Conseil ecriture

Conseil ecriture - Arts & Lecture - Discussions

Marsh Posté le 15-01-2010 à 16:47:41    

Bonjour!
 
J'ai récemment entrepris l'écriture d'une histoire, et je me heurte à un premier problème, apparemment récurent chez les débutants en écriture : le temps.
 
Pour le moment je fais un mélange d'imparfait et de passé simple, tout cela conjugué à la première personne du singulier. Le problème est que mon personnage principal raconte son histoire et raconte dans cette histoire une histoire encore plus ancienne.  
 
Vous ne comprenez pas?
 
Évènement 1 passé (passé simple/imparfait) -> raconte Évènement 2 encore plus ancien (toujours passé simple/imparfait). Comment faire la différence au niveau conjugaison pour faire ressentir au lecteur que l'Évènement 2 est encore plus vieux que le 1? J'ai essayer de raconté l'Évènement 1 au présent, mais c'est un exercice vraiment trop difficile.
 
Si c'est confus, je peux essayer d'approfondir un peu plus !
 
merci pour votre aide  :jap:

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Marsh Posté le 15-01-2010 à 16:47:41   

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Marsh Posté le 16-01-2010 à 11:00:30    

Je n'ai rien compris :)
Tu devrais donner un exemple.


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Marsh Posté le 18-01-2010 à 10:32:40    

Bon je vais essayer de donner un exemple, mais ce n'est pas évident  :sweat:  
Voila un passage de mon histoire (raccourci)
 
L’air était devenu excessivement chaud, surtout en cette période de l’année où il n’était pas rare de voir les températures devenirs négatives. Les énormes réacteurs de l’engin continuaient de brûler des tonnes de carburant, laissant un dernier souvenir amer à la planète. Tandis que le vaisseau poursuivait son ascension, j’essayai de m’imaginer comment la vie pouvait être dans une telle structure. Elle avait été pensée de manière à reproduire les contraintes imposées par la Terre que sont le climats, la pression atmosphérique et une tonne d’autres paramètres scientifiques. Tout ceci afin de ne pas perturber ses occupants durant ce très long voyage[...].
 
 Je m’étais rapidement faite à l’idée que je ne partirais jamais avec cette expédition. Durant l’année qui s’en suit, marqué par la révolte de la population, je m’étais caché afin d’échapper à la guérilla urbaine. Beaucoup de grandes villes étaient tombées en ruine, les planques ne manquaient pas. Se reposant sur l’ultime espoir de son programme spatial, le consortium avait définitivement abandonné le peuple, préférant se retirer de la scène le temps de pouvoir s’échapper. C’était ainsi que la nature fonctionnait[...].

 
Le paragraphe 2 est antérieur d'une année par rapport au paragraphe 1. Pourtant à chaque fois que je relis j'ai du mal à situer dans le temps l'une et l'autre situation. J'arrive pas à renforcer cette différence. Au départ j'avais penser écrire le §1 au présent mais c'est vraiment trop difficile.
 
Voila, j'espère que c'est un peu plus clair.

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:27:38    

La concordance des temps est globalement bonne dans tes phrases. Inconsciemment tu as utilisé le plus-que-parfait, qui sert justement à décrire des faits se déroulant avant le récit, et qui est construit avec l'auxiliaire être ou avoir à l'imparfait, suivi d'un participe passé.

 

Par exemple, le "je m'étais caché", dans la deuxième phrase de ton second paragraphe, est le plus que parfait du verbe "(se) cacher". L'imparfait du verbe est "je me cachais", tandis que son passé simple est "je me cachai".

 

Par contre si le premier paragraphe doit etre antérieur au second, alors il faut mettre le premier au plus-que-parfait, et le second à l'imparfait. Dans tous les cas, dans le second paragraphe, il vaudrait mieux dire "qui s'ensuivit", au passé simple (du moins si tu comptes mettre le second paragraphe au passé simple et à l'imparfait) et en un seul bloc, voire, ce que je trouve pour ma part plus simple et élégant, "qui suivit" ; je crois qu'il n'est pas nécessaire d'employer le verbe "s'ensuivre" avec le nom "année".

 

Un conseil, achète un dictionnaire solide (le Littré), un dictionnaire des synonymes et de rimes (même Victor Hugo en utilisait un, il n'y a vraiment aucune honte à cela, et meme quand on fait de la prose, il faut faire attention aux sonorités des mots qu'on emploie), le Traité de la ponctuation de Jacques Drillon, et surtout, pour 3€, le Bescherelle de poche de la conjugaison. Je te conseillerais bien une grammaire, mais j'en ai une, La Grammaire méthodique du français, que je ne lis jamais. Je vais être franc : le style n'est pas une chose totalement innée, et il est nécessaire de bien connaître les règles si on veut les transgresser, et de lire énormément car c'est au contact des grands qu'on progresse. Quand tu as fini un paragraphe, lis-le à voix haute : tu remarqueras tout de suite si quelque chose ne va pas. Flaubert avait une chambre qu'il appelait le "gueuloir" dans laquelle il pouvait lire à voix haute ses textes.

