Les perles des journaux régionaux [La dépêche, le Courrier Picard etc] - Loisirs - Discussions
Marsh Posté le 25-05-2011 à 22:49:19
Agen. Un boulanger accusé d'inceste teinté de zoophilie
"Deux sœurs ont déposé plainte à l'encontre d'un boulanger pâtissier de l'Agenais, l'ancien compagnon de leur mère. Elles révèlent viols, agressions et zoophilie.
« Fermeture pour cause de santé, durée inconnue », cette affiche laconique a intrigué un temps. Mais les gens ont vite compris que l'arrêt de l'activité allait durer au vu du badigeon blanc sur la vitrine. La nouvelle s'est répandue telle une traînée de poudre, la profession n'en fait pas mystère, la clientèle s'avoue au courant et l'information bruisse dans un certain milieu sportif qui avait ses habitudes chez l'artisan. Ce boulanger agenais de 52 ans dort depuis le 6 mai dernier à la maison d'arrêt. Interpellé à la suite d'une double plainte pour des faits criminels, il a été mis en examen pour « viols sur mineures, agressions sexuelles et corruption de mineures » et placé en détention provisoire. Après avoir exploité un commerce au centre d'Agen cédé à un repreneur, il s'est installé par la suite à la périphérie de la ville. Ce pâtissier de formation est soupçonné d'avoir abusé de ses deux belles-filles âgées aujourd'hui de 17 ans et 21 ans.
Un doberman…
Les filles de son ancienne compagne dont il est séparé depuis quelques mois après 8 ans de vie commune. Les faits ont été dénoncés début mai par les victimes au commissariat. Les deux sœurs relatent des viols et des agressions sexuelles commis par leur beau-père entre 2005 et 2010, mais de manière distincte, l'aînée tout d'abord, puis la cadette plus longtemps. Cette dernière affirme avoir aussi enduré sous la contrainte, des viols répétés par le chien de la maison, un doberman. À aucun moment, les deux sœurs ne s'étaient confiées l'une à l'autre sur les agissements pervers dont elles avaient fait l'objet. Une réunion de famille aurait servi à libérer ce lourd secret. Les victimes évoquent des abus perpétrés lors des moments de repos de l'artisan et de visites sur le chantier d'un hôtel que le mis en cause rénovait à ses heures perdues à Agen et où il attirait la plus jeune. Des visionnages de films pornographiques sont aussi mentionnés, préliminaires à certains passages à l'acte. L'auteur qui reste présumé innocent, nie les faits et reconnaît uniquement des relations sexuelles consenties avec la benjamine. Son ancienne concubine n'aurait rien décelé. Décrit comme un bosseur qui ne comptait pas son temps, il est également connu pour parler crûment de sexe. Mais tous ceux qui ont côtoyé le boulanger avouent être tombés des nues, loin de s'imaginer le concernant, une déviance incestueuse teintée de zoophilie."
à lire http://www.ladepeche.fr/article/20 [...] croue.html
Marsh Posté le 25-05-2011 à 22:57:29
Il frappe son ami à coup de hache
Sadik, taillé comme un déménageur, ne fait pas dans la dentelle quand il s'énerve. Ce jour du 11 mars dernier, il est sur un parking de Bel-Air, pour bricoler la voiture de son copain Nouredine. Vient à passer un autre copain, Nicolas, qui s'arrête et commence à discuter. Une petite conversation entre potes, pendant que Nouredine continue à bricoler son moteur. Sadik propose à Nicolas de lui vendre une Golf rouge, pour 300 €.
Nouredine s'approche, pour donner son avis : « Une bonne occase… ». Mais il n'aura pas le temps de finir sa phrase : Sadik interprète tout de travers et pense que son copain se mêle de ce qui ne le regarde pas. Ni une ni deux, il fonce vers sa voiture, en sort un marteau de belle taille et commence à taper sur la voiture en rade de Nouredine. Manque de chance pour lui, le marteau se casse. Où sont les outils d'antan, on se demande… Qu'à ce la ne tienne, Sadik a de la ressource : de son coffre, il sort une hache, et tape comme un sourd directement sur le moteur de la voiture. Voyant le carnage, Nouredine se précipite et tente d'arrêter le massacre. Mal lui en prend, Sadik lui assène un violent coup de hache sur le poignet. Alors que le sang gicle partout, Sadik retourne à son entreprise destructrice de moteur.
