Futurs économistes - DEA en Economie - Etudes / Orientation - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:02:08
La spécialisation Eco Industrielle est à la croisée de la gestion et de l'économie, traitant aussi de problèmes de droit et de politique tels que la concurrence ou les trusts. Cette spécialité reste cependant en grande partie microéconomique.
J'ai effectué une partie de mon parcours à Dauphine et l'autre à l'etranger (Japon). Je pense m'orienter vers des cabinets de conseil en stratégie notament pour les entreprises relevant des domaines de l'énergie et des matières premières. D'autres voies m'intéressent, un Msc à l'étranger ou MS en France, je n'ai que l'embarras du choix.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:23:40
Moi je suis en 3eme année d'économie parcours économetrie.
Ce qui est dommage avec les etudes en économie,c'est que ca paye pas énormement apres un bac+5 si on s'est pas orienté vers la finance.
Moi j'adore la microéconomie( et j'ai horreur de la macro parcontre ),la théorie des jeux et les statistiques et malgres mon amour de la micro je pense faire une M1 de finance car je sais pas ce que je pourrais faire en économie.
Si aujourd'hui il existait des diplomes de renommé mondial en France, je n'hésiterait pas à faire un master de microéconomie.
Aujourd'hui on entend parler de Paris 6 pour la finance mathématique,du 203 de dauphine pour etre trader (commercial),mais coté économie je vois rien.
Y a bien le master APE, mais sincerement une fois que j'examine un peu en detail la formation je ne trouve pas que c'est vraiment LE diplome d'économie....
Le jour où on France, il y aurra un vrai interet pour les formations en économie comme au USA on pourra faire progresser nos formations mais pour le moment, il n'y a rien de comparable à des formations d'université américaine.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:25:49
50centimes a écrit : Moi je suis en 3eme année d'économie parcours économetrie. |
Tu px bosser ds les equipes de recherche economique dans les banques... ca paye pas trop mal
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:30:59
Je ne nierais pas le fait que ce genre d'études n'est pas apprécié à sa juste valeur en France. Partant de ce principe, j'ai fait une M1 finance mais je me suis rendu compte que c'était pas vraiment ma passion et suis vite revenu vers l'économie. Le DEA n'est pas une fin en soi, aujourd'hui on a l'occasion d'effectuer des parcours plus longs et de voyager. Les DEA sont des atouts pour intégrer des Mastères spécialisés, des masters en UK ou même des PhD aux USA car personne ne veut finir chercheur au CNRS, même si le travail est particulièrement intéressant, mais tres mal valorisé.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:32:19
oui mais cela revient encore à la finance.
Moi mon rêve aurait été un master 2 en économie ( ciblé microéconomie et théorie des jeux) d'un niveau international mais je n'en vois pas surtout si c'est pour finir comme mes maitres de conference meme si travailler pour le CNRS est tout à fait honorable,en France j'ai l'impression que l'économie ne paye pas, c'est bien dommage.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:33:17
wint3r a écrit : Bien, après avoir scruté cette partie du forum, j'ai jugé nécessaire de créer un topic qui concerne les économistes ou les interessés. |
Excellente idée
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:33:39
lol j'ai ecrit la meme chose à propos du travail de chercheur sans voir ta réponse comme quoi tous les étudiants pensent la meme chose de la recherche en France
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:35:44
Moi en faite j'ai peur aussi qu'il m'arrive la meme mésaventure que toi car la finance j'en ai jamais fait et je sais pas comment je vais réagir à passer d'une licence d économie à une M1 finance,c'est vrai que c'est risqué
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:37:54
50centimes, je te conseillerais de regarder de plus près les formations en eco à toulouse, ou le professeur Jean Tirole enseigne. Il est reconnu mondialement. Enfin, les métiers de conseil et d'analyste ne sont pas forcément dans la finance.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:39:29
wint3r a écrit : 50centimes, je te conseillerais de regarder de plus près les formations en eco à toulouse, ou le professeur Jean Tirole enseigne. Il est reconnu mondialement. Enfin, les métiers de conseil et d'analyste ne sont pas forcément dans la finance. |
Sinon tu devrais aimer ce master R de Dauphine http://www.dauphine.fr/ufrea/master_ace/ae_cours.html C'est de l'economie quantitative... dc pas trop de macro, meme si la macro dynamique c'est qd meme sex (cf cours de M1 eco app )
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:42:12
Je confirme, un mix de finance et d'economie. De nombreuses companies recherches des économistes et non pas seulement des gestionnaires.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:43:07
oui je ne connais Tirole ( de nom) et j'ai un de mes anciens professeurs qui est chercheur à Toulouse 1, et j'ai gardé le contact avec et lui m'avait dit qu'il m'aiderait le plus possible pour ma formation(à l'époque il m'avait presenter à un profeseur de l'ESSEC car avant c'est ce que je voulais faire).
