il m'arrive un truc désagréable dehors (typiquement: tomber dans les pommes ou vomir). J'avais tout le temps mal au ventre, peur d'être enfermée etc...
Le Deroxat (prescris par mon psy dès la 1ère séance) a fait effet tout de suite, sasn effets secondaires.
Mais je ne l'ai plus jamais arrêté; à chaque fois se présentait une nouvelle cause de stress (bac français, bac, examens du deug, concours, maladie puis décès de mon père...)
J'ai finalement décidé de l'arrêter début septembre, j'auraus alors 2 mois de vacances pour m'en remettre. J'ai un peu peur car j'avais essayé d'arrêter il y a quelques mois, et j'ai dû recommencer car effets secondaires du sevrage trop handicapants (sueurs, vertiges, nausées, diarrhées...)
Qq'1 a-t-il réussi son sevrage du Deroxat? Conseils svp !!!
Marsh Posté le 19-08-2004 à 15:43:56
kwikweg a écrit : Moi je suis sous deroxat depuis 5 ans. Ca a tout de suite marché; j'avais une sorte de névrose phobique, je ne voulais plus sortir de chez moi parce que j'avais peur qu'il m'arrive un truc désagréable dehors (typiquement: tomber dans les pommes ou vomir). J'avais tout le temps mal au ventre, peur d'être enfermée etc... |
Et ben c'est les effets que je viens de ressentir ce matin après avoir pris mon premier Deroxat hier soir plus des tremblements, j'arrivais tout juste à tenir un verre d'eau dans la main, je sais pas si je continu ou arrete ou si c'est normal
Marsh Posté le 19-08-2004 à 16:02:39
kwikweg a écrit : Moi je suis sous deroxat depuis 5 ans. Ca a tout de suite marché; j'avais une sorte de névrose phobique, je ne voulais plus sortir de chez moi parce que j'avais peur qu'il m'arrive un truc désagréable dehors (typiquement: tomber dans les pommes ou vomir). J'avais tout le temps mal au ventre, peur d'être enfermée etc... |
Je ne pense pas que tu puisses te sevrer de 5 ans si facilement hélas (bon j'en sais rien hein, mais je raisonne intuitivement).
Si j'ai un conseil à te donner, c de réduire progressivement les doses, chaque semaine moitié moins que celle d'avant. Et quand t'en es à une moitié de cachet un jour sur deux, tu termines la semaine et tu stoppes.
Mieux encore consulte un médecin, car 5 ans c vraiment pas annodin, ton cerveau n'est plus habitué à fonctionner sans support
Marsh Posté le 19-08-2004 à 16:03:37
Bestial Warlust a écrit : Et ben c'est les effets que je viens de ressentir ce matin après avoir pris mon premier Deroxat hier soir plus des tremblements, j'arrivais tout juste à tenir un verre d'eau dans la main, je sais pas si je continu ou arrete ou si c'est normal |
Rien de fondammentalement inquiétant. c quoi ta posologie ?
Marsh Posté le 04-07-2004 à 23:03:37
Reprise du message précédent :
Je te souhaite sincèrement d'y arriver Tu es aussi le mieux placé pour savoir si tu peux t'en sortir seul ou non.
Toutefois n'oublie pas que la psyché aussi peut se révéler fragile
Je comprends tout à fait que tu ne veuilles pas jouer avec ton foie, mais ne te mets pas à jouer avec ta psyché
Resumé de la journée .
Morose toute la journée, franchement rien envie de faire. Puis, vers 17h, tout d'un coup, la peche, la patate et la je l'ai encore. En fait c'est un peu comme ca tous les jours en ce moment. La journée bof et quand le soir arrive, la patate. Maniaco depressif ? J'en doute car chez moi c'est maintenant casi a heures fixes, des que le soir arrive, ca va mieux.
Suis je un oiseau de nuit ? Franchement j'en sais rien.
Je continue pour le moment le Stablon qui a l'air de pas donner d'effets secondaires, je dis bien à l'air, j'ai pas encore de bilan sanguin. J'attends genre un mois pour en faire un histoire de voir si mon organisme réagit bien ou passablement ou suffisament bien pour continuer un temps.
J'ai toutefois quelques questions qui appellent des réponses :
Dans BIAM quand on voit des effets secondaire genre hepatite cyclomachin ou hepatite mixte, c'est casi tous les AD d'ailleurs, et que c'est inscrit TRES RARE ou A VERIFIER ca veut dire quoi, un cas sur 1000 sur 100000 ... sur beaucoup en tous cas ? Comme c'est le cas pour la molécule du Stablon comme d'ailleurs casi tous les AD comme je le disais, je me posais la question sur la dangereusité réelle.
Voila bonne soirée