je vous presente ma premiere premiere nouvelles - Sciences - Discussions
Marsh Posté le 28-12-2005 à 17:23:53
ReplyMarsh Posté le 28-12-2005 à 17:23:55
J'ai arrêté de lire à la cinquième faute d'orthographe
Marsh Posté le 28-12-2005 à 20:02:37
Citation : ...le cartier aurait du quitté les bras doux et chaleureux de Morphée pour prévenir à la police. |
Je savait pas que Jacques connaissait Morphée.
Marsh Posté le 28-12-2005 à 21:08:55
Hyperion- a écrit : J'ai arrêté de lire à la cinquième faute d'orthographe |
Le titre du topic était pas très encourageant
La suite fut pire
Marsh Posté le 28-12-2005 à 21:09:44
DM de francaisfrançais détecté
Marsh Posté le 28-12-2005 à 22:54:23
Arrêté de lire aussi à cause des fautes , d'habitude ces fautes dans des posts normaux ne dérangent pas, mais dans une nouvelle ..
Sinon le texte gagnerait en lisibilité si il y avait quelques sauts de ligne (pas juste des retours à la ligne hein )
Marsh Posté le 28-12-2005 à 23:24:41
Moi, j'ai arrété à la premiere enormité. A part peut etre à vélo, aucune femme ne fait 10 secondes au 100m(record:10s49)
Ma bon...100 fois sur l'établit ect...
Marsh Posté le 28-12-2005 à 23:26:17
Zozol a écrit : Moi, j'ai arrété à la premiere enormité. A part peut etre à vélo, aucune femme ne fait 10 secondes au 100m(record:10s49) |
Et encore, elle devait être bien chargée
Marsh Posté le 29-12-2005 à 00:03:26
illisible après 5 lignes. T'as pas la correction orthographique sur ton word?
Marsh Posté le 29-12-2005 à 00:07:14
"Qu'importe, finalement, un peu plus ou un peu moins de génie, puisque tout doit finir !"
Maupassant
Marsh Posté le 29-12-2005 à 12:36:38
C'est quoi l'intérêt du topic ?
edit:la presentation de "nouvelles" ok, le rapport avec les sciences ?
Marsh Posté le 29-12-2005 à 13:51:19
skinny-boy a écrit : illisible après 5 lignes. T'as pas la correction orthographique sur ton word? |
Il utilize peutetre O peine ô fils
Le raport avec les sciences : l'a du se tromper de catégorie...
vite, un modo pour passer le kärcher
Marsh Posté le 29-12-2005 à 13:53:45
1 - Sous-cat sciences ?
2 - Tu reposteras tout ça quand tu auras compris que la politesse élémentaire envers un lecteur, c'est de présenter un travail lisible (donc avec moins de fautes au cm²).
Topic clos.
Marsh Posté le 28-12-2005 à 17:17:45
1. SARHIA................................................................................................................................
<<Dix secondes, dix secondes, c'est le temps que mettent certaines femmes pour parcourir le cent mètres. >> Alors qu'elle se demandait pourquoi une telle idée lui venait, le souffle de l'ombre qui la poursuivait ce fit de plus en plus proche, elle pouvait presque sentir l'haleine de l'individu sur sa nuque. Les cris stridents émis par ses cordes vocales enflées, résonnaient tellement dans cette petite rue sombre qu'à une heure pareille, le cartier aurait du quitté les bras doux et chaleureux de Morphée pour prévenir à la police.
Sarhia fut saisi par l'épaule et stoppé nette dans sa course, les forces étaient bien trop inégale pour qu'elle ait une chance de prendre la fuite.
Un revers de la main la projeta au sol dans un laps de temps très bref qui lui paru une éternité, son jeans et sa culotte furent éjectés à coté des poubelles qui jonchait la rue.
L'horreur qu'elle ressentis lorsque l'ombre pénétra au plus profond de sa chaire la projeta dans un semi-coma ou des images sans aucun sens se superposèrent à l'image du ciel, qui tantôt était étoilé tantôt remplacé par la silhouette d'un visage sombre. L'augmentation de la fréquence de cette vision finie par lui faire définitivement perdre conscience.
