questions sur emprunts immobilier - Société - Discussions
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:03:48
Demande si le taux est fixe ou variable, très important...
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:03:59
Peut-être un taux variable.
Je pense qu'il vaut mieux préférer un taux fixe.
EDIT : grilled
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:05:37
kler
Ne te laisse pas avoir par le taux seul.
Il te faut bien comprendre comment fonctionne un crédit immobilier avant de t'engager
taux fixe, variable, cap ou non
assurance
frais de dossier
modalité de variation des mensualités
etc
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:06:28
BurtonSnowboard a écrit : kler |
C'est un putain de merdier, hesites pas à te faire conseiller par quelqu'un qui s'y connait, parce qu'on se fait vite arnaquer ds ce genre de choses...
Et surtout, ne signes rien si t'es pas sur d'avoir tout compris
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:07:50
le taux fixe s'impose car le taux variable ne peut qu'aller à le hausse dans le temps (à mon avis)
ensuite c'est simple: consulter les banques sur un même capital emprunté, même durée de remboursement et comparer les mensualités financières pures (sans assurance et tout le toutim)évite de se faire baratiner sur les taux.
la question des assurances s'envisage en second lieu.
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:22:00
adresse tres instructive je trouve
http://www.meilleurtaux.com/savoir [...] lash.shtml
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:23:13
Alberich a écrit : le taux fixe s'impose car le taux variable ne peut qu'aller à le hausse dans le temps (à mon avis) |
Ce qui compte, c'est le coût total du crédit, à savoir :
cout des mensualités (dépend du taux)
+ assurance (indispensable et voir pour la sortir de la Banque. A prendre chez April)
+ frais de dossier
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:24:26
seb2001 a écrit : prend l'assurance tu seras gagnant en cas de problème |
Ca c'est sûr
T'as pas du faire bcp de crédit immo
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:26:27
BurtonSnowboard a écrit : |
ai je dit le contraire ? je donne les étapes à suivre et une méthode simple pour comparer les taux par le montant des mensualités financières pures.
maintenant... les taux... je sais les calculer
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:29:54
BurtonSnowboard a écrit : |
je me trompe !!
explique alors
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:32:28
seb2001 a écrit : |
UNE : l'assurance décès-invalidité-incapacité est OBLIGATOIRE. Tu peux slmt faire varier le pourcentage de couverture sur chaque tête.
DEUX : l'assurance chomage ne sert à rien. Elle est très chère et ses exclusions (délais de carence de 6 mois) font que tu ne peux quasiment jamais en bénéficier.
voili voila
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:32:40
BurtonSnowboard a écrit : |
on est d'accord
en plus l'assurance tu n'es pas obligé de la prendre à la banque qui te donne le crédit
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:33:26
Alberich a écrit : |
j'ai du le dire ça
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:37:17
ReplyMarsh Posté le 14-10-2003 à 18:29:32
ba depuis un mois j'arrete pas de me rensigner justement.
c vrai que j'avais pas pensé au taux variable, ca doit etre ca.
sinon l'autre banque m'offre l'hypotheque, frais de dossiers au min et parts sociales au maximum.
pour les parts sociales d'apres ce que j'ai compris, on se les fait rembourser apres avoir remboursé l'emprunt, avec un taux a 6%, donc autant les mettre aux max nan?
Marsh Posté le 15-10-2003 à 09:02:07
Qu'est ce que c'est que cette histoire de part sociale ? edit " a moins que ca soit la Casden ?"
Pour les frais d'hypothèque, deux possibilités : soit c'est un PPD (privilège de preteur de denier) auquel ca, c'est environ 2% m
re-edit : Tab de merde
mais tu récupères une partie de la somme à la revente et tu évites les frais de main levée.
Autre possiblité : le cautionnement, qui peut être proposé par la banque. C'est en général moins cher (mais pas forcement bcp) mais tu perds la somme.
QQues explications ici
http://lesechos.money.msn.fr/immobilier/immobilier/dossier/avant/2.htm
Avant d'acheter: la marche à suivre
Boucler son budget Par Martine Denoune
Que l'on achète un appartement ou une maison, du neuf ou de l'ancien, le financement doit suivre. Voici les grandes étapes à suivre pour boucler son budget dans les délais impartis et négocier un meilleur taux avec son banquier.
