Bonjour tout le monde,
 
 
Je vous présente mon probleme. Je viens de finir mes études d'ingénieur mais mon domaine n'est pas vraiment l'informatique : matériau et nanotechnologies. Je suis pourtant passionné par l'informatique depuis que j'ai 10ans et, malgré mon amour pour la physique, je pense revenir à ma passion originel pour mon futur travail. J'ai un certain nombre de connaissances que ce soit du coté matériel ou logiciel. J'ai un ami ingénieur en informatique a qui j'apprends encore des choses(pas en programmation par contre) et je sers très souvent de SAV dans mon entourage.
 
J'ai appris quelques langages de façon autodidacte dont le C/C++, le C# et en ce moment je me met au php/sql.
 
J'aimerais avoir votre avis quand à mes chances à des postes développeurs sachant que je suis extrêmement motivé pour travailler dans l'informatique et que j'apprends (très) vite. Je ne dis pas cette dernière remarque pour me vanter mais parce que j'ai déjà étonné dans mes travaux d'été (les remarques du genres : "au début tu me faisais peur, tu ne prenais pas de notes... mais en fait y'a eu aucun soucis" ).
Je pensais mettre en place un site internet pour montrer mes compétences en php/sql. Au début j'imaginai un projet du genre de MountyHall : jeu avec DLA, en nettement plus simple puisque je n'ai que 4 mois et que je suis en stage.. Mais je ne sais pas si un projet de jeu serais un très bon exemple de sérieux (malheureusement).
 
 
Je pense, en cas d'échec, à faire un master Compétences Complémentaires en Informatique, notamment celui-ci : http://desscci.univ-tours.fr/mambo/index.php
 
Est-ce une bonne idée?
 
Je vous remercie pour votre aide.

Salut,
 
je ne sais pas si la situation a changé avec la crise, mais les SSII embauchent très facilement des non informaticiens pour travailler comme développeurs; il suffit de laisser ton CV sur Monster.
Je suppose que tu sais ce que tu veux, mais tu as discuté avec des développeurs pour être sur que c'est ça que tu veux faire ?

la situation a effectivement changé depuis la crise
les JD ont dù mal
alors les JD non informaticiens......
 
courage

Même avant la crise de toute facon. C'était vrai en l'an 2000 les gens sans diplome info qui trouvaient des jobs en info... bref, ça date d'il y a 8 ou 9 ans. Maintenant, non, c'est plus vrai.

Merci pour vos réponses
 
 
Je pose ma question parce que d'après un ancien sorti l'année dernière (donc en plein dans la crise) de la même formation que moi une partie des élèves ont trouvé du boulot en informatique.
 
Est-ce qu'il y a d'autres avis? positifs ou négatifs?

Ben contacte l'ancien en question, demande- lui les noms des gens en question, et tu seras fixé... Maintenant franchement j'y crois pas du tout.

Un conseil, garde l'informatique comme passion pour faire tes sites et tes projets persos à la maison. L'informatique, c'est de la merde, et une fois que tu y as bossé quelques années, impossible de s'en sortir.  
En plus tu n'as pas vraiment de competences dans le domaine, c'est pas parce que tu depannes le pc des potes, que tu montes un wifi ou que tu programmes une base de donnée de pinard que tu vaut quelque chose en tant "qu'ingenieur" informaticien.
T'as une formation et des competences rares sur un domaine d'avenir, utilise les au lieu de te diriger vers le boulot d'informaticien qui est à 80 % du temps :
- gerer le reseau et les boites mails d'une société  
- programmer un bouzin de gestion/compta/reporting vendu en 2 mois alors qu'il en faudrait 6 pour faire les choses proprement.
 
Tu me remercieras dans quelques années

 
je ne sais pas ce que ça donne avec la crise, mais ma SSII en France continuait à embaucher des non informaticiens pour faire du code en 2007-2008.

Visiblement les choses n'ont pas encore changé car j'ai déjà eu un entretien d'embauche ce matin. Peut-être un coup de chance...
 
yopyopyop : mon domaine de formation est peut-être d'"avenir", mais les emplois ne s'en ressentent pas du tout. peu voir aucun de la promo précédente n'a trouvé de travail hors thèse...
Tu as peut-être été déçu par ce travail mais j'ai eu d'autre échos nettement plus positifs.