 

[edit] Pour le verbe s'ensuivre : effectivement, il ne s'emploie qu'à la troisième personne du singulier ou du pluriel, sous la forme "il s'ensuivit...", pour décrire la conséquence ou la suite d'un événement. Par exemple : "Après cette expédition, il s'ensuivit une année marquée par la révolte, durant laquelle je me cachais pour échapper à la guerilla urbaine."


Message édité par bronislas le 18-01-2010 à 13:36:20

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:35:37    

Lilska a écrit :

Bon je vais essayer de donner un exemple, mais ce n'est pas évident  :sweat:  
Voila un passage de mon histoire (raccourci)
 
L’air était devenu excessivement chaud, surtout en cette période de l’année où il n’était pas rare de voir les températures devenirs négatives. Les énormes réacteurs de l’engin continuaient de brûler des tonnes de carburant, laissant un dernier souvenir amer à la planète. Tandis que le vaisseau poursuivait son ascension, j’essayai de m’imaginer comment la vie pouvait être dans une telle structure. Elle avait été pensée de manière à reproduire les contraintes imposées par la Terre que sont le climats, la pression atmosphérique et une tonne d’autres paramètres scientifiques. Tout ceci afin de ne pas perturber ses occupants durant ce très long voyage[...].
 
 Je m’étais rapidement faite à l’idée que je ne partirais jamais avec cette expédition. Durant l’année qui s’en suivit: concordance des temps, marquée par la révolte de la population, je m’étais cachée afin d’échapper à la guérilla urbaine. Beaucoup de grandes villes étaient tombées en ruine, les planques ne manquaient pas. Se reposant sur l’ultime espoir de son programme spatial, le consortium avait définitivement abandonné le peuple, préférant se retirer de la scène le temps de pouvoir s’échapper. C’était ainsi que la nature fonctionnait[...].

 
Le paragraphe 2 est antérieur d'une année par rapport au paragraphe 1. Pourtant à chaque fois que je relis j'ai du mal à situer dans le temps l'une et l'autre situation. J'arrive pas à renforcer cette différence. Au départ j'avais penser écrire le §1 au présent mais c'est vraiment trop difficile.
 
Voila, j'espère que c'est un peu plus clair.


 
L'emploi du temps est effectivement une gageure lorsque l'on tente de raconter une histoire. Le seul souci est qu'à moins de ne pas avoir compris à mon tour, je ne vois pas comment sans dater les événements, on peut classer ceux-ci. Il manque des mots, adverbes.....
Nous sommes en l'an 2000 bidule, truc...Ou alors; le capitaine du vaisseau..Il me fait penser à de tristes évènements qui se sont déroulés ou qui se déroulèrent il y a longtemps...
Tu vois bien ici que ce n'est pas véritablement l'emploi de tels ou tel temps (passé composé, passé simple..) qui va permettre de hiérarchiser les actions. Quand je dis dater, ce n'est évidemment pas nécessairement une date au sens classique: c'est bien des termes qui vont permettre au lecteur de se situer dans le temps: il y a longtemps, auparavant, précédemment..
J'ai du mal à déterminer comment sur tes 2 paragraphes, on peut classer les actions dans le temps...

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:41:35    

le temps est relatif, c'est l'espace temps

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:43:28    

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:45:19    

il faut donc pas se soucier du temps, cest relatif par rapport a ta position, ta vitesse.
 
rien a voir avec lecriture,il suffit juste de bien faire attention a son posiniotionenlement

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:50:00    

Je doute que ça l'aide grandement.

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:52:40    

lerugbymandu14 a écrit :

il suffit juste de bien faire attention a son posiniotionenlement


Il est vrai que, maintenant que tu me le dis, je n'y avais jamais fait attention auparavant.  


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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:52:40   

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 13:59:58    

Comme quoi, j'aurais du écouter mon prof de français au collège, ça m'aurait éviter d'utiliser le plus-que-parfait inconsciemment.
 
Merci à vous pour vos conseils. J'aime pas vraiment dater les évènements, mais je pense qu'arriver à un moment, on a plus le choix !

