Le TOPIC des Marseillais ! Allez L' OM ! - Sports - Discussions
Marsh Posté le 01-11-2005 à 19:47:41
Le Stade Saint-Germain (1904-1970)
Le Stade Saint-Germain est fondé en juin 1904 à l'occasion de l'inauguration des installations sportives du Camp des Loges en forêt de Saint-Germain-en-Laye. Le premier président est Félix Boyer. Fidèle à l'U.S.F.S.A. jusqu'en 1921, le Stade est reversé en dernière division quand il rejoint la F.F.F.A. Commence alors une lente ascension vers les sommets de la Ligue de Paris.
Champion de Paris en 1957, le Stade se maintient parmi l'élite amateur du CFA treize saisons durant sous la conduite de son entraîneur Roger Quenolle et de son président Henri Patrelle. Les Blancs de Saint-Germain atteignent les quarts de finale de la Coupe de France en 1969 avec un certain Olympique de Marseille comme adversaire. Le match aller a lieu au Parc des Princes et le retour au stade Vélodrome et voit la logique qualification des professionnels marseillais.
* Article de fond : Stade Saint-Germain
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De la fusion au divorce (1970-1972)
En 1970, le Stade Saint-Germain termine 3e de son groupe de CFA et est promu en Division 2 qui devient « Open », c'est-à-dire ouverte aux clubs professionnels ou amateurs. Depuis 1933, la D2 était réservée aux clubs pros. C'est à nouveau le cas depuis 1992.
En parallèle de cette promotion sportive, gagnée sur le terrain, un projet de relance du football de haut niveau tourne en rond depuis plus de 18 mois. À quelques semaines de la reprise, le club n'a ni joueurs, ni entraîneur, ni encadrement, ni stade, ni droit de disputer un championnat après le refus logique de la Ligue d'accepter ce Paris FC directement en D1. Ce PFC avait en partie été financé par une collecte populaire et un échec signifierait le remboursement des donateurs... De plus, la FFF qui a engagé sa crédibilité dans cette histoire de relance du football de haut niveau à Paris après les dépots de bilan du RC Paris, du Stade Français et du CA Paris, envisage mal un échec.
Pressé par le temps, le PFC se tourne alors vers la D2 et l'idée de fusionner avec le Stade-Germain s'impose. Un vote a lieu au PFC le 21 mai 1970, et opte pour la fusion avec Saint-Germain. Le 30 mai 1970, la FFF publie la liste des clubs participant au prochain championnat de D2 : le Paris Saint-Germain FC figure sous ce nom sur cette liste au titre de la promotion du Stade Saint-Germain. Le protocole de fusion entre le Stade Saint-Germain et le Paris FC est paraphé le 10 juin 1970. Le 26 juin 1970, la fusion entre le Stade Saint-Germain et le PFC s'opère. Le Paris Saint-Germain Football Club naît de cette union. Le Conseil d'Administration Extraordinaire du 26 juin porte Pierre-Étienne Guyot (ex-PFC) à la présidence du club, mais le pouvoir réel est aux mains des deux vice-présidents : Guy Crescent (ex-PFC) et surtout Henri Patrelle (ex-Saint-Germain) qui est également président de la Commission sportive, celle qui gère le football. Patrelle garde ainsi la main sur l'aspect sportif tandis que Crescent doit se contenter de questions d'intendance... À noter que Jean Djorkaeff, capitaine de l'équipe de France, rejoint le club dès le 22 juin 1970. Le premier match disputé sous le label « Paris Saint-Germain FC » est une rencontre amicale de pré-saison face à Quevilly. Les Normands s'imposent 1-2 (1er août 1970). Le 23 août 1970, le club dispute son premier match officiel sous le label PSG. Pour le compte de la première journée du championnat de France de Division 2, appelé alors « National », le PSG se déplace à Poitiers (1-1). Le 37 août 1970, publication au Journal Officiel de l'acte de constitution du PSG. Longtemps cette date fut celle de la naissance officielle du club, en tout cas celle retenue par le service communication du club...
Ne recontrant pas de difficultés particulières en D2, le PSG est promu en D1 dès 1971.
