Français question

Français question - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes

Marsh Posté le 26-03-2006 à 13:24:21    

Bonjour, j'ai un exo noté en français a faire pour demain, et je vous avouerai que j'ai un peu de mal,  
Voila le texte que j'ai a étudié :  
 
L'être que j'appelle moi vint au monde un certain lundi 8 juin 1903, vers les huit heures du matin, à Bruxelles, et naissait d'un Français appartenant à une vieille famille du Nord, et d'une belge dont les ascendants avaient été durant quelques siècles établis à Liège, puis s'étaient fixés dans le Hainaut.
 
La question que l'on me pose sur ce texte est la suivante :  
 
Qu'a d'étonnant l'expression qui ouvre le texte ?
 
je ne sais pas trop quoi répondre..C'est étonnant car lauteur parle d'elle a la 3eme personne alors que c'est une autobiographie ?  
 
Je remercie sincerement ceux qui m'aideront parce que je ne suis pas très doué !!  
merci

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 13:24:21   

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 13:38:35    

L'auteur semble vouloir se détacher de sa personne pour avoir une meilleure vue de sa vie, pê pour faire un bilan objectif de son existence. :/
 
Julius Caesar adorait parler à la 3ème personne :p

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 13:45:01    

oki merci de m'avoir répondu :)

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 13:48:49    

Une derniere question ,  savez vous sur quel aspect de lecriture autobiographieu met elle l'accent ?
 
voici le texte en entier :
 
 L’être que j’appelle moi vint au monde un certain lundi 8 juin 1903, vers les huit heures du matin, à Bruxelles, et naissait d’un Français appartenant à une vieille famille du Nord, et d’une Belge  dont les ascendants avaient été durant quelques siècles établis à Liège, puis s’étaient fixés dans le Hainaut. La maison où se passait cet événement ,puisque toute naissance en est un pour le père et la mère et quelques personnes qui leur tiennent de près, se trouvait située au numéro 193 de l’avenue Louise, et a disparu il y a une quinzaine d’années dévorée par un building.  
Ayant ainsi consigné ces quelques faits qui ne signifient rien par eux-mêmes, et qui, cependant, et pour chacun de nous, mènent plus loin que notre propre histoire et même que l’histoire tout court, je m’arrête prise par un vertige devant l’inextricable enchevêtrement d’incidents et de circonstances qui plus ou moins nous déterminent tous. Cet enfant de sexe féminin, déjà pris dans les coordonnées de l’ère chrétienne et de l’Europe du XX° siècle, ce bout de chair rose pleurant dans un berceau bleu, m’oblige à me poser une série de questions d’autant plus redoutables qu’elles paraissent banales, et qu’un littérateur qui sait son métier se garde bien de formuler. Que cet enfant soit moi, je n’en puis douter sans douter de tout. Néanmoins pour triompher en partie du sentiment d’irréalité que me donne cette identification, je suis forcée, tout comme je le serais pour un personnage historique que j’aurais tenté de recréer, de m’accrocher à des bribes de souvenirs reçus de seconde ou de dixième main, à des informations tirées de bouts de lettres ou de feuillets de calepins qu’on a négligé de jeter au panier, et que notre avidité de savoir pressure au-delà de ce qu’ils peuvent donner, ou d’aller compulser dans des mairies ou chez des notaires des pièces authentiques dont le jargon administratif et légal élimine tout contenu humain

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 13:56:14    

Propose ta réponse, et on te donnera notre avis


Message édité par OriGiNaL_MaSsE le 26-03-2006 à 13:56:26
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Marsh Posté le 26-03-2006 à 14:08:07    

J'ai dis qu'elle insistait sur les souvenirs, elle explique qu"il est difficile de se souvenir (cf : "m'accrocher a des brides de souvenirs" )
 
Mais je sais pas si j'en ai dis assez et si c'est correct

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 15:19:42    

C'est bon ce que j'ai mis ci dessus ?

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 15:36:20    

stef755 a écrit :

J'ai dis qu'elle insistait sur les souvenirs, elle explique qu"il est difficile de se souvenir (cf : "m'accrocher a des brides de souvenirs" )
 
Mais je sais pas si j'en ai dis assez et si c'est correct


 
Je ne pense pas que ça soit sur ce point particulier qu'on veuille orienter ta reflexion. C'est une oeuvre autobiographique, donc que l'auteur fasse appel aux souvenirs est un peu logique, c'est un peu superficiel comme analyse. Maintenant, je ne sais pas quel niveau d'analyse on te demande.
 
Edit : orthographe


Message édité par OriGiNaL_MaSsE le 26-03-2006 à 15:37:22
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Marsh Posté le 26-03-2006 à 15:51:10    

Vous n'avez pas votre avis a me donner au niveau de la question ?
Car je ne vois vraiment pas et je dois le rendre demain :s  
merci

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Marsh Posté le 26-03-2006 à 16:39:38    

stef755 a écrit :

Vous n'avez pas votre avis a me donner au niveau de la question ?
Car je ne vois vraiment pas et je dois le rendre demain :s  
merci


 
Ben comme le disait quelqu'un un peu plus haut, l'auteur semble se détacher de sa personne afin d'avoir une vision plus objective de sa propre existence. Il adpote un style narratif, comme pour un roman ce qui est plutôt surprenant dans une autobiographie. Ce point la semble interessant a creuser.

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