Les murs du couloir étaient d'un tel éclat qu'elle ne pouvait garder les yeux ouverts. Le couloir donnait sur une pièce qui ressemblait à une chambre, seul un lit reposait au centre.
Une femme lui semblé t'il était assis dessus, mais le même phénomène de luminescence se reproduisait en ce lieu.
La lumière était t'elle qu'il lui était impossible de la regarder, bien qu'apparemment, la forme luminescente tentait de lui parlé.
<<Tu n t' pel pas gini, retrou e chemin de l son, >>
La phrase que la forme lui répétait en boucle était difficilement audible, elle ne la comprenait pas.
Elle sentis soudain une sensation étrange naître au creux de son ventre, une sensation de plaisir intense que certaines de ses amis lui avaient déjà d'écrite mais qu'elle n'avait jamais ressenti.
Elle étreignis l'ombre de toutes ses forces.
L'agresseur stoppa toute activité et pour la première fois elle put voir son visage. L'homme d'un certain age la regardait d'un ère perdue, sans doute ne comprenait t'il pas pourquoi la femme qu'il était en train de violer, l'étreignait soudainement avec force en lui murmurant à l'oreille<<ne t'arrête pas, ne t'arrête, mon dieu, je deviens folle>>.
Le rythme devint de plus en plus effréné et l'orgasme qui explosa en elle, lui fit perdre connaissance.
Elle ne vit même pas l'homme s'enfuir en courrant, traumatisait par les cris de plaisir qu'elle avait poussé, cris qu'il n'avait apparemment jamais entendus.
Elle repris conscience un quart 'heure plus tard, son jeans gisait prés d'une poubelle a coté de sa culotte qui n'était plus qu'un bout de tissu difforme.
<<C'est vraiment un monde de merde pour que des gens vous laissent crever dans une rue de merde
Sans rien faire bordel de merde. >>
Les images de cette femme tout de blanc vêtu qu'elle avait aperçu s'engageant dans la ruelle et repartir en courrant sans faire le moindre bruis alors qu'elle, était en train de ce faire violer, lui revenait à l'esprit. <<Que des lâches>>.
D'une démarche plus qu'hésitante, elle remonta la petite rue ou elle venait de connaître son premier orgasme dans des conditions dramatique, elle qui c'était toujours cru frigide, plusieurs examens, des élixirs, des drogues, l'homosexualité, elle avait tout essayé lors d'une jeunesse des plus libre et jamais elle n'avait ressentit le moindre plaisir lors d'actes sexuels.
Des questions sur sa normalité au fait que dans le pire moment de sa vie elle pût connaître le plaisir le plus intense, Sarhia ne remarqua pas la fille tout de blanc vêtu qui marché l'aire autant préoccupée qu'elle dans le sens inverse de l'autre coté de la rue.
2.VIRGINIE..............................................................................................................................
<<Combien de fois, dix, quinze peut être, aisse possible d'assister autant de fois a un acte identique le temps d'une vie qui ne vieillie que depuis 27 ans>>
-Pourquoi n'as-tu rien fait, pourquoi n'as-tu toutes ces fois, jamais rien fait?
<<Oui, pourquoi je n'ai rien fait, j'aurais pu crier, essayer d'appeler la police..., je n'ai rien fait et cette pauvre fille a du ce faire violer, comme toutes les autres.>>
Virginie avait l'impression qu'elle allait s'écrouler sur ses genoux tant la lâcheté la submergeait, comme a chaque fois qu'elle était sortie la nuit ces derniers temps.
<<Combien, dix, quinze fois peut être>> et a chaque fois la même scène, elle passe devant une petite ruelle sombre dont cette grande ville regorge, elle entend une voie de femme qui hurle, elle voit ce qu'y ce passe et terrorisait, elle s'enfuit.