Guy Crescent devient président du club le 4 juin 1971, mais c'est Henri Patrelle, toujours en charge du secteur sportif, qui « pilote » le club, pour reprendre le mot exact de Crescent. L'ex-président Guyot, qui nomme lui-même son successeur, se contente d'un titre de président d'honneur. Champion de France de D2. Après avoir affronté Monaco et Lille, vainqueurs des deux autres groupes du championnat, le PSG est sacré champion de France de D2 (12 juin 1971).
La publication du bilan financier de la saison 1970-71 laisse apparaitre 205.200 Francs de pertes pour 1.776.950 Francs de recettes. Mais promotion en D1 oblige, l'équipe fanion du PSG devient une section professionnelle. Le PSG évolua en effet avec un statut amateur jusqu'à cette date, profitant seulement du nouveau règlement « open » autorisant l'emploi de six joueurs pros ; le PSG en comptait cinq : Djorkaeff, Mitoraj, Bras, Destrumelle et Remond. Tous les autres joueurs étaient d'authentiques amateurs.
La promotion parmi l'élite est saluée par la Ville de Paris qui s'engage à subventionner le PSG pour quatre saisons en fixant trois conditions : 1. que le PSG se maintienne en D1. 2. que le PSG évolue à terme au Parc des Princes. 3. que deux membres du Conseil de Paris entrent au Conseil d'Administration du PSG. Ces conditions sont acceptées par le PSG.
Le premier match en D1 du PSG a lieu le 11 août 1971. C'est une défaite 2-0 à Angers. Henri Patrelle, vice-président « actif » depuis dix-sept mois, récupère le titre de président du club le 17 décembre 1971.
À la suprise générale, le Conseil de Paris vote par 46 voix pour et 44 contre le 21 décembre 1971 une motion : la modification du nom du club en « Paris Football Club ». Si cette nouvelle condition n'est pas acceptée par le club, pas de subvention et pas de Parc des Princes... Votée en pleine période des fêtes de fin d'année, cette motion est médiatisée après sa publication dans le bulletin municipal de la Ville de Paris (24 janvier 1972). Cette publication met le feu aux poudres... Le président Patrelle négocie et offre même sa démission si le nom reste inchangé, mais la Mairie confirme sa position par courrier au club le 12 avril 1972 : «Si, d'aventure, les membres de votre association refusaient l'appellation « Paris Football Club », ou bien si les organismes de tutelle s'opposaient à cette modification, ou bien encore si votre club ne se maintenait pas en 1ère Division à l'issue de la présente saison, des modalités de remboursement échelonné pour tout ou partie de ladite subvention seraient convenues avec votre club.» C'est un authentique diktat au PSG, à la Ligue et à la FFF avec comme date butoir le 1er juillet 1972... Après des débats houleux, l'assemblée générale du 16 mai 1972 propose un vote sur cette question. La tension est telle, qu'on doit recompter plusieurs fois les bulletins : la motion est repoussée par une très mince majorité de trois voix... Le PSG reste le PSG ! Le PFC est condamné au coup de force...
Trois jours après le vote confirmant le maintien du nom du club, le PFC annonce sa sécession ! Cette action est totalement surréaliste, mais la FFF et la Ligue se couchent devant la volonté de la Mairie de Paris en accordant toutes les dérogations nécessaires à une telle acrobatie. Le PFC récupère ainsi l'équipe professionnelle, tandis que le PSG conserve toutes ses équipes amateurs. Le PSG repart en 1972 en D3, là où évoluait jusque là sa réserve. Le 23 mai 1972, France Football publie un dossier de deux pages sur la question « Paris, où vas-tu? » Patrelle se déclare « écuré » : « Je pars écuré. Dans cette affaire nous sommes très loin du football. Trop de problèmes politiques sont venus salir notre sport. » De l'autre côté, Guyot et Crescent promettent que le PFC sera « une grande équipe pour la capitale »...
Le 24 mai 1972, le divorce entre le PFC et le PSG est entériné par le Conseil d'Administration du PFC et paraphé par MM Guyot, Crescent et Patrelle. Patrelle signe cet accord en qualité de « président du Paris Saint-Germain FC », les deux autres signataires en qualité de président et vice-président du « Paris FC ». L'article 1 précise : «L'activité de la section professionnelle se poursuivra sous une forme juridique différente et sous l'appellation de Paris Football-Club». L'article 3 : « Paris Saint-Germain FC conservera ses droits pour la saison 1972/1973 sur tous les joueurs amateurs licenciés au cours de la saison 1971-72.» L'article 10 : « Ces modalités n'entreront en application que si la FFF et le GPF en prennent acte et accordent les dérogations sollicitées. » Ces dérogations fédérales seront évidemment accordées.
