le coût réel de l'immigration clandestine: rapport examiné par l'UMP - Politique - Discussions
Marsh Posté le 30-06-2011 à 14:29:18
"Valeurs actuelles"+"Contribuables associés"+"Eric Besson ministre de l'immigration ( ) " = rapport absolument objectif, pas du tout de droite, pas du tout pour récupérer l'électorat FN.
Je résume : "ces sales immigrés qui viennent voler l'argent des français" On peut fermer le topic, celui sur le FN s'étant sabordé, pas besoin d'avoir un doublon sous un autre nom.
Marsh Posté le 30-06-2011 à 14:32:00
On parle d'immigration clandestine, pas d'immigrés...
Marsh Posté le 30-06-2011 à 17:09:56
everfrost a écrit : On parle d'immigration clandestine, pas d'immigrés... |
On sait très bien pourquoi un Valeurs Actuelles parle de ce genre d'étude, hein....
Marsh Posté le 30-06-2011 à 17:17:41
Il faudrait mettre en parallele l'apport financier pour la France (enfin, les entreprises francaises) des guerres, du tourisme, de l'exploitation des pays qui exportent ces illegaux.
Marsh Posté le 30-06-2011 à 17:25:39
ReplyMarsh Posté le 30-06-2011 à 18:57:30
Rasthor a écrit : Il faudrait mettre en parallele l'apport financier pour la France (enfin, les entreprises francaises) des guerres, du tourisme, de l'exploitation des pays qui exportent ces illegaux. |
tu n'as pas du lire le rapport, celui ci est centré sur la différence dépense/recette, il y a donc bien une prise en compte de l'apport financier. Et la conclusion est qu'au final, cela nous coûte 4,2 milliards d'euros par an.
Marsh Posté le 30-06-2011 à 20:40:54
Il faut régulariser les sans papiers, comme ça ils ne seront pas payé au noir, ils payeront des charges, des taxes, ils ne frauderont pas plus les aides que les autres français et ne seront pas obligé de recourir à l'économie parallèle.
Marsh Posté le 30-06-2011 à 21:47:57
teepodavignon a écrit : Il faut régulariser les sans papiers, comme ça ils ne seront pas payé au noir, ils payeront des charges, des taxes, ils ne frauderont pas plus les aides que les autres français et ne seront pas obligé de recourir à l'économie parallèle. |
Très bonne idée !
Sauf que:
- Pour ceux qui ne travaillent pas, il faudra leur trouver du travail, et seront en compétition avec les Français et les travailleurs légaux.
- Pour ceux qui travaillent au noir, leur patron devra les payer bien plus cher que maintenant, puisqu'ils devront tout déclarer. Donc ils seront en compétition avec les Français et les travailleurs légaux.
Si les immigrés illégaux sont aussi intéressants pour les patrons, c'est justement parce qu'ils peuvent les payer au rabais.
Marsh Posté le 30-06-2011 à 21:52:23
Gourévitch strikes back...
Marsh Posté le 30-06-2011 à 21:53:17
ReplyMarsh Posté le 30-06-2011 à 21:56:28
http://www.liberation.fr/politique [...] sans-voile
Jean-Paul Gourévitch, essayiste, chauffe la salle : «Il faut arrêter de répéter qu’il y a 5 millions de musulmans en France, comme si cette communauté n’avait pas bougé depuis dix ans, ils sont 7,7 millions.» Selon lui, les journaux font croire que l’immigration «rapporte de l’argent» alors qu’elle coûte 2 points de PIB par an. Applaudissements.
Ok......
