http://www.vivelesrondes.com/obesite-mythe/
 
J'aimerais savoir ce que les professionnels de la médecine pensent de cet article ? En avez vous entendu parler ? Vous semble t'il crédible ?

Ha, ça captive les foules on dirait...
 
Pourtant dans le domaine de la santé, l'obésité est "un fléau" semble t'il ?
 
Aller, un petit effort de lécture, et dites moi ce que vous pensez du "problème" de l'obésité ?

Un fléau, un fléeau. Si on part de ce type de déclaration, beaucoup d'éléments de notre vie, de notre culture, de maladies, etc. sont des fléaux. On est finalement entouré de fléaux, qui deviennent (toutes choses étant égales par ailleurs) des non-fléaux, des non-événements.

J'aurais dû préciser que selon les professionnels de la santé et dans les médias, le problème de l'obésité qui semble avoir augmenté dans la population serait un fléau...
Personnellement, je trouve que le SIDA, oui, c'est un fléau...

Oui certainement. L'obésité ne tue, a priori, pas des millions de personnes sur la terre.
 
Selon les professionnels de la santé qui ont besoin de vendre des médicaments ? Ou selon des journalistes qui ont d'actualités à sensation ?
 
Je ne sais pas.

hum    
 
disons que je flag pour lire plus en détail plus tard mais ça m'a l'air, à priori, rempli de pas mal de conneries. à voir. A+

Je suis assez partagé sur ce que je viens de lire. A la fois il est bien de relativiser les choses, de calmer l'hystérie américaine à son propos, mais en même temps on voit pas très bien où il veut en venir lorsqu'il dit que le problème c'est pas la grosseur mais la sédentarité, et qu'une demi heure de marche à pied rapide par jour est bon pour la santé : d'accord, sauf que les gros en sont souvent incapables.
Etre gros c'est peut-être pas le mal absolu mais c'est quand même, pour en rester aux effets immédiats, la cause direct du mal de dos, de celui des articulations, sans parler du regard des autres qui a un effet direct sur son bien être.

Et bien il se pourrait que ce soit le point de départ, les firme pharmaceutiques qui décident de s'attaquer aux kilos et qui pour cela publient moults articles dans les revues médiacles pour pointé du doigt la dangerosité de l'obésité... Après cela les professionnels de la santé adoptent peut être ce discour car c'est "ce qui se fait". Un peu comme pour la mort subite du nourisson, suivant les décenies, la position couchée est dangeureuse soit sur le ventre, soit sur le dos...

Que l'industrie pharmaceutique ait du pognon à gagner dans l'histoire, c'est un fait. En conclure que c'est pas un problème et que grossir n'est pas mauvais pour la santé me parait plus que douteux.

Ca me parait etre un article destiné a ceux qui jsutement sont en surpoids et veulent se persuader de ne rien faire contre ....

Non, même si la traduction est pas terrible, on comprend qu'il dit le contraire, il considère que l'obésité n'est pas un vrai problème (un mythe)et n'est pas la cause de maladies. Bof...

La conclusion n'est pas que ce n'est pas un problème d'être en surpoids.  
Pour éviter des obésité morbide peut être vaudrait il mieux ne pas entainer les patients dans une succéssion de régimes réstrictifs qui finissent par l'effet yoyo. Car une personne qui consulte pour un surpoids de 15 kilos peut se retrouvé (et c'est même très souvent le cas) en obésité morbide pour avoir tenter de suivre des régimes trop restrictifs.
Une amie psychologue m'a dit que la plupart des patient qui consultent chez un nutritionniste sont des boulimiques ou hyperphages non diagnostiqués... Peut être y autrait il une piste à suivre là ?

Il dit que le poids et la mortalité ne sont pas liés contrairement à tout ce qui est dit par ailleurs, que le poids n'est pas un facteur de maladies, et que c'est pas un vrai problème et qu'il y en a des plus graves dans le monde (ça c'est sa conclusion, je résume mais c'est bien ce qu'il dit). C'est une suite d'affirmations avec des démonstrations un peu rapides. Ce qui est sûr c'est que l'hystérie américaine normale à propos du poids ( dont il prend le contrepied, en quelques sortes)n'est pas non plus un facteur de bonne santé parce qu'il abouti à des régimes aussi compulsifs que la manière de se nourrir pour ceux qui souffrent de ce problème.