Elle se faufila le long des murs sombres de la grande bâtisse pour rejoindre l'escalier en colimaçon qui menait à la cave.
Elle referma la porte a clef derrière elle en prenant soit de ne pas faire de bruit et replaça le trousseau derrière la pierre décelé du mur de la cuisine.
Virginie avait réalisé cette évasion puis intrusion si souvent qu'aucun Arsen lupin n'aurait put être plus discret.
Une fois dans sa chambre, elle se déshabilla, prit une douche et avala les gélules qui étaient sur sa table de nuit.
<<les gélules, les gélules, peut être que tout cela n'est jamais arrivé, peut être que la drogue que l'on me donne dans cette clinique provoque des hallucinations>>
<<Mmmm..., pourquoi pas, cela expliquerait tout, l'effet de la drogue a très bien put amplifier l'angoisse et la peur que je ressens quand je soir le soir...>>
<<Pourquoi pas...>>
Ravie par ses déductions, Virginie s'endormi avec le sourire pour la première fois depuis des mois.
Les journées étaient d'une routine suicidaire telle, qu'il lui était impossible de savoir depuis quand elle était dans cet établissement.
Le matin levé a six heures. Petit déjeuner aux gélules a six heures vingt, après jusqu'à midi, il lui était impossible de savoir exactement ce qu'elle faisait, de vagues flashs du même arbre sous différentes lumières, avec feuilles ou sans feuilles lui revenait à l'esprit, toujours le même arbre, comme à chaque fois qu'elle cherchait un souvenir de ses matinées.
Le repas servit à midi pile, un repas aux gélules, après, était toujours pareil sauf qu'elle ne savait pas pareille à quoi, le repas de midi devait être plus consistant que le petit déjeuner.
Le soir, repas à sept heures, a grand renfort de gélule, couché à sept heures trente, heure à la quelle tous les pensionnaires dormait sens exception.
Virginie ne prenait plus ses gélules du soir depuis la fois ou atteinte d'une petite gastro, elle les avait rendus discrètement dans les toilettes, elle n'avait pas dormis de la nuit et avait passé tout son temps à regarder par la fenêtre, elle avait eut l'impression que s'était la première fois qu'elle voyait l'extérieur en si intéressant, elle se sentait même attiré vers lui.
C'est ainsi qu'au nez de tous les professionnels du centre, elle arrêta de prendre les gélules le soir.
Apres maintes escapades nocturnes dans les couloirs blancs du centre, elle finit par découvrir non sans efforts la pierre ou derrière était caché la clef de la cave donnant sur l'arrière de la bâtisse.
La sensation apaisante qu'elle avait ressentie en ce couchant se dissipa avec la venue de l'aube.
Le doute la submergea, il fallait tout de même qu'elle soi sur, il fallait qu'elle ressorte des qu'elle le pourrait et confondre réalité et hallucination.
Peut être que le monde extérieur était finalement que plus violant que ce qu'elle imaginait, que des viols avaient lieu tous les soirs, que s'était même peut être normal pour certains hommes de faire souffrir les femmes. N'avait t'elle pas elle-même des flashs très flou d'hommes venant sur elle le soir lorsqu'elle dormait.
Tout ceci était t'il vraiment arrivé.
N'ayant aucune certitude, elle pris la décision de ressortir ce soir, si la scène se reproduisait, elle ne fuirait pas.
3.Une étrange sensation..........................................................................................................
En ce levant ce matin, Sarhia ne se sentait pas très bien, prise de vertige, elle décida de rester encore un peu au lit. La soirée d'hier avait du être agitée, sûrement trop d'alcool ou de drogue car elle n'avait aucun souvenir. Elle finit par ce lever pour aller prendre une douche.
<<Sa va me faire du bien, mon mal de crane retournera peut être se coucher>>
Elle resta longuement sous la douche, elle se masturba mais le résultat fut le même qu'a l'habitude, rien, aucune sensation. Se sentant mieux, elle se sécha puits s'habilla.