Après avoir nié toute responsabilité, disant aux policiers que son pote s'était blessé tout seul en laissant retomber le capot sur sa main, il finit par avouer devant le tribunal : « Ouais, mais j'ai pas fait exprès, c'est un accident involontaire, je ne voulais pas lui faire mal ». « On a du mal à vous croire, réplique la présidente. Sa main était très loin du moteur. Et que dire de la suite… » Résultat des courses : tous les tendons extenseurs du poignet tranchés. Un carnage là aussi. D'après les psychiatres, Sadik présente une « personnalité explosive et colérique ». On en voit le résultat. Quant à la suite qu'évoquait la présidente ; il s'agit de menaces : à peine sorti de la clinique, Nouredine est abordé par Sadik : « Si tu leur dis quoi que ce soit, tu sais ce qui t'attend. Je sais où te trouver… T'as intérêt à leur dire que tu t'es fait ça tout seul ».
« Prétendre que les blessures sont involontaires ne tient pas debout, constate le procureur Puyo. L'accident était impossible et son ami était bien sa cible. Pour ce déferlement de violence, je demande la peine plancher, puisqu'il est en récidive légale : 2 ans de prison. »
L'avocate de la défense va s'attacher à démontrer que son client n'était pas responsable de ses actes : très perturbé au plan psychiatrique, il devrait bénéficier d'une expertise. Mais le tribunal va en décider autrement : « 2 ans de prison dont un an avec sursis mise à l'épreuve pendant 18 mois, obligation de soins et interdiction de rencontrer la victime. »
http://www.ladepeche.fr/article/20 [...] -main.html
Marsh Posté le 26-05-2011 à 13:21:54
Foix. Ils tuent leur voisin et jettent le corps
Trois accusés répondent d'un meurtre commis à Foix, en août 2008 : un homme avait été tué au cours d'une soirée très alcoolisée. Le procès a commencé hier aux assises.
Le procès du meurtre de la rue de la gare à Foix a commencé hier à la cour d'assises. Sur le banc des accusés Christophe Nicolas, 36ans, son épouse Pascale, 44 ans, et Michel Tistounet, 49 ans. Ils sont accusés d'homicide volontaire sur la personne de Jean-Marie Vantouroux, 50 ans, demeurant près de la gare SNCF de Foix. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 15 au 16 août 2008 : la victime et son épouse étaient invités à l'apéritif chez leurs voisins, les Nicolas. Dans la soirée Mme Vantouroux est partie se coucher. Le lendemain elle allait au commissariat de Foix pour dire que son mari avait disparu. Les policiers ont vite fait le lien avec le corps d'un homme mort retrouvé à Gudas, à plusieurs kilomètres de Foix, dans un ruisseau.
Une sauvagerie inimaginable
L'enquête s'est orientée naturellement vers les Nicolas et un ami qui était présent à la soirée, puisqu'hébergé chez eux, Michel Tistounet. On ignore les motifs exacts du meurtre ; ce qu'il y a de sûr c'est que la victime a été tuée avec sauvagerie inimaginable. Un tournevis cruciforme, un marteau et un sécateur sont les objets qui ont servi au meurtre. Les faits ont été reconnus par les protagonistes mais dans le désordre et les responsabilités restent à démontrer. Pascale Nicolas dira qu'elle a vu Michel Tistounet donner des coups de marteau derrière la tête de la victime qui bougeait encore, alors que Christophe Nicolas aurait donné les coups de tournevis. Tistounet reconnaîtrait les coups de marteau. L'autopsie dit que les coups ont été portés avec une grande force ; le coup qui a provoqué la mort a été porté au niveau du crâne. Confronté quatre fois au juge instructeur, Christophe Nicolas donne à chaque fois une version différente des faits en minimisant son rôle. Il aurait simplement aidé à transporter le corps et à nettoyer les lieux. Le jour de la reconstitution les enquêteurs auront droit à une nouvelle version. Les hommes présents ce soir-là avaient bu. Beaucoup.
