Schizophrénie (s) [topic unique] - Santé - Discussions
Marsh Posté le 11-02-2010 à 08:48:01
Sujet intéressant mais voilà :
Citation : Merci de ne PAS TROLLER sur ce topic. |
C'est le bide assuré
Marsh Posté le 17-02-2010 à 20:53:13
Merci à toi Colonel moutarde...
Bah je viens de parcourir le sujet sur la bipolarité : aucun troll à l'horizon comme quoi...
Le schizophrène se cache ?
Marsh Posté le 17-02-2010 à 21:23:17
le colonel moutarde a écrit :
C'est le bide assuré |
Un homme averti en vaut deux attend ...
Marsh Posté le 17-02-2010 à 22:04:35
Hello!
Super, enfin du monde sur ce topic.
Alors je fais un petit disclaimer, je ne suis pas spécialiste. Toutefois, il faut bien distinguer (comme tu l'exposes ?) schizophrénie et trouble de la personnalité multiple. Cela n'a rien à voir !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Troub [...] 9_multiple
Le film "psychose" à tord dés-informe sur la schizophrénie (le gars serait plutôt personnalité multiple. On pourrait même parler de "un homme d'exception" qui romance à mort la schizophrénie de Nash).
Je crois qu'on parle plutôt de morcellement de la personnalité dans la schizophrénie car les fonctions intra-cérébrales ont du mal à faire la jonction entre elles...
Les schizophrènes ne se prennent pas pour un proche décédé en s'affublant de costume du mort !!
En fait je viens de m'apercevoir que j'ai fait tout sauf répondre à ta question
Marsh Posté le 17-02-2010 à 22:09:03
Citation : Tiens, j'aurais quelques question en tant que "curieuse" |
Je ne vois pas exactement à quoi correspond ce dédoublement dont tu parles.. Peut-être une angoisse de dépersonnalisation ? Mais ça m'étonnerait que ce soit ça vu comme tu le décris.
En fait par rapport à la paranoïa, je ne crois pas qu'il soit question de degré. La maladie paranoïa étant bien distincte de la schizophrénie.
Pour cela je te renvoies au diagnostique différentiel que propose wikipedia :
Code :
|
Chalut !
Marsh Posté le 17-02-2010 à 22:22:56
Citation : Drap |
Bienvenue
Moi non plus j'en connais pas énormément sur le sujet.
Mes vagues notions sont celles de mon médecin (qui est pas bavard le bougre parce qu'il faut pas étiqueter) , wikipédia, divers articles spécialisés, ma sœur qui a étudié en psycho et quelques autre sources.
Je crois que cette curiosité est aussi due au fait qu'on ne connait pas tout, loin de là, sur le fonctionnement du cerveau.
Puis quand même la folie est un sacré tabou dans nos sociétés...
Marsh Posté le 17-02-2010 à 22:24:09
au passage je suis étiqueté schizo-affectif... d'où mes récentes interventions sur le topic "bipolarité"
Marsh Posté le 17-02-2010 à 22:42:32
Pour être plus précis, le morcellement de la personnalité dont je parlais s'appelle dissociation.
http://www.medix.free.fr/sim/psychiatrie-soins.php
Je croyais m'être planté mais visiblement ma mémoire ne me joue pas encore trop de tours.
Une petite recherche sur google vous permettra d'aborder ce concept de dissociation.
Wikipedia évoque les troubles dissociatifs ainsi que le syndrome dissociatif.
Marsh Posté le 17-02-2010 à 22:49:14
manu__ a écrit :
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Non
Marsh Posté le 17-02-2010 à 22:49:55
manu__ a écrit :
|
Ouais j'ai un ami très proche qui est atteint
Marsh Posté le 17-02-2010 à 23:00:33
Un petit lien vers les """nouveaux""" neuroleptiques prescris depuis quelques années maintenant. On les appelle les neuroleptiques atypiques.