Elle mit une culotte blanche, son jeans sa chemise blanche et ses baskets, elle ne portait jamais de soutient gorge.
<<Dix huit heures, ben merde alors, et moi qui croyais qu'il était dix heures du mat >>
Son ventre la tirailla, lui faisant comprendre qu'il était depuis bien longtemps l'heure du petit dej.
<<Merde alors, plus rien, mais qu'est ce que j'ai foutu hier.>>
<<Fait chier, pourvu que Victor soit la>>
<<Allé, répond enfin d'putain,...allé...et merde>>Elle raccroche violemment le téléphone.
<<Plus qu'une solution, et merde, faut que je trouve Raoul dans son quartier pourri pour qu'il me dépanne d'une dose ou deux de ses paillettes du diable, bon..., j'ai du liquide...>>
Sarhia marcha de longues heures dans des quartiers ou même les chiens n'osaient faire les poubelles tant l'atmosphère y était malsaine, et toujours aucune trace de Raoul.
Elle s'engagea dans une de ces très nombreuses rues sombre et puante dont cette ville regorge. Marchant d'un pas hésitant, elle sentit soudain une ombre derrière elle. Elle se mit à courir aussi rapidement que sa pitoyable condition physique lui permettait.
<<Dix secondes, dix secondes, c'est le temps que mettent certaines femmes pour parcourir cent mètres.>> pensait-elle, mais l'ombre ne tarda pas a la rattraper.
4. La rencontre.......................................................................................................................
Virginie retira la pierre du mur pour récupérer les clefs de la cave, elle avait fait la promesse de résoudre ce cauchemar cette nuit même.
<<Quoi que tu vois ce soir, tu ne t'enfuiras pas, il faut savoir si tu hallucine ou si c'est la réalité que tes yeux voient>>
Cette phrase ne cessait de se répéter dans sa tête, le besoin de se rassurer pour faire face à une situation qu'elle avait toujours fuit devenait de plus en plus grand au fur et a mesure qu'elle s'enfonçait dans les méandres de la ville.
Ses oreilles furent attirées par un léger cris aigu qui semblait venir des murs qui l'entouraient mais au fur et à mesure de sa progression, les cris se firent plus intense et la direction d'émission plus précise.
Elle s'approcha de la ruelle d'un pas lent et hésitant, le fait d'avoir vécu cette scène si souvent ne lui donna pas le courage qu'elle espérait, elle faillit partir en courant avant même d'avoir observé l'entrée de la ruelle. Ces jambes tremblaient tellement que l'effondrement sur le trottoir devenait une suite logique mais elle parvint tout de même à l'entrée de ce couloir sombre qui semblé s'étendre à l'infini.
En prenant soin de ne pas faire de bruit, elle observa cette fille en jeans basket et chemise blanche qui courrait, un homme la poursuivait.
Ce qui la surpris ne fut pas de voir une fille se faire violer, non, ce qui la surprit fut la ressemblance de la scène avec celle de la nuit dernière. Elle n'avait jamais pris le temps d'analyser ce qu'elle voyait à chaque fois qu'elle quittait le centre.
Tout en regardant cette pauvre fille se faire violer, elle tenta avec difficulté de se remémorer les agressions antérieurs. Plus les images lui revenaient et plus l'incompréhension la saisissait, était comme si les images surgissant de sa mémoire entamait par les gélules provenaient toutes d'un même souvenir, et plus les images se faisaient précise, et plus ce qui se passé devant elle s'accordé avec elles , l'impression nouvelle de voir à chaque sortis la même scène la fit blêmir.
Elle observa la femme poussé un cris d'une puissance inouï qui terrorisa l'agresseur qui pris la fuite la laissant inconsciente dans la ruelle
<<C'est le moment ou jamais de savoir de quoi il retourne virginie, soit forte.>>
Elle s'approcha lentement du corps inanimé de la jeune femme.