Marsh Posté le 01-07-2011 à 14:35:12
Rasthor a écrit : http://www.liberation.fr/politique [...] sans-voile |
il a raison
Marsh Posté le 01-07-2011 à 14:40:51
ReplyMarsh Posté le 08-07-2011 à 12:13:16
teepodavignon a écrit : Topic à très très haut potentiel. |
auteur à très très très haut potentiel aussi
edit : sinon combo talc +seb31, pas mal, pas mal
Marsh Posté le 08-07-2011 à 12:16:08
Rasthor a écrit : http://www.liberation.fr/politique [...] sans-voile |
sans compter tous ces minarets qui poussent comme du chiendent
Cela dit la mode de la burqa peut relancer le secteur textile en France
Marsh Posté le 08-07-2011 à 13:54:40
ReplyMarsh Posté le 08-07-2011 à 13:59:59
On ne doit pas arrêter l'immigration clandestine parce qu'elle coûte
mais parce qu'elle est clandestine
Marsh Posté le 08-07-2011 à 14:01:06
on pourrait créer le topic "coût de l'UMP"
on additionnerait tous les salaires versés par le contribuable aux gens de l'UMP depuis 2007, cela serait intéressant aussi
Marsh Posté le 10-07-2011 à 18:21:51
remy60 a écrit : quand on calcule un cout on calcul un revenu aussi non ? |
Oui:
http://forum-scpo.com/forum-scpo/t [...] vitch.html
http://reversus.fr/2010/08/27/le-c [...] umisterie/
Marsh Posté le 10-07-2011 à 18:25:22
Tu pourrais décrire tes liens au lieu de te contenter de les balancer ?
Marsh Posté le 09-09-2011 à 15:11:49
http://www.courrierinternational.c [...] mmigration
http://www.minorites.org/index.php [...] a-qui.html
http://www.npa2009.org/content/pou [...] bl%C3%A8me
Marsh Posté le 09-09-2011 à 15:14:35
Le nouvel inscrit qui remonte un sujet de 2 mois en balançant trois liens
Marsh Posté le 09-09-2011 à 19:46:15
La notion de coût de l'immigration clandestine me fait marrer, on devrait plutôt parler de coût de la politique d'immigration. Les immigrés clandestins ne demandent qu'à avoir des papiers et vivre normalement.
Marsh Posté le 09-09-2011 à 19:50:53
Faudrait décliner cette problématique à l'infini:
- le coût réel des personnes âgées.
- le coût réel des enfants.
- le coût réel des handicapés.
- le coût réel des femmes enceintes.
- le coût réel des malades.
- le coût réel des gens en vacances.
- le coût réel des morts.
Marsh Posté le 09-09-2011 à 20:47:39
- coût réel des juifs
Sinon calculer un coût en particulier, c'est pas méchant le problème c'est ce qu'on fait du chiffre qui peut poser problème.
Marsh Posté le 09-09-2011 à 21:54:33
Non mais les chiffres quand y'en a un ca va, c'est quand y'en a plusieurs qu'il y a des problèmes.
Marsh Posté le 10-09-2011 à 00:15:37
girafe folle a écrit : |
Quels petits joueurs ces immigrés ; 4,2 milliards...
rien que la niche Copé tourne entre 12 et 22 milliards....
http://www.lefigaro.fr/impots/2010 [...] rises-.php
Marsh Posté le 10-09-2011 à 10:13:19
Mais vaut mieux se faire prendre 12Mds par les riches blancs que 4 Mds par les pauvres nwars
Marsh Posté le 10-09-2011 à 11:04:37
spartak01 a écrit : |
Citation : le coût lui-même de la niche est surévalué. Car, par convention méthodologique, il se calcule en faisant comme si les plus-values avaient été imposées à 33,3 %, taux normal de l'IS. Or, elles ne l'étaient qu'à 19 %. La perte occasionnée par l'exonération tourne plutôt autour de 12 milliards sur trois ans. |
Fais le calcul
Marsh Posté le 10-09-2011 à 13:09:59
attention ici, on ne parle que de l'immigration illégale!!!
car le cout total de la politique migratoire de la France (recette-dépense) est de 38,3 milliards d'euros!
Au même moment nous cherchons 50 milliards, ne cherchez plus.
