Débouchés des écoles de commerce: réalité ou illusion - Etudes / Orientation - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 03-09-2006 à 08:23:27
Les eleves des ecoles de commerce, comme d'i,genieur, trouvent facilement du travail moyennant quelques conditions qui explique que quelqus uns restent sur le carreau dont l'auteur du livre cité.
En effet, il faut un minimum de motivation, serieux, bonne tenue, etc.. Si on s'amuse a faire de la provoc, porter des dreadlocks, faire les 35 heures etc.. c'est autre chose et le resultat negatif n'est pas a imputer a l'ecole.
Marsh Posté le 03-09-2006 à 08:40:18
De pus la filde l'ESC Nantes qui a écrit le Livre est une personne qui a été souvent refusé du à sa personnalité et non l'école.... Si t'es associal, non chalan ou bien rêveur "Moi le seul poste que j'occupe c'est PDG!" bref tu comprend pourquoi elle est refusée....
Marsh Posté le 03-09-2006 à 08:53:29
A mon avis (sans lancer de troll) il existe une grande différence entre les écoles d'ingé et de commerce. Et la il faut se méfier.
Comme il y a beaucoup moins d'écoles de commerce si tu sors de la 35e école d'ingé tu trouves quand meme un bon boulot bien payé mais je ne suis pas sur que ca soit identique pour la 35e école de commerce.
Marsh Posté le 03-09-2006 à 11:19:35
greg95 a écrit : A mon avis (sans lancer de troll) il existe une grande différence entre les écoles d'ingé et de commerce. Et la il faut se méfier. |
+1..
et la GRANDE différence entre ingé et commencial, c'est que pour les épiciers t'as des classements d'école "plutôt" (je dis bien plutôt pour relativiser mes propos) homogènes contrairement à ceux des écoles d'ingé qui sont par définition quelque part absurde (comparer ENSTA et SUPELEC par exemple alors que bon pour la finance ça reste de la finance même si y'a quelques sous catégories...)
Marsh Posté le 04-09-2006 à 21:24:29
et puis chose aussi que parfois on oublie c'est que un ingénieur peut compléter sa formation avec en école de commerce ce qui n'est pas réciproque à cause de la physique qu'on ne traite pas en EC ou prépa HEC
Marsh Posté le 04-09-2006 à 21:47:12
Bonjour,
Je suis alle sur le site de Generation Precaire qui parle des stagiaires. J'y ai remarque un grand nombre d'etudiants d'ecoles de commerce qui semblent avoir du mal a trouver du boulot. Quelqu'un a-t-il une explication? Est ce juste moi qui me fait des idees?
Marsh Posté le 04-09-2006 à 22:19:07
plus que le fait de sortir d'une ecole d'inge ou de commerce c'est la qualité de l'individu qui fait la difference
Marsh Posté le 04-09-2006 à 22:22:42
Mehdi1729 a écrit : plus que le fait de sortir d'une ecole d'inge ou de commerce c'est la qualité de l'individu qui fait la difference |
Marsh Posté le 04-09-2006 à 22:23:47
Mehdi1729 a écrit : plus que le fait de sortir d'une ecole d'inge ou de commerce c'est la qualité de l'individu qui fait la difference |
+1
bien sur il y aussi une grosse part de chance ... mais je pense qu'un mec qui sort d'une école moyenne avec des stages bétons dans un secteur qui embauche, il arrivera toujours à se placer. Alors que le gugusse qui butine un peu de partout et qui fait surtout du café pendant ses stages ou qui est depressif/schizoïde/voir pire il va galerer.
Marsh Posté le 05-09-2006 à 11:41:10
gui901 a écrit : Bonjour, |
Nimporte qui peut creer une association ou un site web ou ecrire un bouquin pour dire des conneries. Derriere celle que tu cites, il y a tres certainent des militants politiques virulents.
Evidemment, il y a une difference entre sortir de HEC et de ESC Pau.