J'ai testé POUR VOUS Zyprexa, ça fait horriblement grossir.
Testé aussi Risperdal et abilify. (si des collègues patients ont des questions, n'hésitez pas)
Je viens de trouver un lien qui a l'air pas mal explicatif... (bien que ça ressemble à une page wanamoo... )
http://www.la-schizophrenie.com/neuroleptiques.htm
Tiens, je m'imposerai une petite visite sur ce site qui a l'air d'aborder pas mal d'aspects de la maladie...
Marsh Posté le 17-02-2010 à 23:05:38
Ok je suis assez prolifique ce soir... mais après visite de ce site, il semblerait qu'il y ait un gros potentiel qualitatif.
Très bien vulgarisé et tout...
A lire. (non ce n'est pas mon site... )
Marsh Posté le 17-02-2010 à 23:07:33
ReplyMarsh Posté le 17-02-2010 à 23:42:05
Hello,
En premier lieu en parler au toubib...
Ensuite le Risperdal fait vachement moins grossir encore que ça doit dépendre des personnes. Sur moi, très peu de prise de poids. Je le prends en injection 50mg toutes les 2 semaines : ça m'évite d'avoir à penser à prendre les cachetons...
L'abilify est réputé pour être assez efficace chez certaines personnes, mais certaines autres supportent mal et/ou pas efficace... D'après ce que j'ai compris c'est un peu comme le solian (sans les effets secondaires?? mais on parle de personnes qui supportent mal donc...)
- Abilify semblable au solian, pas sûr de moi par contre.
Marsh Posté le 19-02-2010 à 17:28:28
Mon frère en est atteint et c'est particulier à décrire.(je ne suis pas expert non plus je vais essayer d'expliquer ce que je vois et ce que je sais)
En fait il y a différents degrés dans cette maladie (en gros on peut identifier 3 catégories du peu atteint au gravement atteint).
Les symptômes que l'on peut observer sont une dépression marquée (envie de rien, recroquevillement sur soi, laisser aller dans le quotidien(ne se lave pas ne se rase pas)).
Tout cela lié à des hallucinations ("auditives" et plus rarement visuelles). Une sorte de paranoïa en fait.
Il parle seul par moments ou avec ses "voix" comme on dit.
Et il n'est pas identifié comme étant dans la pire catégorie.
Le côté "dépressif" est présent constamment, par contre le reste ce n'est pas 24h sur 24 mais par périodes plus ou moins fréquentes et intenses dans la journée .
Il y a quand même des périodes "normales" ou il est bien "avec nous" ou il discute mais cela fait plus de 2 ans qu'il voit un psychiatre et ce n'est que maintenant qu'on voit le progrès, ou il est un peu plus qu'avant "avec nous". Au début c'était une sorte de "zombie" regard dans le vague, absent, souriant seul.
Voilà. En gros il prend un traitement, il a pris celui qui l'a fait beaucoup grossir mais a changé du coup(je ne sais pas quel est le nouveau).
Apparemment en prenant le traitement de manière régulière on peut avoir une vie "normale".... enfin normale c'est très loin de la normalité selon moi mais bon. Il faut faire avec.
Le problème c'est que pour l'instant il n'accepte pas la maladie, persuadé que tt ce qu'il entend est réel ce qui complique les choses.
Voilà en espérant vous avoir un peu éclairés
Marsh Posté le 19-02-2010 à 19:08:32
Salut larsou5,
Je plussoie fortement. L'acceptation de la maladie est une étape à franchir... Elle peut prendre du temps...
Mon psychiatre a fait un exposé sur le déni devant une assemblée de l'Unafam départementale. Unafam, association importante et précieuse de proches de malades. (je n'étais pas présent, étant directement touché).
J'en déduis que cette notion est sans doute abordée depuis quelques temps par les spécialistes...
Je suis également tout à fait d'accord pour dire qu'il y a plein de degrés différents.
De mon point de vue, de par les rencontres que j'ai faite, j'ai l'impression que 1 malade = 1 maladie...
