Salut à tous   ,  
 
(Je tiens à m'excuser d'avance s'il existe déjà un topic sur le sujet, je ne l'ai pas trouvé )
 
Je souhaiterais parler d'un sujet qui m'intéresse particulièrement et sur lequel je suis actuellement entrain de faire des recherches afin d'organiser par la suite, si besoin est, une campagne de prévention.
 
Tout d'abord, la nomophobie, qu'est-ce que c'est ?
 
La "nomophobie", contraction de "no mobile phobia", désigne l'angoisse de ceux qui ne peuvent se passer une minute de leur téléphone et leur peur irrationelle de le perdre.
 
Aujourd'hui, plus d'un français sur deux en est atteint. Pensez-vous qu'il faut prendre cette addiction au sérieux, comme le sont les addictions à l'alcool, au tabac ou encore aux drogues ?
 
Si oui, devrait-on mettre en place une campagne de sensibilisation ? [au sein des établissements scolaires par exemple.]
 
Finalement, quels seraient selon vous les moyens de prévenir cette dépendance ?
 
Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet ou tout simplement en discuter, je vous invite à visiter le blog que j'ai créé à propos de la nomophobie :
 
http://hang-up-your-phone.blogspot.fr/
 
Merci pour vos avis, en espérant qu'ils soient nombreux !

up

Ça va être intéressant si ça prends ce topic.
Avec la population de hache et fer tu vas avoir de quoi faire.
 
Après faut contextualiser aujourd'hui un téléphone ne sert pas qu'à téléphoner et nombreux sont ceux qui s'en servent ne serai ce que de réveil si ce n'est de répertoire, d'agenda etc ...
 
L'anxiété lié a sa perte est corrélé a l’importance qu'il prend dans notre quotidien.
 
Et les gens mettent de plus en plus d'argent dans les telephones il n'y a qu'a voir le marché des smartphones qui s'ouvre aux casuals.
 
Quant a prendre cette addiction au sérieux...
 
En se fondant sur la clinique des nomophobes est il vraiment nécessaire de se mettre en campagne et expliquer a autrui comment doit il se comporter -pour son bien...- vis a vis de son téléphone ?
 
Le nomophobe est plus anxieux à l’idée de perdre son téléphone que réellement souffrant d'une phobie/addiction qui impacterait sur son plaisir de vivre au quotidien.
 
Laissons les gens s'inquiéter de perdre un objet qu'ils on achetés relativement cher et qui les seconde dans leur journées, du moment qu'ils ne sont pas en souffrance continuons de préférer éviter l’ingérence sous couvert de bonnes intentions pour autrui.

Merci pour ton intérêt vis à vis du sujet, ce genre d'avis est très important pour l'avancée de mon travail !
 
Je suis d'accord sur bien des aspects avec tes propos, je ne pense pas que l'on puisse comparer cette dépendance à une autre de par son caractère : il n'y a pas addiction à une substance/produit mais à un objet.  
 
Cependant, ce type de dépendance est d'un genre nouveau et je pense qu'il ait légitime d'informer les gens quant aux potentiels dangers auxquels ils s'exposent.
 
Il s'agirait donc plus d'informer, principalement les enfants/adolescents, plutôt que d'éduquer les foules.
 
Là est toute la difficulté de cette démarche : comment arriver à sensibiliser sans tomber dans le piège "voilà LA bonne façon d'utiliser votre téléphone"

qu'il est*

En expliquant aux gens que ca n'est jamais autre chose qu'un outil.
Et il ce que le telephone (comme beaucoup d'autres choses) n'est que ce que nous en faisons.
La meilleur maniere de respecter e libre arbitre est encore de responsabiliser les individus.
Enfin il me semble et en plus ca sonne bien.
Mais ça ce discute sans doute.

Faite comme moi, partez en vacances sur une île où il n'y a pas de réseaux pendant 2 semaines (Maldives), c'est assez radical. Et on s'aperçoit alors que ça n'est pas "vital"...

La société actuelle a réussi à créer un nouveau besoin autour de l'hyper-connectivité.  
 
Certes, certaines personnes sont tout à fait aptes à se séparer de leur téléphone (et quelques unes n'en possèdent parfois pas du tout, même si celles-ci représentent une infime minorité), mais beaucoup ne conçoive pas l'idée de se "déconnecter" et se sente "perdues" voire "rejetées" lorsqu'elles n'ont plus accès à leur appareil;
 
Alors oui, chacun fait ce qu'il veut et utilise son téléphone comme bon lui semble, mais je crois que nous sommes sous-informés, en particulier les plus jeunes d'entre nous, quant aux dangers liés à l'utilisation prolongée des smartphone.

Désolée pour les nombreuses fautes d'orthographe du message précédent, mea culpa.