Quand on sort d'une ecole moyenne, la coherence du parcourt est essentielle, logique dans le choix des stages. De plus, compétences linguistiques, qualité du contact relationnel
etc sont des bonus bien utiles.
Certains ne trouvent pas de boulot parcequ'ils refusent de travailler a Paris, ou loin de chez eux ou de subir une pression hierarchique etc.. Mais normalement un eleve d'une ecole de commerce, post prepa ou post bac, trouve du boulot avant la fin de son stage de fin d'etudes.
Marsh Posté le 05-09-2006 à 13:14:28
Sur génération précaire c'est vrai qu'il y a toute sorte de diplômés mais quand même ce qui revient le plus souvent c'est: marketing, communication, luxe, édition, pub...
Sophie Talneau pour info a fait option marketing/comm (secteur sinistré à l'heure actuelle). Au début elle était dans une boite d'où elle a démissionnné parcequ'elle ne supportait pas l'ambiance et ensuite on lui a proposé un boulot dans la grande distribution qu'elle a refusé parcequ'elle avait peur d'être trop solicitée (infos tirées d'une interview dans courrier cadres ou je sais plus quel autre magazine dans le même genre) pas étonnant qu'elle soit au chômage.
L'école de commerce n'est pas une fin en soit, il faut faire attention à la spécialité que l'on prend et les stages. Très honnêtement se taper 2 ans de prépa, en suer pour intégrer une bonne école et aller se mettre dans des secteurs bouchés je trouve ça dommage... Je me rappelle qu'un mec de l'esc grenoble (qui faisait finance) m'avait dit ceci: "mieux vaut sortir de l'esc Amiens et faire du contrôle de gestion que de l'Edhec et faire du marketing ou du luxe" c'est peut être une peut caricatural mais ça a un fond de vérité.
Marsh Posté le 05-09-2006 à 13:28:56
ReplyMarsh Posté le 05-09-2006 à 14:15:41
dragonash1 a écrit : parce qu'on peut pas faire du contrôle de gestion en sortant de l'EDHEC? |
Mais bien sur que si, c'est pas ce que je voulais dire... Si tu fais spé marketing à l'Edhec et que des stages en marketing ce qui est logique vu ta formation, tu risques de galérer plus qu'un mec qui a fait contrôle de gestion à l'esc Amiens avec des stages corrects dans ce domaine, tout simplement parcequ'il y a pas de boulot en marketing et qu'il y en a en contrôle de gestion.
Par contre si tu fais contrôle de gestion à l'Edhec par rapport à celui qui fait contrôle de gestion à l'esc Amiens c'est sur que dans ce cas là y aura pas photo, celui de l'Edhec a à priori plus de chance de trouver un poste plus intéressant et mieux payé.
Marsh Posté le 03-11-2006 à 21:50:26
dragonash1 a écrit : parce qu'on peut pas faire du contrôle de gestion en sortant de l'EDHEC? |
Mais bien sur que si !
Pourquoi ne pourrais-t-on pas le faire ??? Je suis la preuve vivante qu'on peut le faire
Citation : Je me rappelle qu'un mec de l'esc grenoble (qui faisait finance) m'avait dit ceci: "mieux vaut sortir de l'esc Amiens et faire du contrôle de gestion que de l'Edhec et faire du marketing ou du luxe" c'est peut être une peut caricatural mais ça a un fond de vérité. |
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Phrase qui ne veut strictement rien dire...
Marsh Posté le 04-11-2006 à 02:20:40
Je suis plus un jeune diplômé (promo 2002 d'une ESC située dans les 20 premières, chapitrée et conférencée ) mais bon
Diplôme ESC, c'est trés trés bien, ça donne assez bien sur un CV
Néanmoins, c'est loin d'être l'emploi assuré à la clé, faut pas se leurrer.
Nous ne sommes plus à l'époque où le nombre d'écoles était trés limité, où les promos étaient réduites ... sans compter que la concurrence des ingés est trés présente depuis quelques années puisque ces derniers sont capables de s'adapter aux postes visés par les diplomés ESC, les cursus ingés ayant de plus en plus de modules management et Mkg.