Message cité 1 fois
Message édité par Lilska le 18-01-2010 à 14:08:52
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Marsh Posté le 18-01-2010 à 14:01:14    

Histoire de ne pas faire partir en sucette ce topic, recadrons les choses.Nous sommes d'accord sur le fait que le temps utilisé est important mais jouer uniquement sur l'emploi du plus-que-parfait, le passé simple, l'imparfait ne va pas forcément faciliter la lecture.

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 14:03:24    

Lilska a écrit :

Comme quoi, j'aurais du écouter mon prof de français au collège, ça m'aurait éviter d'utiliser le plus-que-parfait inconsciemment.
 
Merci à vous pour vos conseils. J'aime pas vraiment dater les évènements, mais je pense qu'arriver à un moment, on à plus le choix !


 
Encore une fois, tu peux choisir une formulation qui te convienne. Je comprends que si c'est juste pour écrire: "L'action se passe 3000 après notre ère...",ça puisse te rebuter.

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 14:09:59    

Il faut partir du principe que le plus-que-parfait se justifie en raison des indices de temps ; je n'ai jamais dit qu'il ne fallait jouer que sur ce seul paramètre. Une phrase qui commencera par "auparavant", "précédemment" sera conjuguée en conséquence. De toute façon, cela deviendra des automatismes à long terme ; quand on écrit, énormément de choses se font inconsciemment par la force de l'habitude. C'est pour cela que je conseille avant tout de lire énormément, et de se procurer les livres et dictionnaires qui permettront de ne plus reproduire une meme erreur indéfiniment.


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Marsh Posté le 18-01-2010 à 14:11:51    

Lilska a écrit :

Bon je vais essayer de donner un exemple, mais ce n'est pas évident  :sweat:  
Voila un passage de mon histoire (raccourci)
 
L’air était devenu excessivement chaud, surtout en cette période de l’année où il n’était pas rare de voir les températures devenirs négatives. Les énormes réacteurs de l’engin continuaient de brûler des tonnes de carburant, laissant un dernier souvenir amer à la planète. Tandis que le vaisseau poursuivait son ascension, j’essayai de m’imaginer comment la vie pouvait être dans une telle structure. Elle avait été pensée de manière à reproduire les contraintes imposées par la Terre que sont le climats, la pression atmosphérique et une tonne d’autres paramètres scientifiques. Tout ceci afin de ne pas perturber ses occupants durant ce très long voyage[...].
 
 Je m’étais rapidement faite à l’idée que je ne partirais jamais avec cette expédition. Durant l’année qui s’en suit, marqué par la révolte de la population, je m’étais caché afin d’échapper à la guérilla urbaine. Beaucoup de grandes villes étaient tombées en ruine, les planques ne manquaient pas. Se reposant sur l’ultime espoir de son programme spatial, le consortium avait définitivement abandonné le peuple, préférant se retirer de la scène le temps de pouvoir s’échapper. C’était ainsi que la nature fonctionnait[...].

 
Le paragraphe 2 est antérieur d'une année par rapport au paragraphe 1. Pourtant à chaque fois que je relis j'ai du mal à situer dans le temps l'une et l'autre situation. J'arrive pas à renforcer cette différence. Au départ j'avais penser écrire le §1 au présent mais c'est vraiment trop difficile.
 
Voila, j'espère que c'est un peu plus clair.

Faudrait faire une ligne du temps de ton histoire et tu trouveras facilement comment l'écrire après.
Il faudrait indiquer un ou plusieurs évènements majeurs du genre catastrophe naturelle ayant entièrement rasé un pays, avec ou sans rapport à la pollution. Une maladie qui décime les trois quarts de l'humanitié, la disparition brutale de nombreuses espèces de plantes, oiu bien des émeutes à travers le monde quand les gens découvrent la volonté de ce consortium de se tirer en douce, ou autre chose. Ces fait historique serviraient de points de repère pour la narration.  :p
Tu peux aussi utiliser du "je me rappelle" "je me revois il y a X années", etc  
 