Chez certains, les symptômes positifs (hallucinations etc.) sont plus marqués...
Chez d'autres les symptômes négatifs sont plus importants... Repli sur soi etc...
Puis d'après ce que je sais, on ne diagnostique pas forcément la maladie sur une seule visite.
Je souhaite à ton frère de s'en sortir, y a pas de raisons... Même si ça prend du temps.
Peut-être qu'un soutien psychologique pourrait aider... Prendre également peut-être contact avec des associations de patients etc..
Remplir sa journée avec des occupations ça structure beaucoup.
@+
Marsh Posté le 19-02-2010 à 19:15:26
Je témoigne également que cette saloperie engendre beaucoup d'anxiété et que le 'manque d'élan vital' est très difficile à supporter...
Je touche du bois, je suis actuellement en période pré-printemps, youpla boum bientôt les ptits zoziaux...
Mon médecin me dit que je suis (et que je resterai sans doute) à 50-6O% de mes capacités...
Marsh Posté le 19-02-2010 à 23:09:44
de soutien. Je fréquente le topic d'à côté (dépression).
Marsh Posté le 21-03-2010 à 11:04:54
Vivre avec cette saloperie :
Je vais devoir aller habiter (quelques temps?) en foyer de vie, car malheureusement je me sens incapable de m'en sortir seul et je ne veux pas m'appuyer constamment sur la famille.
Dans la journée je vais dans une association de patients, mais les taches que j'accomplis en famille sont réduites. J'essaye de donner des coups de main mais ça reste sporadique-> ça doit être le côté dépressif...
N'hésitez pas à témoigner vous aussi.
Marsh Posté le 21-03-2010 à 11:07:24
Au passage, je recherche le reportage diffusé sur France 4 à 20h30 il y a quelques jours...
Marsh Posté le 24-03-2010 à 20:38:44
Il y a un reportage ce soir sur France 4 à 22:05, serait-ce le même?
Marsh Posté le 25-03-2010 à 11:58:28
Salut,
Tu sais, entre tout ce qu'on lit ici et là de contradictoire sur absolument tous les traitements...
Je pencherais plutôt pour une réaction différente d'une personne à l'autre vis à vis d'une molécule...
Moi le zyprexa me faisait pas déprimer, juste grossir. (saloperie)
Mais bon si t'as un lien sérieux à donner pour étayer
Marsh Posté le 26-03-2010 à 03:12:56
je me demande:
"Ce qu'il faut retenir :
Trois types de symptômes et de signes caractérisent la schizophrénie : les symptômes positifs, négatifs et de désorganisation :
* Les symptômes positifs regroupent les délires et hallucinations.
* Les symptômes négatifs produisent un isolement social (repli sur soi, perte d'initiative...)
* Les symptômes de désorganisation provoquent une conscience de soi partielle ou totalement altérée.
"
il faut s'orienter vers quel dx si présence des deux derniers, mais absence du premier ?
Marsh Posté le 26-03-2010 à 07:56:08
freeza01 a écrit : je me demande: |
Marsh Posté le 26-03-2010 à 10:34:54
Citation : |
Oui ok, bien sûr. Je pense que c'est pour ça qu'il faut évaluer la prise de médicament en fonction du bénéfice/risque.
Je fréquente pas mal de malades pour qui la stabilisation passe par une ou des molécules... Cela dit, ok pour voir que pas mal supportent très mal les effets secondaires. Mais il faut voir qu'en crise, la détresse est profonde, et que je ne suis pas sûr qu'il y ait beaucoup de moyens de traiter différemment ces états de crise.
Les anciennes molécules provoquaient bien plus d'effets secondaires, shootaient littéralement.
Citation : La chimie medicamenteuse pour les psychotiques en est encore a ses balbutiements et pendant ce temps on leur fait bouffer de la sacree merde. |
De là à dire que c'est de la merde...