Autre aspect que j'ai pu observer : le fait que plus qu'ailleurs l'origine sociale joue dans l'accès aux stages ou l'apprentissage (c'est bien simple, dans l'ESC dont je suis issu, les seuls qui l'ont suivis sont ceux qui pouvaient se trouver une boite qui acceptait de payer la moitié des frais de scolarité pour l'année et demi d'apprentissage - soit environ 45000 FF/2 - autant dire que les fils à papa ont plus de propensions à décroché un contrat d'apprentissage qu'un autre detenant un portefeuille de connaissances moins épais .... dommage pour un systeme qui au premier abord était destiné aux étudiants ESC les plus modestes) ; et ce phénomène se retrouve également dans l'accès au premier emploi.
Oui la personnalité du diplomé est importante, oui le fait que l'école soit bien classée joue moins qu'avant ... mais tout de même, le relationnel et le carnet d'adresse des parents apporte un plus énorme quand on a ce type de diplome ... rien de choquant en soi, mais il faut l'intégrer.
Pour prendre mon XP personnelle, je dirais que j'ai a moitié réussi
En même temps, j'ai mal choisi ma dominante en 3ème année (j'avait opté pour le management des orgas sans trop me demander si yavait du boulot à la clé ... j'aurais du prendre la dominante audit ; mais j'aurait fait un boulot qui ne m'aurait pas interessé donc no regret)
Une chose qui, venant d'une classe prépa m'a particulièrement surpris : le fait que pendant les 3 ans au cours desquels j'ai suivi le cursus ESC, je me suis ennuyé, n'apprenant pas grandchose comparé aux deux années de classe préparatoire (venant d'une prépa voie technologique, la gestion-compta, le droit, j'en avait énormément eu des heures) .... je serais assez interessé par le retour d'XP d'autres diplomés ESC sur ce point.
LE point positif c'est que dans ce type de cursus permet de bien appréhender le monde de l'entreprise, bien plus que tout autre cursus (et dans mon boulot, dans la fonction publique d'Etat - comme quoi des diplomés ESC on en trouve partout :smiley à noreilles d'ane: - bah ça m'est extrêmement utile).
Voila mon XP d'une ESC ; je ne prétend pas que l'école dont je suis issu représente la norme (même si par plusieurs contacts j'ai pu constater que de nombreux points que j'ai cité plus hauts se retrouvent entre divers écoles), je ne fais que relater ce que j'ai pu rencontrer/vivre durant ces 3 années
Marsh Posté le 04-11-2006 à 07:47:34
grrrrrrrrlefelin a écrit : sans compter que la concurrence des ingés est trés présente depuis quelques années puisque ces derniers sont capables de s'adapter aux postes visés par les diplomés ESC, les cursus ingés ayant de plus en plus de modules management et Mkg. |
Cela serait bien de dire aux formations en question de balayer devant leur porte ...
Car tout le monde avec une formation technique n'a pas forcément envie non plus de basculer vers le commercial.
Après on s'étonne du trollesque "Ingénieur: la grande désillusion ?".
Marsh Posté le 04-11-2006 à 09:59:29
En France le diplôme d'ingénieur est le plus convoité des diplômes mais d'un autre côté c'est aussi un des diplômes les plus disparates. Exemple lorsque tu dis que tu as fait un dut on ne te demande pas où tu l'as fait (ce qui sous entend que le diplôme est assez homogène partout en fance, il n'y a pas de "mauvais" dut) de même pour les iup et les masters par contre lorsque tu dis que tu es ingé alors là on va te demander dans quelle école tu l'as préparé et c'est en fonction de celle-ci que tu auras plus ou moins de reconnaissance donc ça se comprend que certain se pose la question : "Ingénieur: la grande désillusion ?"
Marsh Posté le 04-11-2006 à 11:21:34
"Débouchés des écoles de commerce: réalité ou illusion "
Je répond illusion ( illusion bien entretenu par les entreprises francaise nottement )
Marsh Posté le 04-11-2006 à 11:25:11
berserendo a écrit : "Débouchés des écoles de commerce: réalité ou illusion " |
Moi je dirai plutôt par les écoles de commerce...