Le vaisseau est sorti de l'atmosphère. Il prend de la vitesse. Les écrans montrent la Terre qui devient de plus en plus petite, l'atmosphères polluée masque le bleu des océans. Ceux restés là-bas ne sauront sans doute jamais que la terre vue de l'espace n'est plus une planète bleue, qu'elle est maintenant de couleur ocre.
Je repense à tout ça. A la nuit du Grand Pillage que je n'ai pas vécue, plongé dans un sommeil profond. Je n'ai alors rien entendu, rien vu de cette petite fin du monde.  
Dix ans déjà ont passé depuis cette nuit qui a sonné le glas du pouvoir des politiques. Toute  cette nuit là, la moitié du monde s'est soudainement rebellée, les magasins saccagés, les rares entrepôts ayant un stocks entièrement vidés. Les bâtiments des banques dévastés et brûlés, comme les bâtiments publics.
 Des endroits reculés comme cette petite ville où je me trouvais alors, ont été épargnés par cette insurrection inimaginable à cette échelle.  
A travers toute l'Europe les pillages se sont répétés, suivie le lendemain par l'Amérique puis quelques jours après par l'Asie. Je ne souviens n'avoir réalisé l'ampleur de ces émeutes que quelques heures après mon réveil, en me rendant compte que tout était vraiment désorganisé.  
Informations incohérentes sur les rares stations de radio qui émettaient encore et qui allaient bientôt cesser définitivement toute émission à l'exception de la radio du gouvernement, pas de journaux, pas de camions de livraison et peu de voitures dans les rues mais des attroupements un peu partout. Des gens excités qui disaient qu'on allait en montrer ce que c'est qu'une révolution, que c'en était fini du règne des financiers et des politiques véreux, qu'on allait prendre les choses en main pour mettre fin à tout ce gâchis et tout remettre en ordre.  
Plus de courant en dehors de quelques lieux disposant de groupes électrogènes. L'hôpital central avait le sien mais des gens disaient "Oui mais s'il n'y pas d'approvisionnement il va vite s'arrêter leur groupe électrogène". De fait, il a fonctionné quatre jours puis il n'a plus redémarré ensuite.  
Des émeutes à une telle échelle, partout en même temps c'était incroyable, totalement imprévisible. le consortium pris de court, a mis trois jours avant de réagir. En de nombreux endroits les forces de l'ordre avaient elles-même rejoints les pillards, blablabla....

 
 :o  :D


Message édité par power600 le 18-01-2010 à 14:55:22

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Tiens? Y a une signature, là.
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Marsh Posté le 18-01-2010 à 14:57:43    

Bon je vais donc essayer d'intégrer des notions de temps (par des mots, adverbes etc.) dans mon récit. Merci pour vos conseils (tu m'as bien inspiré power600  :D )
 
Sinon j'en profite pour vous poser une autre question. Pour l'instant j'en suis à l'écriture de ce qu'on pourrait appeler le prologue. La jeune femme raconte le passé par rapport au déroulement de l'histoire principale et je me rend compte que j'accorde énormément d'importance à ce prologue. Voir même plus qu'a la trame principale.  
 
Pour vous, doit-il être important? Pour cadrer le contexte? C'est très dépendant du type d'histoire aussi je pense non?

Reply

Marsh Posté le 18-01-2010 à 16:15:32    

Lilska a écrit :

Bon je vais donc essayer d'intégrer des notions de temps (par des mots, adverbes etc.) dans mon récit. Merci pour vos conseils (tu m'as bien inspiré power600  :D )
 
Sinon j'en profite pour vous poser une autre question. Pour l'instant j'en suis à l'écriture de ce qu'on pourrait appeler le prologue. La jeune femme raconte le passé par rapport au déroulement de l'histoire principale et je me rend compte que j'accorde énormément d'importance à ce prologue. Voir même plus qu'a la trame principale.  
 
Pour vous, doit-il être important? Pour cadrer le contexte? C'est très dépendant du type d'histoire aussi je pense non?


 
Il faudrait que tu précises ce que tu entends par là? Tu raisonnes en fonction du nombre de pages, des éléments que tu veux y mettre (intrigue...)...?
Il est difficile de se prononcer sans éléments précis dans ta question.Ce qui est sûr, quitte à sortir des banalités, ton prologue doit accrocher le lecteur sans tout dévoiler évidemment. Le mieux est comme dit dans ce topic de lire. Regarde d'autres livres et leurs prologues (dans une librairie ou une bibliothèque). Sans lire les livres entièrement (tu n'aurais de toute façon pas le temps), essaie de voir s'ils sont longs, courts (même si je pense qu'il n'y a pas de règles comme expliqué dans le topic sur le nombre de pages d'un chapitre) et essaie de lire rapidement les prologues et regarde ce qui d'après toi peut accrocher et donner envie d'aller plus loin.
Par ailleurs, bronislas, je ne cherchais nullement à te lancer une pique.
 

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Marsh Posté le 18-01-2010 à 17:06:24    

Ah mais il n'y a pas eu d'offense, je précisais juste ma pensée.  
Tu peux, au lieu de faire un prologue démesuré, faire la chose inverse : planter un décor dans le présent, et raconter l'histoire principale à-travers un des protagonistes. Les exemples dans l'histoire littéraire ne manquent pas.  
Comme Power600, je pense qu'il te faudrait partir sur une ligne chronologique forte, si tu ne veux pas perdre ton lecteur. Si on ne se fait pas une première idée de l'histoire qu'on écrit, on risque bien souvent de ne plus pouvoir raccrocher les wagons à la fin.


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