C'est vrai que Toulouse est pas une mauvaise idée, mais aurais je le courage d'aller de Paris à Toulouse, eet quel M2 serait l'ideal ...
j'ai jeté un oeil a la formation de Toulouse et "sur le papier" je vois pas telement un M2 qui m'interesserait
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:44:48
Le master de dauphine me semble vraiment atrayant, il faut que j'étudie ce cas
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:45:25
Pour ce qui est de la micro et de la theorie des jeux, c'est du domaine de l'eco industrielle. Tu as aussi la formation du Pr. Chevalier à dauphine. Je dois avouer que j'ai évité toulouse car c'est dur pour un parisien
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:46:51
Complété par un mastère en conseil stratégique d'HEC ou l'ESSEC et c'est parfait
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:49:49
c'est vrai que c'est atrayant.
C'est dans ces moments là que l'on doit prendre des décisions stratégiques de haute importance.
Faire de la finance mathématiques ou de l'économie à dauphine ( soit eco industrielle soit analyse économique)....
C'est pas rien comme décision
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:53:30
Il faut se renseigner et ne pas hésiter à en discuter avec des professeurs et des professionnels. Regardes un peu les offres d'emploi en bac+5. Enfin, l'économie, surtout la branche plutot micro offres de nombreux débouchés tant dans la recherche publique que privée. Car cette dernière reste de la recherche mais la rémunération est bien meilleure.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:54:48
Enfin si c'est l'argent qui t'intéresse avant tout, orientes toi alors vers la finance. N'oublies pas le prestige d'etre appelé Docteur
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:54:57
une question.
En M1 éco appl à Dauphine, on peut vraiment choisir n'importe quel matiere dans la liste où y a quand meme un minimum de"matiere générale" à choisir tel que la macro par exemple.
C'est à dire puis je choisir que des cours de finance mathématique et de micro-économie au sens large biensur(commere international, économetrie,eco indus,eco public)
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:56:43
Lol oui l'argent contribut bcp au bonheur quand même.
Il est vrai que cela me ferait mal au coeur de faire de la micro et de terminer ma vie avec 3000 euros par mois sachant que j'aurai pu avoir le double ( le triple?) en fesant de la finance de marchés
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:56:55
Il existe un tronc commun obligatoire (Macro, micro, econometie) et tout le reste est libre. Cependant les choix des matières doivent etre réfléchis, certains M2 ayant des exigences
Marsh Posté le 09-09-2007 à 01:59:45
Merci bcp, c'est vraiment pas facile de choisir la formation qui va etre décisive au sujet de notre profession ( et salaire)
je vous souhaite une bonne nuit.
je reviendrai poster si j'ai encore des questions, si cela ne vous dérange pas
Marsh Posté le 09-09-2007 à 02:50:06
C'est sur qu'en finance, sur HFR on est plutôt bien servi..