4,5 g d'alcool dans le sang
L'autopsie montrera que la victime avait 4,50 g dans le sang, mais les meurtriers étaient ivres également, cela ne fait guère de doute. Ce qui aurait déclenché la folie meurtrière. Christophe Nicolas qui était du genre à partir au quart de tour lorsqu'il avait bu (huit condamnations pour violences liées à l'alcool et trois séjours en prison) n'aurait pas apprécié une attitude séductrice de la part de la victime envers sa femme. Laquelle n'a pas l'habitude de boire comme elle le souligne, elle-même. Par contre d'après elle, Michel Tistounet était capable de « vider un cubi en moins d'une heure ». Et si on ne lui donnait pas ce qu'il voulait « il frappait violemment sur la table ». Et elle prend pour exemple une bouteille de pastis. Sa stratégie transparaît à cet instant : elle fera bloc avec Christophe, qu'elle a épousé en prison et qu'elle considère comme son « premier amour ». L'objectif c'est, bien sûr, de porter la responsabilité du coup fatal sur Michel Tistounet. Pascale décrit un Tistounet macabre à un enquêteur. Cela ne peut pas être son mari « qui est responsable de cela ; cela relève de la psychiatrie, c'est trop fou ». On verra aujourd'hui si la défense des Nicolas se précise.
Une somme de vies chaotiques
Le parcours de vie de Christophe Nicolas s'avère des plus chaotiques. Enfant naturel, il n'a pas connu son père et a été élevé par son grand-père, envers lequel il éprouvait un profond respect. Il dit lui-même qu'il n'était pas bon à l'école. Sa mère se remarie et il déteste son beau-père. Quand sa mère aura un autre enfant, il se sent repoussé : « De premier, je passe le dernier. » La famille partira dans l'Aude, près de Castelnaudary, où il travaillera dans une coopérative agricole comme saisonnier, après 18 mois de service dans la Marine nationale. Il aurait pu rempiler et partir en Martinique. Mais non, il reste en métropole. « J'étais avec quelqu'un », explique-t-il. Peut-être a-t-il laissé passer là une chance car lorsqu'il est cadré, il est plutôt travailleur. Il était donc avec une copine mais « je l'ai trompé, j'ai merdé ». La suivante lui donnera une fille, qui est la personne à laquelle il tient le plus. Mais la mère se lassera des brutalités de Christophe dues à l'alcool et fera ses bagages.
Violence et alcool
Et tout le reste, jusqu'à aujourd'hui, sera rythmé par le couple violence-alcool. Quand se produit le meurtre, il était sorti de prison, depuis deux mois environ. Pascale Nicolas aura une scolarité plutôt nulle à Tarascon, elle sèche les cours, en famille ça ne marche pas fort. Elle lâche la scolarité. Elle connaît un premier homme avec lequel elle vivra cinq ans « il aimait boire et les femmes ». Le second homme sera un véritable calvaire. Il la bat au point de lui casser le nez. Une autre fois, il lui casse un balai sur le dos. Quand elle rencontre Christophe Nicolas, c'est le grand amour. Il aime ses enfants, l'atmosphère change et elle l'affirme au tribunal malgré les doutes émis par le président. Quant à Tistounet, il est qualifié d'attardé sur le plan intellectuel ; il sera mis sous tutelle ; à 15 ans, il travaille dans le textile mais il est licencié parce qu'il boit. Après, il glisse dans la marginalité. Il est hébergé à droite, à gauche. « C'est un faible, il est influençable et timoré », dit l'enquête.
http://www.ladepeche.fr/article/20 [...] lcool.html
Marsh Posté le 26-05-2011 à 13:23:47
Reply
Marsh Posté le 25-05-2011 à 21:48:19
Ca commence par ça :
SAINT-QUENTIN Il impose une fellation à son oncle trisomique : quatre ans de prison
Un Saint-Quentinois de 22 ans a été condamné par le tribunal correctionnel à quatre ans de prison avec un suivi socio-judiciaire de 10 ans.
Le 16 janvier dernier, il avait imposé une fellation à son oncle, atteint de trisomie 21. En janvier 2009, le tribunal de Tarbes l'avait condamné à trois ans de prison pour une autre agression sexuelle sur une personne vulnérable.
Toutes les infos dans notre édition Saint-Quentin de demain.
là => http://www.courrier-picard.fr/Pica [...] -de-prison
Message édité par arthoung le 25-05-2011 à 22:53:10