Marsh Posté le 04-11-2006 à 11:42:26
grrrrrrrrlefelin a écrit : Une chose qui, venant d'une classe prépa m'a particulièrement surpris : le fait que pendant les 3 ans au cours desquels j'ai suivi le cursus ESC, je me suis ennuyé, n'apprenant pas grandchose comparé aux deux années de classe préparatoire (venant d'une prépa voie technologique, la gestion-compta, le droit, j'en avait énormément eu des heures) .... je serais assez interessé par le retour d'XP d'autres diplomés ESC sur ce point. |
J'estime avoir beaucoup appris au cours de mon cursus en Ecole de commerce. Je précise que j'ai fait prépa HEC voie Eco. LE fait que l'enseognement soit enormement tourné vers l'entreprise (au contraire de ce qui peut se faire en fac j'ai l'impression) y est pour beaucoup.
Par contre, si j'ai appris pas mal de choses, j'ai encore plus appris via les stages en entreprise qui approte bien plus encore en terme de connaissances...
Marsh Posté le 04-11-2006 à 11:51:17
les ingénieux ont l'avantage d'avoir en général une compétence technique qu'ils peuvent vendre en entreprise, ce qui est rarement le cas des commerciaux. Par-contre ils ont le désavantage de leur spécialisation sectorielle, ce qui est gênant quand leur secteur boit la tasse. J'ai un copain qui a été diplômé de Télécom' Paris en plein pendant la crise et il a galéré pour trouvé du boulot. Comparativement un pote à moi a été diplômé de l'EM Lyon (prestige à peu près similaire) la même année et qui a trouvé assez facilement, même s'il n'a pas eu le poste qu'il souhaitait.
Ensuite, les écoles de commerce étant privées, le public a contrecarré en lançant de plus en plus de formations à l'université pour les concurrencer. La gestion est une discipline assez jeune à l'université, dans les années 70/80, il fallait impérativement faire une école de commerce pour être cadre. Et c'était le bon vieux temps où les ingénieurs ne marchaient pas sur nos plates-bandes et faisaient vraiment ingénieurs.
Maintenant de plus en plus d'ingé font un cursus gestion, travaillent dans l'audit ou en finance de marché, voire même dans le marketing de produits indus ou dans les achats, le technico-commercial etc. Il y a des bac+5 en gestion dans chaque fac, et n'en déplaise aux écoles de commerce, un master d'une bonne fac est tout à fait compétitif par rapport à une école de commerce, même bonne.
Il y a aussi le fait que beaucoup d'écoles à deux balles se sont ouvertes au cours des vingt dernières années, dégradant l'image de ce type de cursus.
Donc faire une école de commerce n'est plus du tout le bon plan assuré que ça pouvait être. Et les frais d'inscription ont connu une certaine inflation je crois.
Marsh Posté le 04-11-2006 à 11:54:46
En finance de marché, les ingé sont très recherchés c'est un fait.
Marsh Posté le 04-11-2006 à 12:30:49
Rico354 a écrit : Moi je dirai plutôt par les écoles de commerce... |
Bof
Actuelemtn, les entreprises francaise croient bon de ne plus investir assez dans le technique et de tout investir dans un "directionnel"
Marsh Posté le 04-11-2006 à 13:08:48
berserendo a écrit : Bof |
Chez tartine et chocolat & co peut-être mais pas dans les boîtes techniques...
Marsh Posté le 05-11-2006 à 10:36:15
Rico354 a écrit : En France le diplôme d'ingénieur est le plus convoité des diplômes mais d'un autre côté c'est aussi un des diplômes les plus disparates. Exemple lorsque tu dis que tu as fait un dut on ne te demande pas où tu l'as fait (ce qui sous entend que le diplôme est assez homogène partout en fance, il n'y a pas de "mauvais" dut) de même pour les iup et les masters par contre lorsque tu dis que tu es ingé alors là on va te demander dans quelle école tu l'as préparé et c'est en fonction de celle-ci que tu auras plus ou moins de reconnaissance donc ça se comprend que certain se pose la question : "Ingénieur: la grande désillusion ?" |
Néanmoins sur de nombreux secteurs, en particulier banque/finance, une école d'ingé = une des 3 parisiennes...