Je rentre l'an prochain en Eco App. à Dauphine; pour l'instant ça ne fait aucun doute, c'est bien vers l'economie que je veux me tourner mais concretement..!? J'ai pris, je pense, pas mal de retard par rapport à mes camarades sur mes choix d'orientation et cette année sera décisive. Pourquoi ce retard? Orientation post-bac, manque d'information et d'encadrement à la fac, etc. L'essentiel est de retomber sur ses pieds après, ce que j'ai pu faire, mais tout le monde n'a pas la même chance!
Marsh Posté le 09-09-2007 à 14:11:22
En effet, tout reste un problème d'orientation. Les étudiants sont poussé comme des malades à faire de la finance, et résultat, ils se retrouvent pour un grand nombre d'entre eux à des postes très moyen en banque. Je rappelle que la finance reste avant tout le terrain de chasse des ingénieurs.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 14:24:00
Exact. Beaucoup oublient le réel besoin en économistes dans de nombreuses firmes, que ça soit des banques, une institution ou une PME.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 17:58:26
Premièrement il faut effectuer son choix selon ses preferences. Certains sont plus macro, d'autres micro, etc... Perso je suis plutot axé Micro et théorie des jeux avec un intérêt pour les applications dans les domaines de l'energie et des matieres premieres, c'est pour ça que je me suis orienté en economie industrielle. Mais le domaine reste large et on l'economie a une infinité d'application, tout le monde peut y trouver son compte. Dans mon cas, il me manquera une formation orientée en ingénieurie, c'est pour ça que je pense postuler pour un Msc à l'imperial college à londres (MSc in Metals and Energy Finance). Enfin, pour les economicistes (cf Becker), il n'y a plus de limites.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 22:49:27
J'invite les intéressés à lire le texte suivant, à savoir les débouchés pour les économistes ( avec doctorat principalement )
Who wants economists and which economists do they want?
Economics departments give considerably lower fellowships than business schools or science departments. Worse yet, some people will be admitted without fellowships and a few end up paying tuition. But it is commonly understood (although the department may not be willing to explicitly guarantee it) that all students who stay on beyond the first one or two years are funded in some manner. Often teaching assistantships are part of it, but many programs also reward academic success with scholarship money. Generally, the best and most competitive programs offer the most generous funding – MIT, Princeton, Harvard, Stanford, and Yale admits can expect to get a package of, perhaps, between $ 16,000 and $ 20,000 per year (with tuition waiver). Most other schools offer lower awards or awards tied to teaching duties, and the less prestigious the program, the less money tends to be available, and the more teaching is allocated. Some schools offer good first-year fellowships that will not be renewed subsequently (but can be replaced with a teaching or research assistantship). The reason good programs don’t normally tie their aid to teaching is that the first-year coursework will be too intense to be compatible with chores. A teaching assistantship in the first year is a suspicious affair: either the coursework is not that hard, or they deliberately expose students to tremendous stress, compromised performance, and threat of failure in order to keep staffing costs down. If financially manageable, it would be advisable to turn down a lucrative teaching assistantship in favor of a lower fellowship. To a minor extent, and for the right reasons, it is possible to bargain for a higher award if you have only received a tuition waiver or a small fellowship (say, below $ 10,000). This needs to be done with tact and with stress on the insufficiency of the funding to meet your basic needs, rather than by pointing out your other options. Money is always a sensitive issue, and departments don’t want to “bid” for students. Weigh carefully whether the slim prospect of a significantly better deal justifies the risk of alienating some people you may soon be working with. Communicate your respect for the department and your correspondents before everything else. And if the financial side permits, you should finally base your choice on the quality of the education only.