Robert Vicot hérite du poste d'entraîneur. Respectant l'esprit du vote du 16 mai réclamant le statu-quo, le président Patrelle décide en juin 1972 de conserver le nom de « Paris Saint-Germain FC » inchangé. Afin de ne pas être harcelé par la Ville de Paris pour utilisation abusive du nom de Paris dans le nom du club, le siège social du PSG est transféré au 5 place de Valois (Paris Ier), siège de la Ligue de Paris de Football. 95% des supporters suivent le PFC en D1, et seulement deux sections restent de fait fidèles au PSG en D3 : les 1er et 2e secteurs de Saint-Germain-en-Laye.
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Patrelle tire sa révérence (1972-1974)
Profitant du refus de montée de l'US Quevilly pour des raisons financières, le PSG est promu en D2 dès 1973. Daniel Hechter et ses amis, dont Jean-Paul Belmondo, Francis Borelli, Charles Talar et Bernard Brochand, notamment, font leur entrée en scène. L'union contre nature Patrelle-Hechter ne dure pas même un an. Elle avait débuté le 15 juin 1973 avec la signature d'un protocole entre le PSG et Daniel Hechter. Afin d'éviter les mauvaises surprises type PFC, le nom (Paris Saint-Germain Football Club) et les couleurs du club (bleu, blanc et rouge) devenaient, par contrat, désormais intouchables! Ce protocole est signé sur papier à entête du club où figure déjà le logo « tour eiffel », en usage dès la saison 1972-73. Le siège social du club est transféré à Saint-Germain-en-Laye, au 29 rue Danès de Montardat. Le logo Tour Eiffel comprend une Tour Eiffel rouge et berceau blanc (berceau royal de l'écu de Saint-Germain-en-Laye où naquit Louis XIV) sur fond bleu. Patrelle conserve son titre et ses qualités de président du PSG, mais Daniel Hechter, président du comité de gestion, joue un rôle majeur au club. Une guéguerre s'instaure alors entre les deux hommes pour le contrôle plein et entier du PSG. De même, sur le banc, Vicot, officiellement entraîneur, doit souvent s'effacer devant Just Fontaine, officiellement directeur technique. Cette double direction nempêche pas le club d'être promu en D1 en juin 1974 à l'issue d'un match de barrage homérique face à Valenciennes. Dans le même temps, le Paris FC chute en D2... C'est au lendemain de cette promotion que Daniel Hechter devient officiellement président du club, poste jusque là toujours occupé par le tenace Henri Patrelle qui trouve une belle reconversion en devenant l'intendant de l'Équipe de France A jusqu'en 1979.
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L'ère Hechter (1973-1978)
Retour parmi l'élite oblige, le PSG retrouve son statut professionnel abandonné deux ans plus tôt. La présidence de Daniel Hechter reste surtout dans les mémoires pour ses déboires finaux. Hechter est écarté de la présidence en janvier 1978 suite au scandale de la double billetterie du Parc... Citons les joueurs Jean-Pierre Dogliani, Mustapha Dahleb et François M'Pelé. Coté entraîneur, citons Vélibor Vasovic et Jean-Michel Larqué. Notons que c'est Daniel Hechter qui dessina le fameux maillot dit « historique » du club. Citons également l'inauguration du centre de formation au camp des Loges le 4 novembre 1975. Pierre Alonzo en prend la direction.
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L'ère Borelli (1978-1991)
Le truculent Francis Borelli prend le relais pour 13 saisons. Sous sa conduite, le PSG met la main sur ses premiers trophées majeurs : 2 coupes de France (1982, 1983) et un titre de champion de France (1986). Les meilleurs joueurs de cette période sont d'abord Carlos Bianchi, Dominique Baratelli, Luis Fernandez, Ivica Surjak, Dominique Bathenay et Dominique Rocheteau puis Safet Susic, Joël Bats, et Gabriel Calderon. Georges Peyroche, Gérard Houllier et Tomislav Ivic furent les grands entraineurs de l'ère Borelli. Signalons également la pige de Lucien Leduc. Résistant à l'assaut du Matra qui, cinq années durant, tenta, en vain, de ravir au PSG sa position de Numéro 1 dans la capitale, le président Borelli et son système de gestion à l'ancienne se trouvent à bout de souffle à l'attaque des années 1990.
