Qui se souvient de Whitchaven 2? - Jeux Video
Marsh Posté le 07-01-2002 à 23:12:30
moi je m'en souviens
pentium 90 + 8 mo + trident 1mo roulezzzzzzzzzzzzzzzz
mais pas de nouvelles depuis longtemps....
Marsh Posté le 07-01-2002 à 23:46:14
ça me dit kk chose mais j'ai était marqué par Rise Of The Triad moa
Marsh Posté le 07-01-2002 à 23:48:39
stolas a écrit a écrit : ça me dit kk chose mais j'ai était marqué par Rise Of The Triad moa |
vindieu, ça ct bon
Marsh Posté le 08-01-2002 à 00:01:46
rise of the triad n etait qu une ebauche de l excellent duke nukem 3d.
Marsh Posté le 08-01-2002 à 03:29:13
oh les witchaven... j'avais préféré le un, et j'ai dus les finir 2 fois chacuns...
le moteur de duke nukem (la version juste d'avant il me semble). c'etait exactement le meme editeur de niveau...
Marsh Posté le 08-01-2002 à 21:06:22
Et vous n'avez pas réessayé avec vos gros pc?
Parce sur le mien ça marche que dalle. Depuis win98 en fait.
Je n'ai jamais pu trouver de patch, vous non plus? Même pas beta?
C'est dommage parce que je me souviens qu'il y avait vraiment des ambiances à la Doom avec des tours hautes et sombres et plein d'ennemis démoniaques et des armes enchantées et des sorts et tout et tout... C'était excellent quoi!
Marsh Posté le 13-01-2002 à 21:43:03
Witchaven 2 n a pas marque grand monde (moi le premier).
precise combien tu as en memoire conventionnelle ainsi qu en memoire paginee.
[edtdd]--Message édité par space--[/edtdd]
Marsh Posté le 15-01-2002 à 11:13:39
space a écrit a écrit : Witchaven 2 n a pas marque grand monde. |
On dirait!
Je vais voir pour la mémoire mais tu crois que ça joue? Ca doit être standard chez moi (cf config).
Marsh Posté le 07-01-2002 à 17:37:34
J'avais adoré ce jeu mais il tournait déjà mal sous win 95 et maintenant même sous dos il merde complètement.
Quelqu'un a-t-il un patch ou un truc? J'aimerais visiter ces grands donjons démoniaques...
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C'est tenter l'homme que de lui laisser le choix. Or Dieu, par sa préscience infinie savait bien ce qui en résulterait. De ce moment c'est donc à plaisir qu'il perd la créature que lui-même a formée. (Sade)