Moins d'immigration= baisse des dépenses= bouffée d'air pour l'économie= - de racisme = intégration plus facile des nouveaux arrivants= moins de délinquance.
38,3 milliard d'euros vous vous rendez compte de la somme?
le lien vers l'étude très poussée:
http://www.contribuables.org/impot [...] ographies/
Marsh Posté le 10-09-2011 à 13:14:52
T'as déjà mis le lien dans ton premier message
Cette étude ne vaut rien, c'est de la merde en tranche avec combo chouinements de contribuables aigris de droite / recherche du bouc émissaire étranger (sans-papiers, on a compris, sinon on versait dans le FN)
Marsh Posté le 11-09-2011 à 19:00:00
LooSHA a écrit : T'as déjà mis le lien dans ton premier message |
Merci de rester poli et de ne répondre qu'avec de vrais arguments.
Marsh Posté le 11-09-2011 à 19:16:48
Je parle d'un rapport, je le qualifie comme je le veux, et il a déjà été démonté à plusieurs reprises sur le forum, on ne pas le faire à chaque fois que quelqu'un le ressort.
Cette étude est une merde.
Marsh Posté le 11-09-2011 à 19:20:42
IBTL
Marsh Posté le 11-09-2011 à 19:29:01
LooSHA a écrit : Je parle d'un rapport, je le qualifie comme je le veux, et il a déjà été démonté à plusieurs reprises sur le forum, on ne pas le faire à chaque fois que quelqu'un le ressort. |
non tu ne fais pas ce que tu veux, tu n'es pas chez toi ici et je ne sais pas où tu as été éduqué, mais tes parents devraient t'apprendre la politesse.
deuxièmement, tu parles de l'autre rapport sur l'immigration régulière, et d'ailleurs tu n'avais absolument rien démontré du tout, comme la plupart de tes postes tu t'es contenté d'invectiver sans argumenter. Ici, le rapport parle de l'immigration Clandestine et n'a pas été posté à ma connaissance avant mon poste.
Donc j'en déduis que tu n'as pas lu celui-ci.
Marsh Posté le 11-09-2011 à 19:38:07
Si si, c'est toujours la même merde de Gourévitch.
Marsh Posté le 12-09-2011 à 01:31:09
LooSHA a écrit : Je parle d'un rapport, je le qualifie comme je le veux, et il a déjà été démonté à plusieurs reprises sur le forum, on ne pas le faire à chaque fois que quelqu'un le ressort. |
Si c'est le cas, un lien vers les passages en question ne fait pas de mal ...
Marsh Posté le 30-06-2011 à 13:37:53
Alors que l'immigration légale et illégale sera un thème important de la campagne 2012, et en pleine période de crise économique, voici le dernier rapport qui chiffre le coût de l'immigration clandestine à 4,6 milliards d'euros par an, soi sur 10 ans: 46 milliards d'euros.
Dans une logique de réduction des coûts, on voit qu'il y a encore de la marge sur certains secteurs.
source: Valeur actuelle
source du rapport: l'association "contribuable associés.
résumé:
Publication de la 25ème monographie réalisée par Jean-Paul Gourévitch, expert international en sciences humaines, spécialiste de l’Afrique et des migrations
Jean-Paul Gourévitch, consultant international, spécialiste de l’Afrique et des migrations, complète ses trois monographies précédentes rédigées pour Contribuables Associés par une analyse de ce que coûte à l’État l’immigration irrégulière, un sujet jusqu’ici tabou.
La France compte en métropole environ 550 000 immigrés clandestins (plus 131 500 en Outre-mer) qui occasionnent à l’État un déficit de près de 4,6 milliards d’euros : 5 666 millions de dépenses, 1 077 millions de recettes provenant essentiellement des impôts, taxes et amendes. Les postes de dépenses les plus importants sont les soins de santé (662 millions, dont 630 pour l’aide médicale d’État), les coûts des retours et reconduites (788 millions), le travail illégal et l’emploi d’étrangers sans titre (1 745 millions), les coûts liés à l’économie informelle (1 562 millions). L’immigration irrégulière est proportionnellement plus coûteuse pour l’Etat que l’immigration légale. 4,6 milliards d’euros, c’est plus de 15% du déficit annuel généré par l’ensemble (7,8 millions de personnes) de la population d’origine étrangère que Gourévitch a estimé, en 2010, à 30,4 milliards.