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L'ère Canal+ (depuis 1991)
En 1991, Borelli est contraint de passer le relais à Canal+ qui investit dans le PSG afin de proposer à l'OM un adversaire susceptible de lui disputer le titre. Mission accomplie en 1994 avec la seule conquête du titre sous l'ère Canal. Le PSG version Canal est en revanche plus efficace en Coupe avec pas moins de 4 coupes de France (1993, 1995, 1998 et 2004), 2 Coupes de la Ligue (1995 et 1998) et 1 Coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupes (1996). À la base de cette réussite, il convient de citer Bernard Lama, Alain Roche, Ricardo, Valdo, David Ginola, George Weah, Rai, Youri Djorkaeff... sans oublier les techniciens Artur Jorge et Luis Fernandez.
La prise de contrôle du club par Canal plus s'effectue progressivement. Après l'intervention de 1991, on procède le 21 avril 1997 à une modification au capital de la SAOS "Paris Saint-Germain Football". Le poids de l'Assocation type 1901 du PSG passe de 51% du capital de la SAOS à 34%. Canal+ est désormais actionnaire majoritaire. Nouvelle modification en juin 2001 : l'association type 1901 du PSG cède l'ensemble de ses parts de la SAOS (34%) à Canal plus. Fin août 2005, Canal+ rachète les 2% détenus par Alain Cayzac ; le PSG est alors à 100% sous le contrôle de la chaine cryptée.
En 1998, le septennat brillant de Michel Denisot s'achève. Charles Biétry prend le relai mais échoue lamentablement. Il est contraint de démissionner après une présidence express de six mois. Le club est lourdement endetté suite à cette courte expérience Biétry du fait de l'achat de joueurs comme Augustine Okocha. Ces successeurs ne font guère mieux... Le magistral loupé du retour de Nicolas Anelka, vendu 4,5MF à Arsenal FC et racheté plus de 200MF au Real Madrid apparaissait, il est vrai, assez extravagant avant le coup. Depuis lors, le PSG cherche à retrouver un équilibre qui le fuit depuis 1998.
Le retour de Luis Fernandez ne modifie pas vraiment les choses malgré le talent de joueurs comme Ronaldinho, mais la dette du club est multipliée par deux...
Le binôme Francis Graille-Vahid Halilhodzic est appelé à la rescousse du grand malade parisien qui doit subir une véritable saignée avec une réduction des dépenses de 40 %! Malgré cette contrainte, le PSG signe une belle saison 2003-2004 avec une Coupe de France à la clé et une énième place de vice-champion en Ligue 1 qui ouvre les portes de la Ligue des Champions au PSG.
La saison 2004-2005 est en revanche catastrophique. Éliminé sans gloire de la Ligue des Champions et à l'agonie en Championnat, le club est sportivement au plus mal. Côté coulisses, c'est également la crise avec une fronde des supporters contre des dirigeants complètement dépassés par les évènements et qui se réfugient derrière une politique sécuritaire sans fond. Vahid Halilhodzic est finalement remercié le 8 février 2005 et remplacé par Laurent Fournier, ancien joueur du club. Le président Francis Graille est à son tour limogé le 2 mai 2005 par Canal Plus ; Pierre Blayau lui succède. Le projet de Francis Graille qui consistait à racheter des parts du club n'a donc pas séduit Canal +, qui réaffirme par ce changement de président son envie de rester impliqué dans le PSG contrairement à toutes les rumeurs faisant part d'un désangagement progressif de l'actionnaire majoritaire.
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Fondation : 1904, 1970 ou 1973 ?
Trois écoles défendent des dates de fondation différentes. Voici un rapide exposé des arguments des trois camps.
