Poème du soir, désespoir (un peu morbide quand même...) - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 15-04-2003 à 09:35:19
Shaman LizardKing a écrit : J'aime bien |
copaing
Ca va, j'ai pas trop honte alors
Marsh Posté le 15-04-2003 à 09:37:15
Le plus drôle c'est que si tu lis une phrase sur deux ça a quasiment un sens
Marsh Posté le 15-04-2003 à 09:38:37
Sérieux, traduit ça en Anglais, et propose ce texte à Muse
cycojesus a écrit : |
Marsh Posté le 15-04-2003 à 09:40:01
Format_C a écrit : Le plus drôle c'est que si tu lis une phrase sur deux ça a quasiment un sens |
même pas fait exprès
Marsh Posté le 15-04-2003 à 09:55:56
Format_C a écrit : Sérieux, traduit ça en Anglais, et propose ce texte à Muse |
"She look at me with her sick eyes and I hate her
Not even if she really exists
The hatred that fill me up, and I follow her
So far from all that, all thoses dying people
And of sweetened feelings, I palpate her so sweet skin
To drown my self, to burn me with soft fire
Her so pitiful life, between sickness and despair
Fail me on the blood's beach
Interminable. Death wait for her, but take its time
To sow parts of her body on the edges of the roads
From their empty orbits run their melted brains
Some all, take all, digest all, spit all
To end their useless existence and let run
Took by cadavers' trucks, screaming sirens
To south, to find a seeming transitory happiness
To puck all on the ground, grey, green and red, the rainbow
Lan of plenty, so far and yet at the end of my fingers
My soul rise, to be dispersed by wind. Death."
http://www.museband.com/bandpage.html ... euh... nan, pas là
http://www.muse-official.com/ c'est plutôt là
Marsh Posté le 15-04-2003 à 10:00:47
Bon le but du jeu maintenant c'est que ça Rime. Vas y mon poulain, je te fais chauffer la presseuse de disque d'or en attendant
Marsh Posté le 15-04-2003 à 10:06:03
cycojesus a écrit : |
Marsh Posté le 15-04-2003 à 10:53:42
Bon, il est où mon disque d'or ?
Marsh Posté le 15-04-2003 à 11:02:47
cycojesus a écrit : Bon, il est où mon disque d'or ? |
Pas si vite pas si vite, il te reste maintenant à changer de look, parceque là ça craint vraiment
Marsh Posté le 15-04-2003 à 12:31:53
chuis prêt à tout, j'viens d'me faire arracher la tête par le patron alors ...
Un chanteur sans tête c'est photogénique ?
Bon, faut j'aille prend' des forces si j'veux débuter une carrière internationale
Marsh Posté le 26-03-2004 à 18:21:31
[i]Kikou! C'est un poème que j'ai écrit![/i]
Dans quelques années:
Je suis une boniche,
Dirigée par le monde,
Je vie dans une niche,
Pleine de mauvaises hondes,
Je ne sais pas penser,
On me dicte tout ce que je dois fair,
Je suis effrayer,
Par le peu que j'ai le droit de fair,
Au moin quand je serais morte,
Je ne ferais plus rien,
Je ne penserais plus,
Je ne viverais plus,
Je serais morte,
je ne srais pas envahie par ce que je fais de mal,
Mais j'ai mal,
C'est rien,
Mais dur d'y penser,
Marsh Posté le 28-03-2004 à 19:53:53
cycojesus a écrit : chuis prêt à tout, j'viens d'me faire arracher la tête par le patron alors ... |
tiens-moi au courant pour le disque d'or, j'ai bien aimé ton texte
Marsh Posté le 31-03-2004 à 19:08:49
C'est gentil de dire qu'il est beau! J'en ai d'autre....enfin pas beaucoup! je vais en vous mettre un aute:
Création:
Pourquoi on a été créé?
Pourquoi la terre nous a créée?
Pourqu'on la détruise chaque année?
Je ne peux pas y penser,
Je suis effrayer,
C'est trop demander,
De la laisser tranquille?
Je préfère vivre sur mon île!
Marsh Posté le 15-04-2003 à 09:26:18
Un petit texte écris presque en automatique hier soir (après avoir regardé 'A tombeau ouvert' (un lien, peut-être...)) et que j'ai pas eu envie d'effacer en le relisant ce matin... Et que je vous livre histoire de vous pourrir la journée
"Elle me regarde avec ses yeux malades et je la hais
Elle se targue de me connaitre et je ne sais
Pas même si elle existe vraiment
Peut-être juste une création de mon esprit, j'expire
La haine qui m'emplit, et je la suis
Dans les méandres de la folie là-bas
Si loin de tout ça, de tout ces mourants
Dans ce pays si beau, si plein d'allégresse
Et de Sensations sucrées, je palpe sa peau si douce
Et elle me repousse, dans les bras de la mère Terre
Pour m'y noyer, me bruler à feux doux
Pour ne plus la voir m'implorer de la laisser finir
Sa si pitoyable vie, entre maladie et désespoir
Je viens la voir et elle me jète
M'échoue sur cette plage de sang
Sang fécond ou sang souci, annonciateur de malheurs
Interminables. La Mort l'attends, mais prends son temps
Traine en chemin et la regarde s'étioler inexorablement
Semer des morceaux de son corps sur le bord des routes
On croise des hommes-zombies qui nous fixent
De leurs orbites vides coule leurs cerveaux putréfiés
Anestésiés par la chimie salvatrice, destructrice
Du tout, tout prendre, tout digérer, tout recracher
Et finalement tomber, sur le bitume froid et rapeux
Pour terminer leurs exitences inutiles et laisser filer
Les fluides vitaux hors d'eux, lubrifiants le chemin
Qu'empruntent les camions de cadavres, sirènes hurlantes
A cent à l'heure. Font peur aux survivants qui marchent
Vers le Sud pour y retrouver un semblant de bonheur éphémère
Une substance visqueuse m'emplie la bouche, je régurgite
pour tout rendre sur le sol, gris, vert et rouge, l'arc-en-ciel
De la douleur qui gagne petit à petit tout mes organes.
Pays de cocagne si lointain et pourtant au bout de mes doigts
Une chute et le noir. Plus rien, aucun stimulis nerveux.
Mon âme s'élève, pour être dispersée dans le vent. Mort."
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