Philo - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 17-10-2004 à 19:51:15
Essaye juste de faire un devoir dans lequel tu expliques ce que tu comprends phrase par phrase (étude linéaire) même si tu comprends pas grand chose, en ajoutant qqes références pompées dans ton cours.
Pour moi ca passait comme ca
Marsh Posté le 17-10-2004 à 22:12:54
Bonsoir,
Quelques mots-clés trouvés sur un site reprenant ton texte : liberté - déterminisme - existence - condition humaine - monde - corps - chose - nature - société - sujet - esprit - intentionalité - conscience - connaissance
Avec ça, tu as de quoi faire
Bon courage
Alice
Marsh Posté le 19-10-2004 à 07:08:16
bonjour,
Oui tu fais quelque chose d'assez conventionnel et tu t'en sorts avec la moyenne, impossible de faire passer son point de vue en philo ou de faire preuve d'un peu d'originalité, j'ai eu 7/20 parce que sur le thème de la liberté j'ai dévellopé la notion d'une liberté "éphémère"...
Résultat le prof n'a même pas lu ma copie entièrement...
Marsh Posté le 16-10-2004 à 19:21:18
j'ai ce texte de philo a expliqué, quelqu'un peut m'aider. M'aider à trouver les choses à dire, m'expliquer les phrases ou me donner un lien sur internet où il y a ce texte. Merci
Il y a (...) deux vues classiques. Lune consiste à traiter l'homme comme le résultat des influences physiques, physiologiques et sociolo¬giques qui le détermineraient du dehors et feraient de lui une chose entre les choses. Lautre consiste à reconnaître dans l'homme, en tant quil est esprit et construit la représentation des causes mêmes qui sont censées agit sur lui, une liberté acosmique. D'un côté l'homme est une partie du monde, de l'autre il est conscience constituante du monde. Aucune de ces deux vues nest satisfaisante. À la première on opposera toujours (... ) que, si l'homme était une chose entre les choses, il ne saurait en connaître aucune, puisquil serait, comme cette chaise ou comme cette table, enfermé dans ses limites, présent en un certain lieu de l'espace et donc incapable de se les représenter tous. Il faut lui recon¬naître une manière d'être très particulière, lêtre intentionnel, qui consiste à viser toutes choses et à ne demeurer en aucune. Mais si l'on voulait conclure de là que, par notre fond, nous sommes esprit absolu, on ren¬drait incompréhensibles nos attaches corporelles et sociales, notre insertion dans le monde, on renoncerait à la condition humaine.
M. Merleau-Ponty, Sens & Non-Sens.