Marsh Posté le 09-09-2007 à 23:45:23
Autant pour moi, j'ai déconné lors de l'édition, dsl. Voici le bon
There are 3,000 universities and colleges in the U.S., many of which hire economics PhDs from time to time. There are several thousand more international universities that do the same. In addition, some public service institutions as well as commercial research and consulting businesses employ PhD economists. To meet this demand, American programs award about 300 to 400 economics PhDs in a given year. Their graduates compete primarily for positions as assistant professors, either in a research university, like Harvard, or a teaching-oriented college. Because publications are the road to fame, PhDs generally prefer to join a renowned research university; however, there are only a few such openings each year. If you guess that they’ll go to graduates from the top schools you’re right, but there are many more top-school PhDs than “good” academic jobs. In fact, almost one quarter of all U.S. PhDs comes from one of the schools that might be described as forming the top ten. (I’m referring to Berkeley, Chicago, Harvard, MIT, NYU, Northwestern, U Penn, Princeton, Stanford, and Yale.) Given the oversupply of prestigious degrees, it's reasonable to target such programs if you plan to make a mark on the field.
A recent trend seems to be that a few of the very best PhDs from top-30 (or even top-50) and non-U.S. schools manage to get hired by prestigious departments. Programs rank their graduates internally, and the position on that list becomes a key factor in anyone’s placement. Hence, there is something to be said for entering a rising, underrated program with strong training and a pool in which you can comparatively excel. Still, the fact remains that the vast majority of new hires at good departments comes from similarly or better regarded places. For economists who enter private industry, it is less essential to graduate from a program of high repute. However, the economics PhD is not geared to applied pursuits and doesn’t give you much of an edge over MScs or MAs in the job market (not to mention over MBAs, who are often higher paid than PhDs). If your goal is a business career, you should ask yourself whether the PhD is really something that you need. Incidentally, an MBA, from a good school and with solid work experience, will earn more than $ 100,000 p.a. these days; a well-placed PhD economist starts out near $ 80,000 p.a.
PhDs educated in the top U.S. departments tend to be the most sought-after and highly-prized on the market. This isn’t true for every subject, but it is for economics because American-style graduate programs, with their intense curricula and immersive research cultures, produce competent and productive academics. This is also recognized abroad, and the few European schools that made inroads in the past with programs modeled after American ones (foremostly, the London School of Economics) are now a model for ambitious departments elsewhere that tap into an applicant pool that includes far more talent than the best U.S. programs can absorb. Much of what is said here about applications to U.S. programs applies to these emerging international programs that are refashioning themselves to offer similarly conducive conditions.
Marsh Posté le 10-09-2007 à 12:03:01
J'espère en avoir éclairé certains. Pour info : econphd.com
Je rappelle aussi les possiblités de carrière dans les médias en tant qu'expert ( cf Jean-Marc Sylvestre).
Marsh Posté le 10-09-2007 à 13:51:41
wint3r a écrit : Je ne nierais pas le fait que ce genre d'études n'est pas apprécié à sa juste valeur en France. Partant de ce principe, j'ai fait une M1 finance mais je me suis rendu compte que c'était pas vraiment ma passion et suis vite revenu vers l'économie. Le DEA n'est pas une fin en soi, aujourd'hui on a l'occasion d'effectuer des parcours plus longs et de voyager. Les DEA sont des atouts pour intégrer des Mastères spécialisés, des masters en UK ou même des PhD aux USA car personne ne veut finir chercheur au CNRS, même si le travail est particulièrement intéressant, mais tres mal valorisé. |
Peux tu expliquer en quoi le DEA est un atout pour le PhD.
Après discussion avec certins profs, il me semble qu'on peut raisonnablement dire que DEA en France = 1e année de PhD aux US. Et donc en faisant cela tu "perd" une année...
Marsh Posté le 10-09-2007 à 13:53:50
50centimes a écrit : oui je ne connais Tirole ( de nom) et j'ai un de mes anciens professeurs qui est chercheur à Toulouse 1, et j'ai gardé le contact avec et lui m'avait dit qu'il m'aiderait le plus possible pour ma formation(à l'époque il m'avait presenter à un profeseur de l'ESSEC car avant c'est ce que je voulais faire). |
Tiens! C'est marrant: moi je suis à l'ESSEC et je fais cette année un M1 d'économie à Paris 1.