1970 : la théorie officielle 1970 est la date de fondation officielle du PSG. La fusion opérée entre Saint-Germain et le PFC sert ici clairement de base à cette datation. Le service communication du PSG précise même le 12 août 1970. Avant l'an 2000 ce même service de communication du PSG annonçait 27 août 1970 sur le bulletin de naissance du club, en se référant à une publication du Journal Officiel annonçant la fusion. Problème, car un match de D2 avait déjà eut lieu quatre jours avant la publication au JO... Le PSG n'existait pas, mais il jouait ! Ubuesque ! Il fallu toutefois une décennie pour faire admettre au PSG cette erreur. Idem avec la nouvelle date de fondation nébuleuse du 12 aout 1970 car on sait que le club disputa sous ce nom deux matches amicaux lors de la première semaine d'août et que le PSG est inscrit sous ce nom sur les tablettes de la FFF depuis le 30 mai 1970 (cf liste des clubs engagés à disputer le championnat de D2 70-71)...
1973 : l'école Hechter Jusqu'à l'arrivée aux manettes de Canal Plus, la date de fondation officielle du PSG était 1973. Les trois premières saisons sous le label PSG sont carrément gommées afin de mettre en lumière la prise en main du club par Daniel Hechter. Cette datation qui parait aujourd'hui totalement indéfendable est pourtant encore défendue par certains journalistes (France Football ou Larqué sur TF1 notamment) qui confondent les notions de « club » et « d'équipe »... Ainsi, le quotidien L'Équipe du 3 mai 2005 qui annonce que le club fut fondé en 1973, précise : « Il y a eu une scission débouchant sur deux clubs, d'un côté un nouveau Paris SG, et de l'autre le Paris FC. » Notons ici que la « scission » date de mai 1972 et qu'Hechter ne devient président du club qu'après le 9 juin 1974, date du retrait réel du président Henri Patrelle...
1904 : n'oublions pas le Stade Saint-Germain En 1970, le Stade Saint-Germain reçoit l'appui du Paris FC, « club » sans joueurs, staff, installations ou même droit de disputer la moindre compétition. Aujourd'hui, on parlerait de « groupe d'investisseurs ». Le second des mariés est le club du Stade Saint-Germain, tout frais promu en D2 désormais open. Ce club qui compte pas moins de 26 équipes est, depuis l'effondrement des têtes d'affiches parisiennes professionnelles, le troisième club de l'Ile-de-France derrière l'éternel Red Star et Fontainebleau, quatre fois finaliste malheureux du championnat CFA. Le terme même de « fusion » est contestable. On ne « fusionne » pas avec un groupe d'investisseurs...
Et même si l'on admet la thèse de 1970, elle vole en éclats en 1972, car la « fusion » casse au bout de deux saisons avec le divorce de mai 1972. Le Stade Saint-Germain poursuit sa route, sous le nom de PSG, tandis que le PFC fait main basse sur l'équipe professionnelle. Le PFC doit alors fusionner avec le vénérable RC Montreuil afin de constituer un véritable club!
Marsh Posté le 01-11-2005 à 19:48:15
Death Row a écrit : Slt a tous les Marseillais , ici sont les bienvenue tout ceux qui supporte l'om ( comme moi ) |
Non, malheureusement...
Marsh Posté le 01-11-2005 à 20:09:30
Death Row a écrit : |
Aucune chance
Marsh Posté le 01-11-2005 à 21:08:51
yen a qui peuvent vraiment pas s'empecher ...
qd on vois la derive du topic foot (insultes, ambiance, etc ...)
yen a qui sont pas du tout a leur place ici, et je me demende ou il le serai d'ailleurs
Marsh Posté le 01-11-2005 à 22:30:29
"Marseille ca pue, c'est sale"
Marsh Posté le 01-11-2005 à 22:49:34
ReplyMarsh Posté le 01-11-2005 à 22:52:20
Bon.
Marsh Posté le 01-11-2005 à 22:52:33
Bon, vu que ca a l'air d'être le topic typique destiné a attirrer les trolls des supporters des autres équipes, on va peut-etre en rester là...
A+,
Marsh Posté le 01-11-2005 à 19:41:42
Slt a tous les Marseillais , ici sont les bienvenue tout ceux qui supporte l'om ( comme moi )
Amis(ies) Marseillais(es) , pensez vous que l'OM peut gagner le championnat ?