C’est aussi un très mauvais rapport recettes/dépenses puisqu’il s’établit à 19% alors que, pour l’ensemble de l’immigration, il était de 61,7%. La France est le pays européen le plus attractif pour les migrants irréguliers et le plus généreux à leur égard en matière de santé, d’éducation, de soutien social et de retours volontaires. Une reconduite sur cinq prononcées est réellement effectuée alors que garder les migrants irréguliers coûte 6 fois plus cher que les faire partir. Une politique européenne commune à l’égard des migrants irréguliers ferait économiser à la France près d’un milliard d’euros par an. À méditer, en ces temps de crise…
http://www.contribuables.org/publi [...] reguliere/ (le rapport est disponible à cette adrresse.)
Près de 4,6 milliards d’euros : c’est ce que coûte à la France, chaque année, l’immigration clandestine, selon une étude réalisée par l’universitaire et expert international en sciences humaines, Jean-Paul Gourévitch, dans le cadre des “Monographies” (no 25) de Contribuables associés. Consultant pour le ministère des Affaires étrangères, le Conseil de l’Europe, la Banque mondiale et l’Unesco, Gourévitch est déjà l’auteur, en 2010, d’un précédent audit sur « Le coût de la politique migratoire de la France » qui fait depuis autorité (et qui chiffre le coût de l’ensemble des 7,8 millions d’immigrés, légaux et illégaux, à 30,4 milliards d’euros). Selon son nouvel opus de 96 pages intitulé « Ce que nous coûte l’immigration clandestine », dont nous publions des extraits en exclusivité, les « recettes » engendrées par les immigrés en situation irrégulière se montent à un milliard d’euros par an (provenant essentiellement des visas, impôts, taxes et amendes) contre 5,6 milliards d’euros pour les « dépenses ». Parmi les principaux postes (lire tableau page de droite) : le travail illégal (1,7 milliard d’euros), les coûts des retours et reconduites aux frontières (787,8 millions), la santé (662 millions, dont 623 pour l’AME, aide médicale de l’État – la CMU des clandestins)…
Cette étude a été présentée la semaine dernière en avant-première à une trentaine de députés UMP membres de la commission sur l’immigration, présidée par Claude Goasguen. Gourévitch a par ailleurs été auditionné à plusieurs reprises par le groupe UMP de l’Assemblée, notamment le 23 juin 2010, aux côtés de l’essayiste Malika Sorel, à l’occasion d’un Rendez-vous parlementaire organisé par Contribuables associés. Pour autant, l’auteur se défend de tout a priori partisan : « Nous ne prétendons pas […] donner des leçons, mais uniquement fournir des outils d’analyse », écrit-il dans son introduction. À chacun, ensuite, de « juger en fonction de sa conscience et de ses convictions ». Objectif : provoquer un « débat démocratique ».
C’est « faute de document existant » qu’a été entrepris ce rapport. Le 8 avril 2010, Éric Besson, alors ministre de l’Immigration, avait annoncé le lancement d’une étude sur le sujet, confiée « à un cabinet d’experts indépendants » afin que « nos concitoyens […], qui sont aussi des contribuables, sachent tout en la matière ». Une date avait même été annoncée pour sa publication : septembre 2010. « On verra alors que beaucoup de bêtises sont racontées et que l’immigration irrégulière coûte cher… », avait prévenu Besson. Et puis plus rien ! L’étude n’a jamais vu le jour… C’est ce qui a décidé l’universitaire et l’association de défense des contribuables à s’atteler eux-mêmes à ce rapport – qui a nécessité près d’un an d’enquête.