Que pensez vous du Magistère d'économie et de l'EEP?
Marsh Posté le 10-09-2007 à 14:32:47
je ne savais pas qu'il fallait reprendre en M1, et que tu pouvais pas directement faire le M2, enfin tout depend dans quel master tu es
le magistere d'eco de paris 1 est reputé mais a mon avis, a sec il n'ouvre pas des masses de portes
Marsh Posté le 10-09-2007 à 14:33:52
Parce que le topic ESSEC parle principalement de la rentrée. Oui, je vais faire un tour si vous avez des questions.
Sinon, j'avais mis mon parcours sur prepa-hec.org, je vais le mettre sur le topic ESSEC.
J'ai intégré en M1 sur dossier après 3 ans a l'ESSEC, intégré sur concours.
Marsh Posté le 10-09-2007 à 14:36:16
Oui, en général, le deal c'est tu rentre directemennt en M2 quand tu es diplomé d'une école de commerce (sauf accord avec la fac alors M2 = dernière année).
Moi je suis en dernière année, et je ne voulais pas rentrer en M2 direct, car je voulais connaitre les bases de l'économie, et en plus je ne suis pas diplomé.
Marsh Posté le 10-09-2007 à 14:41:46
Bon c'etait econphd.net, vous auriez pu googgeliser
Quoi qu'il en soit, le DEA est un atout pour le PhD car la sélectivité est tres élevé et exige divers travaux de recherche et recommendations d'éminent professeurs. De plus, ces derniers sous estimant le niveau etranger, un bac+5 est un réel plus, montrant vraiment les motivations pour la recherche.
Concernant iblade, c'est assez surprenant, j'en connais un paquet qui rentre en école sur AST apres la fac, des diplomés d'ecoles qui se finissent en M2, mais pas bcp qui repassent en M1.
Marsh Posté le 10-09-2007 à 14:45:13
iblade a écrit : Oui, en général, le deal c'est tu rentre directemennt en M2 quand tu es diplomé d'une école de commerce (sauf accord avec la fac alors M2 = dernière année). |
Normalement tu peux rentrer en M2 des lors que tu as validé les 60 premiers credits de M1, normalement c'est le cas quand tu finis ta 2eme année ? t'es sur que c'etait pas possible ? donc du coup tu en as pour 2 ans ?
quel master tu fais ?
pour un phd c'est clair que le niveau bac +5 est un plus...
tant qu'on y est a balancer des liens
www.rce-revue.com
revue d'economie cree par des etudiants (de l'ENS cachan principalement)
Marsh Posté le 09-09-2007 à 00:41:14
Bien, après avoir scruté cette partie du forum, j'ai jugé nécessaire de créer un topic qui concerne les économistes ou les interessés.
En effet, je vois sans cesse des topics concernant la finance, les banques, ou comment devenir trader ou saler, mais rares sont ceux qui s'intéresse vraiment à l'économie elle-même. J'invite donc nos amis les économistes à s'exprimer sur le sujet et à expliquer leurs motivations et détailler leur profil pour éventuellement susciter de nouvelles vocations.
Pour ma part je suis en DEA d'économie à l'université Paris Dauphine après avoir obtenu une maîtrise en économie et économétrie. Je me spécialise en Economie industrielle ou plûtot Organisation Industrielle, effectuant mes recherche au sein du centre de géopolitique de l'énergie et des matières premières.
Bien qu'un DEA puisse paraître encore trop théorique pour certains, je pense sincèrement que c'est une formation qui développe plein d'autres qualités, dont l'esprit d'initiative et l'autonomie. La sphère professionnelle privée recherche à diversifier les profils de ses recrues et les étudiants de DEA présentent des particularités que les étudiants en DESS ne possèdent pas.
Je ne veux pas m'étendre sur le sujet pour un premier post et attends donc quelques développements.