Encore une fois il ne faut pas généraliser et voir également les bénéfices des molécules, imparfaites certes.
Demande par exemple sur le topic dépression l'amélioration que donne les antidépresseurs chez des gens en grande souffrance prêts parfois au suicide.
Pour moi c'est un argument suffisant pour justifier l'existence de neuroleptiques, antidépresseurs et autres cachetons.
Citation : Personnellement je pense que ce genre de medicaments devraient etre reserve aux patients fortement atteint, et non a la vaste majorite des psychotiques (le risperdal est meme utilise chez l'enfant courament pour certaines pathologies comme l'autisme), mais pour ca il faudrait que la vision de notre societe evolue enormement par rapport a la "difference" du malade et pour ca la france est bien bien derriere ses voisins sans parler de pays plus eloignes ayant une differente culture donc une differente approche du sujet. Par exemple en italie il n'y a plus d'HP (ou presque plus?), les malades sont completement inseres dans la societe, en france on les bourre de cachetons voir on les enferme au moindre debut de crise pour pas prendre de risques, c'est tellement plus simple que de leur apprendre a gerer leur maladie, pas pour rien qu'on est les recordmen de la consomation de psychotropes par tete de pipe |
Tu sous-estimes je pense le mal être que la maladie engendre. Il ne s'agit pas seulement d'un handicap.
Oui effectivement il y a les pays comme le Danemark (ou l'italie ? mais je ne savais pas.) où la mentalité est bien plus évoluée qu'ici.
En même temps l'italie, ou tous les malades sont insérés (et qu'est ce que cela veut dire, insérés, sinon professionnellement) , je demande à voir. Le tableau me semble un peu idyllique.
Tu parles de gérer la maladie, mais c'est extrêmement difficile ! Sans tout jeter dans ce que tu dis, je ne suis pas sûr que quelqu'un qui décompense (pour utiliser un terme psy) gravement il pourra gérer quoi que ce soit...
Moi je me souviens toujours d'un gars qui arrêtait régulièrement son traitement, et qui à chaque arrêt quelques semaines plus tard rechutait lourdement...
Tout ça pour dire que , Oui, il y a un sacré fossé à combler et de sacrées amélioration à faire dans le traitement de la 'folie' mais le jour ou les tisanes verveines et l'insertion pro (faut il le pouvoir quand on est en crise), donneront des résultats excellents...
Marsh Posté le 26-03-2010 à 10:42:26
freeza01 a écrit : je me demande: |
Salut, à part les psychothérapies qui de toute façon sont super utiles (plusieurs types) , les neuroleptiques atypiques ont des effets sur les symptômes négatifs.
Sans oublier comme je le disais ailleurs l'aspect social, environnemental du malade. C.a.d un entourage qui puisse comprendre, un tantinet soit peu. Des trucs qui permettent de 's'évader' comme du bénévolat, un boulot si stabilisation il y a , l'hôpital de jour qui propose un accompagnement, des activités, etc. Associations type groupes d'entraide mutuel, association d'accompagnement...
Y pléthores de pistes, et surtout pas exclusives.
Marsh Posté le 26-03-2010 à 11:14:15
http://www.collectifpsychiatrie.fr/
La nuit sécuritaire.
Lettre d'information reçue aujourd'hui. Il y a une pétition à signer ( et elle a été énormément suivie)
Pour ma part, je ne suis pas spécialement impliqué dans une lutte contre le tout sécuritaire sauf que les derniers discours et mesures prises qui concernent la psychiatrie, elles, me concernent directement et il y a de quoi flipper.
Je vous copie/colle le texte du mail.
Citation : La psychiatrie se verrait-elle expropriée de sa fonction soignante, pour redevenir la gardienne de l'ordre social ? |
Concernant les émissions M6 et TF1, cela recoupe des commentaires du topic dépression sur la qualité des émissions diffusées et leur véracité.