Pour réaliser son audit, Gourévitch a retenu le nombre de 550 000 immigrés clandestins, supérieur à l’hypothèse basse avancée par Brice Hortefeux il y a deux ans et demi (« autour de 400 000 personnes ») mais inférieur à l’hypothèse haute (750 000) évoquée par d’autres. « Les marges d’erreurs peuvent aller parfois jusqu’à 20 % », prévient l’universitaire, qui a notamment « croisé » les données de tous les « indicateurs officiels » (datant, pour la plupart, de 2009) : régularisations, déboutés du droit d’asile, reconduites prononcées et non exécutées (80 % des cas), chiffres de l’AME, interpellations policières, etc. Le chercheur est allé aussi puiser à toutes les sources existantes : Insee, Ined (Institut national d’études démographiques), Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) et Ofii (Office français de l’immigration et de l’intégration), mais aussi OCDE, Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés… « Les informations sont dispersées, contradictoires ou parfois absentes, reconnaît-il. Certains coûts de structure ou de fonctionnement n’ont été qu’effleurés. Nous n’avons pas toujours pu utiliser les données d’une même année. » Mais chaque donnée est sourcée et « restituée dans son contexte ».
Pour aboutir à ses conclusions, l’étude s’appuie sur trois types de dépenses : les « coûts spécifiques », relevant uniquement des « particularités françaises » (aide médicale de l’État, scolarisation des élèves et étudiants en situation irrégulière, accords de réadmission…) ; les « coûts partagés », concernant à la fois les migrations régulières et irrégulières (« ce qui nécessite de faire une péréquation pour calculer la part absorbée par les migrations irrégulières ») ; les « coûts proportionnels », touchant l’ensemble de la population française et dont une partie seulement concerne les migrations irrégulières (coûts sociaux, fraude, subventions aux associations…).
Derrière les chiffres, ne pas oublier l’humain
Ce qui est vrai pour les dépenses l’est aussi pour les recettes : « recettes spécifiques » (par exemple la taxation des entreprises coupables d’avoir employé des migrants sans papiers) ; « recettes à coûts partagés » (comme les coûts d’obtention de visas, pour lesquels il faut déterminer la part des migrants ayant dépassé la date de validité) ; enfin « recettes à coût proportionnel » (notamment la TVA, dont il faut établir un ratio sur la consommation globale). Le tout étant encore affiné par une double analyse « qualitative » et « financière ».
Analyse qualitative, d’abord, parce qu’« un travailleur en situation irrégulière, qui contribue à l’augmentation de la productivité et du PNB, même s’il ne paie pas de cotisations fiscales ou sociales (et certains en paient), ne génère pas le même impact sur les coûts qu’un réfugié politique [ou] qu’une famille qui vient retrouver un parent ». Analyse financière, ensuite, car il convient de bien séparer les dépenses et les investissements, « qui peuvent générer à long terme une rentabilité », des autres, porteurs de « nouveaux coûts incompressibles ».
Le “politiquement correct” fera évidemment reproche à Jean-Paul Gourévitch de privilégier les chiffres à “l’humain”. « Même quand elles sont décrites en termes de flux collectifs, les migrations sont toujours une somme d’aventures individuelles avec des individus qui ont des espoirs et des peurs, qui prennent des risques, qui veulent préserver leur liberté, qui estiment avoir des droits », répond-il, par avance, à ses détracteurs. Mais « ce n’est pas une raison, ajoute-t-il, pour substituer le réflexe à la réflexion et s’enfermer dans un discours compassionnel qui récuserait toute approche économique. Nous pensons même que les passions seront d’autant moins avivées que chacun pourra en toute connaissance de cause savoir ce que coûtent et ce que rapportent les migrations irrégulières. Arnaud Folch
http://www.valeursactuelles.com/do [...] s20110630.
Message édité par girafe folle le 30-06-2011 à 13:39:14