commentaire composé aide!!!!!!!!!!!!!!

commentaire composé aide!!!!!!!!!!!!!! - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes

Marsh Posté le 16-05-2009 à 16:20:32    

Salut à tous!!!
 
J'ai un commentaire composé à faire et je n'arrive pas à trouvé un plan et j'aimerais avoir un peu de votre aide s'il vous plaît.
 
Voilà le sujet:
 
 
Les yeus d'Aurélien scrutent les profondeurs des clartés et des ombres. La courbe d'un bras les arrête, une épaule de femme qui cachait un visage est contournée, le va-et-vient des garçons l'entraîne à se déplacer pour voir... L'expression d'un homme au nez plat révèle près d'un pillier multicolore les désirs que la musique voile. Les rires chatouillés font dans ce coin où la nappe de papier brûle un tintement de pièce d'argent. Non... personne. La montre au poignet. Les aiguilles approchent de minuit. Ils vont venir, ils vont sûrement venir. Comme une énorme mouche noire, le l'auteur nous fait ici une description complètement influencée par l'état d'esprit qu'il prête à son personnage.
-Sans doute s'agit-il de l'évocation d'une soirée mondaine.
-Mais cette évocation est conditionnée par la vision qu'en a Aurélien.l'auteur nous fait ici une description complètement influencée par l'état d'esprit qu'il prête à son personnage.
-Sans doute s'agit-il de l'évocation d'une soirée mondaine.
-Mais cette évocation est conditionnée par la vision qu'en a Aurélien.le gros Lulli, les élytres écarquillées, fend la foule, où la frayée se referme derrière lui du balancement des danseurs, et crie à l'orchestre quelque chose qu'on n'entend pas. Il vient d'arriver un groupe d'hommes en habit et de femmes aux robes longues, claires, calmes, majestueuses, étonnamment lavées. Les garçons s'empressent. On bouscule au fond des clients pour préparer une table. Les musiciens debout jouent Starsprangled banner.... Les messieurs saluent en traversant les danseurs surpris, soudain immobiles. « C'est l'ambassade des Etats-Unis! » murmure une poule rousse et blême dans les demi-lumière à c^té du docteur et de Leurtillois. Les aiguilles marchent vers minuit. Des plats fumants sortent des cuisines. La danse a repris, et la valse des rayons de couleur. Les aiguilles.... Aurélien ne quitte pas son poignet des yeux. Le sang lui bat. Elle va venir. Comment ne viendrait-elle pas? Il se refuse à croire.... Que dit Decoeur? Le diable sait ce qu'il rabâche! La vue se brouille, l'ombre se raye, on applaudit: c'est le grand truc du Lulli's, renouvelé du musée Grévin, la neige de lumière, les flocons pâles qui semblent pleuvoir dans le faux patio des pétales qui s'évanouissent à terre, tombés cintres, la poésie de minuit moins deux rue Pigalle, aux applaudissements des soupeurs, dans la valse D'Irving Berlin... La grosse femme du bar, avec sa collerette rose, est venue à côté d'eux, voir: « Elle est énorme », dit le docteur qui doit penser aux glandes de l'apparition. Il ajoute: « Picasso dernière manière... » Aurélien murmure quelque chose. Peut être qu'à cette minute, au-dehors, dans la rue mouillée, Bérénice descend de taxi.... Un coup de cymbale, le roulement de la batterie, des cris. La nuit. Dans la nuit, Aurélie aperçoit le pâle rayonnement des chiffres de sa montre, minuit... Il y a une sorte de joie noire qui enveloppe les êtres perdus, séparés de ne plus voir, une bousculade qui se cherche, des cris, des rires, la voix vénitienne du gros Lulli en anglais: « Happy new year! Happy new year! ».
Et soudain Aurélien sent deux bras autour de lui, deux bras nus, autour de ses épaules, des doigts qui cherchent son visage, maladroits. Dans le roulement de la batterie qui couvre l'ombre, et les clameurs, qui fait pour eux deux le désert, la solitude de l'amour, il s'est retourné, il se penche, il la tient contre lui, et pour la première fois au monde il la serre contre son corps, il touche son visage, il trouve sa bouche éperdue, palpitante, il la baise, il la mord, il n'a plus sa tête, il se refuse à penser à la lumière revenue, au mari peut-être là, près d'elle, Bérénice, Bérénice, il n'y a plus que son nom, et plus qu'elle par quoi débute l'an nouveau, le siècle nouveau, Bérénice...
La lumière est comme une trompette, et le secret de cette folie éclate à tous les yeux, les gens se séparent, les femmes passent leurs mains sur leurs lèvres, machinalement touchent leurs cheveux. Aurélien, dans ses bras à regret relâchés, reconnaît Simone. Mais Bérénice alors? Il n'y avait pas de Bérénice.
 
voilà moi ce que j'ai fait comme analyse:
l'auteur nous fait ici une description complètement influencée par l'état d'esprit qu'il prête à son personnage.
-Sans doute s'agit-il de l'évocation d'une soirée mondaine.
-Mais cette évocation est conditionnée par la vision qu'en a Aurélien.
J'espère que quelqu'un pourra m'aider.
on week end à tous

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Marsh Posté le 16-05-2009 à 16:20:32   

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