Son jeans gisait prés d'elle et sa culotte n'était que lambeau. Elle décida de toucher du bout des doits la cuisse de la femme.<<Tu peu le faire, tu peu le faire, ...AH... mon dieu>> la cuisse était bien réel, elle pouvait sentir l'humidité qui la recouvrait par endroit.<<Ce ne sont donc pas des hallucinations, cette femme est bien réel, je dois prévenir quelqu'un, je...>>la femme venait de remuer le bras, Virginie pris de panique fit un pas en arrière. Sarhia s'assit lentement et releva la tête en direction de Virginie, elle la regardait maintenant droit dans les yeux.
Les jambes de Virginie se mir à trembler, sa bouche se tordis dans des rictus difforme sans qu'aucun sons ne sortent de sa bouche.
<<Je suis en train de regarder mon propre visage, je regarde mon propre visage, >>, sauf que les yeux faisaient place à deux énormes cavités sombres et profonde.
.<<Bonjours virginie, je m'appelle Sariha, je viens de me faire violer et de surcroît, j'ai eut mon premier orgasme, crois-tu que je suis folle,..., dit moi Virginie,... que vais-je devenir>>.
<<Je,..., je,je...je ne c'est pas je, je>>
<<Mais si tu le sais, dit moi, dit moi ce qu'il va m'arriver maintenant>>
<<Je, je, comprends pas, je, ........jA aAAAAAAH>>Virginie s'effondra à même le sol et hurla durant un temps infini, tremblante, transpirent, le regard orienté vers de sombres lieu.
5. Un coup de téléphone ......................................................................................................
Le téléphone sonna dans la chambre de Simon,<<Un quoi qu'est ce que c'est>> driiiiiiiiiing, driiiiiing,<<Qu'elle heure peut-il bien être non d'une pipe>>il était quatre heures trente, Simon décrocha le téléphone et fut surpris d'entendre la voie de Gueuss, le chef de la police.
<<Allô Simon, c'est Gueuss, excuse-moi de te déranger a des heures pareil mais nous avons ramassé une fille qui ce prénomme Virginie après ce qu'elle dit, elle porte la blouse blanche de ton centre, ont la trouvait délirante dans une ruelle de merde à deus pas d ...>>
<<Bon dieu de merde, comment a t'elle pu s'enfuir, >>
<<Ecoute, si tu pouvais venir la chercher assai rapidement, mes gas et moi on ne c'est pas trop quoi faire, elle ce roule parterre, hurle des horreurs, >>
<<Je suis la dans dix minute avec une infirmière, surtout empêche-la de se faire du mal ok, j'arrive>>
<<Merci Simon, fait vite>>
Simon téléphona à l'infirmière de garde pour lui signaler les événements, lui dit de se tenir prête avec un tranquillisant, et qu'il passait la prendre.
Arrivaient au commissariat, ils eurent toutes les peines du monde pour faire la piqûre à Virginie. Simon, Gueuss, l'infirmière et un notre policier, pour maintenir un jeune fille de 50 kilos.
La piqûre faite, il ne fallu que peu de temps pour que virginie s'écroule, Simon la pris dans ses bras et l'installa a l'arrière de la voiture.
<<Je ne comprend pas comment elle a pu s'enfuir, monsieur l'agent, normalement les médicaments les tiennent dans un sommeil profond>>
<<Vous êtes l'infirmière de garde>>
<<Oui monsieur>>
<<De quoi est atteinte cette fille, elle a l'aire si jeune, probablement l'age de ma fille>>
<<Elle est dans notre centre depuis plus d'un an, elle a subit un viol il y a deux ans, elle ne s'en et jamais remise. Si elle ne prend pas ses médicaments, elle revit sans cesse son agression, elle cour, se jette parterre, se gifle, et bien pire encore et croix qu'elle est en train d'observer son propre viol sans se reconnaître, ...pauvre Sarhia>>
<<mais je croyais qu'elle se nommait Virginie>>
<<C'est le non qu'elle se donne depuis quelque temps mais son vrai non est Sarhia, Sariha JACOBS>>.
Fin
malza 01\2005
Message édité par La Monne le 28-12-2005 à 17:26:19