J'ai lu tes textes.  
Personnellement, j'écris moi aussi beaucoup de poèmes(je ne suis pas écrivain pour autant) et j'en ai lu bien plus encore mais là je ne vois pas vraiment l'intérêt de ce que tu écris. Mis à part les fautes d'orthographes et de grammaire qui tuent un poème (désolé je suis comme ça) tout est d'une platitude assez désarmante. Tu dis innover ? Si ça c'est le futur de la poèsie, j'arrête tout net. Certes beaucoup d'auteurs ont écris des proses novatrices qui ont fait avancer la littérature ( on peux d'ailleurs étendre ça à d'autres domaines) mais inconsciemment à mon humble avis. Je ne pense pas que des poètes novateur aient écris des textes uniquement dans le but "d'être celui qui lance le mouvement". Quand on écris quelquechose, c'est parfois pour être lu mais avant tout pour faire passer tes émotions et non faire transparaitre un narcissisme démesuré... Voilà !
 
Edit : Je veux juste défendre le "Je de maux" que je trouve particulièrement beau. Là il y a du sens et de la beauté au moins...

Pensez-vous comme lui que le spoètes n'onty pas cherché à innover et que c'ets venu comme ça? Ils ont fait des rimes, compté les syllabes, détruit des structures, bâti de nouvelles autres sans faire exprès. L'inconscient? Faut arrêter de croire que les poètes n'ont jamais, chacun pour sa part, cherché à innover.
Mallarmé et le symbolisme,Ponge et l'exactitude, Aragon, Breton et le surréalisme, ils ont tous cherché à innover.