Marsh Posté le 05-11-2006 à 19:47:11
Rico354 a écrit : En France le diplôme d'ingénieur est le plus convoité des diplômes mais d'un autre côté c'est aussi un des diplômes les plus disparates. Exemple lorsque tu dis que tu as fait un dut on ne te demande pas où tu l'as fait (ce qui sous entend que le diplôme est assez homogène partout en fance, il n'y a pas de "mauvais" dut) de même pour les iup et les masters par contre lorsque tu dis que tu es ingé alors là on va te demander dans quelle école tu l'as préparé et c'est en fonction de celle-ci que tu auras plus ou moins de reconnaissance donc ça se comprend que certain se pose la question : "Ingénieur: la grande désillusion ?" |
C'est plus ou moins la même chose en école de commerce, le diplome est convoité mais très "disparate" (pour utiliser ton expression), le titre la grande désillusion ne me semble pas s'appliquer aux meilleurs écoles de commerce ou il faut vraiment en tenire une couche pour ne pas trouver un emploi à la sortie de l'école (cf des connaissances sorties de l'edhec allant aux entretiens d'embauche en dread locks...).
Pour Hec Essec Escp... je ne pense pas qu'il y ait un véritable problème de chomage de masse (au pire il restera toujours londres)
Marsh Posté le 05-11-2006 à 19:51:22
Jamian a écrit : Néanmoins sur de nombreux secteurs, en particulier banque/finance, une école d'ingé = une des 3 parisiennes... |
Enfin tout depend de l ecole d inge, mais il est vrai que pour les metiers de banques et de conseil, dans les annonces de stages y a ecrit 3 parisiennes pour inge groupe A
Edit: je rajoute Ensimag et Ensae mais j irai pas plus loin. Je parle en sortant de l ecole pas aprse x annees d xp. Bien je ne compte pas les 10% qui viennent d ailleur.
Pour bain: Jeunes diplômés de grandes écoles et en particulier pour les écoles de commerce : HEC, ESCP-EAP et Essec et pour les écoles d'ingénieurs : Polytechnique, Centrale Paris, Mines de Paris, Ponts et Chaussées et Supélec.
Marsh Posté le 05-11-2006 à 20:56:18
brittanywow a écrit : Enfin tout depend de l ecole d inge, mais il est vrai que pour les metiers de banques et de conseil, dans les annonces de stages y a ecrit 3 parisiennes pour inge groupe A |
Groupe A ou bonnes ENSI...
Marsh Posté le 02-09-2006 à 18:48:22
Un message est intitulé "Ingénieur: la grande désillusion ?"
En ce qui concerne les écoles de commerce, il y a de nombreux messages
concernant le choix: post bac ou prépa, la réputation de l'école, (mon
école est plus cotée que le tienne), les différents concours, les villes
(logement, agrément etc.) , la poursuite des études etc.
Paradoxalement il y a peu d'informations sur l'aboutissement qui est quand même
de trouver un emploi. Il serait intéressant que les jeunes diplômés nous
informe de leur expérience:
- En combien de temps avez vous trouvé un emploi?
- Nature de cet emploi :cdd, cdi, spécialité, type de société,niveau de salaire etc.
- Recrutement: à quoi attribuez vous votre recrutement, réputation de votre
école, votre spécialité, vos stages, séjours à l'étranger,vos qualités personnelles ou la qualité de vos relations ?
- Le livre "on vous rappellera" de Sophie Talneau ( Esc Nantes) est -il toujours d'actualité ?
Ces informations pourraient être utiles aux étudiants à l'heure du choix et aux familles qui hésitent à financer des études onéreuses.