Marsh Posté le 26-03-2010 à 11:43:17
Tu pourrais nous en dire plus sur l'Italie? J'ai du mal à croire qu'un pays latin, "traditionnel", soit en avance sur nous en ce qui concerne la psychiatrie. Si tant est qu'on puisse parler d'avancée... Je ne vois pas où est le problème à maintenir un réseau d'établissements hospitaliers, si besoin fermés. Le bien-être des malades est à prendre en compte, mais le bien-être de la société aussi. Comment intègre-t-on un schizophrène lourd dans la société? Et ton "insertion", ça consiste en quoi? Si c'est d'insertion professionnelle que tu parles, on a la même chose en France (les ateliers protégés ). Si c'est le regard des gens qui a changé, j'en serais heureux mais je demande à voir...
PS : je n'ai pas vu les reportages de TF1 et M6 mais j'ai vu celui de France2 sur la dépression. Tout d'abord, le titre aurait dû être : "Les antidépresseurs" puisqu'il n'était question que de ça. Plus généralement, c'était un tissu de contre-vérités (et je suis poli).
Marsh Posté le 26-03-2010 à 11:52:02
abakuk,
J'ai trouvé ça sur l'Italie.
Cela dit je ne sais pas quel crédit apporter à cet article tiré du site mensongepsy.
En fait il semblerait que de petites unités, 15 lits, soient crées en remplacement de gros centres hospitaliers.
En tout cas ça a l'air moins lourd qu'en France en effet... Mais quid de la réinsertion professionnelle ?
Déjà qu'embaucher un tétraplégique en entreprise me semble relever du parcours du combattant, les réticences pouvant être fortes.. Un malade psychique, ptain, ça fait désordre...
Si ce site est valable, en tout cas, ça a l'air d'être carrément plus avancé qu'en France...
Ça sera pas le seul domaine sur lequel on aura un retard...
Marsh Posté le 26-03-2010 à 11:55:00
ReplyMarsh Posté le 26-03-2010 à 11:56:40
ce qui est marrant, c'est que le responsable qui veut traquer les TeD est lui même un grand malade mental perclus de tics, de complexes et de haine...
Marsh Posté le 10-02-2010 à 17:15:52
La(les) schizophrénie(s).
Par avance, désolé pour les inexactitudes liées à mes connaissances globalement peu approfondies du sujet.
On va essayer de faire dans le pas trop "à peu près" (dur).
Mise à jour du 1er post si des intervenants spécialistes viennent apporter des compléments d'info, ou si des malades ou proches souhaitent donner leur point de vue et témoigner pour clarifier tout ça.
Merci d'éviter de trop troller sur ce topic. ( genre clichés et autres idées reçues type Hitchcock. Si vous trollez, mettez un gros "redface" pour qu'on comprenne que vous n'êtes pas trop lourd, mais un peu quand même.)
Récap :
Il s'agirait donc sur ce topic de démystifier la schizophrénie sous ses différentes formes. Faire que des intervenants concernés de près ou de loin par cette maladie témoignent. Cela me parait être un bon début.
1% de la population serait touché par cette maladie. Et donc potentiellement un bon nombre sur ce gentil forum qu'est HFR.
Un autre topic sur les troubles de l'humeur type bipolarité pourrait être créée (il en existe un, vaguement) mais l'actualité montre que « les gens » manquent d'information tout particulièrement sur la maladie discutée ici, et que l'actualité en question véhicule nombre de clichés assez stupides, à mon sens.
Par ailleurs, une politique plutôt "dure" semble émerger suite à quelques événements tragiques. La qualité des soins semble être remise en cause dans le droit chemin des restrictions budgétaires de santé publique en France. (vaste sujet)
Qu'en pensez vous ?
Les nouvelles mesures de création d'UMD vous semblent-elles bonnes ?
Que faut-il faire des "fous" ?
Sinon :
Sujet d'information et de partage de connaissances, échange d'expériences entre malades, débat etc.
Message édité par manu__ le 07-09-2010 à 13:20:01