Acquérir un appartement ou une maison en réglant au comptant reste plutôt rare. Dans la pratique, une grande majorité des propriétaires a recours à un ou plusieurs emprunts pour accéder à la propriété. Dans ce domaine il existe des règles simples à respecter. Voici les conseils pour éviter éviter les pièges liés au financement.
54% des Français sont propriétaires de leur résidence principale.
83% des propriétaires de leur résidence principale ont contracté un ou plusieurs emprunts pour acheter.
44% des propriétaires emprunteurs demandent un prêt supérieur ou égal à la moitié du prix total de leur logement
Avant la recherche du bien : évaluer son budget
Première règle à respecter en matière de financement : anticiper!
Autrement dit, mieux vaut avoir une vision précise de son budget avant d'avoir trouvé son appartement ou sa maison.
Pour ce faire, Internet représente un très bon moyen de se constituer une base d'information complète. Il suffit de surfer sur notre site mesfinances.fr pour trouver de nombreuses informations :
- sur les taux pratiqués par les établissements bancaires;
- sur les possibilités financières réelles : pouvoir calculer rapidement sa capacité d'endettement, le montant total que l'on peut emprunter…grâce aux calculettes financières.
Taux fixe ou taux variable ?
Pour trouver le financement le mieux adapté à sa situation, il faut également choisir entre un prêt à taux fixe ou à taux variable.
Dans un prêt à taux fixe, le taux est déterminé dans le contrat de prêt, mais les mensualités de remboursement ne sont pas forcément identiques pendant toute la durée du remboursement. En effet, les mensualités de remboursement peuvent être :
- constantes pendant toute la durée du prêt ;
- modulables : le contrat prévoit que la mensualité peut évoluer, à l'initiative de l'emprunteur, selon sa capacité de remboursement. Ainsi par exemple à la suite d'une augmentation de revenu ou du remboursement total d'un prêt d'épargne logement.
Dans un prêt à taux variable, le taux peut évoluer à la hausse ou à la baisse, en fonction d'un indice inscrit dans le contrat de plan.
Lorsqu'un plafond ou un plancher peut éventuellement limiter les possibilités de variations du taux, on parle de prêts " capés " qui présentent un risque moindre pour l'emprunteur.
L'évolution future du taux peut modifier le montant de la mensualité ou la durée de remboursement, ou les deux à la fois.
Attention : il ne faut pas se fier au taux de la première période, qui est souvent un taux d'appel.
Une seule référence : le taux effectif global
Pour effectuer des comparaisons, le futur acquéreur a intérêt à utiliser le taux effectif global (TEG), qui le renseigne sur le coût global du crédit pour faire le choix entre les différentes offres de prêt. Plus précisément, le TEG englobe :
- les frais d'ouverture et d'instruction du dossier.
- les frais d'assurance exigée (décès, incapacité de travail) et facultative (perte d'emploi
- les frais de garantie du prêteur ( prise d'hypothèque ou privilège de prêteur de deniers) .
En matière de crédit immobilier, comme les conditions de prêt varient d'un établissement à un autre, il ne faut pas hésiter à jouer la concurrence pour choisir le financement le mieux adapté à sa situation
Concrètement, cela signifie interroger plusieurs établissements financiers. Quitte à soumettre la proposition d'un concurrent à sa banque, afin qu'elle s'aligne sur les conditions les plus compétitives.
Pour optimiser son financement, le candidat à l'emprunt a intérêt à se limiter à un seul type de prêt. Normalement, le taux d'un prêt à taux variable est moins élevé que celui d'un prêt à taux fixe, de même durée. Tout du moins, au début de prêt. Par la suite, en fonction de l'évolution des taux, il peut être plus élevé.
Toujours pour comparer, mieux faut se limiter à des prêts de durée identique. Dans un même établissement, le taux peut dépendre de la durée du prêt.
L'offre de prêt
Après avoir examiné la demande du futur acquéreur, le banquier lui fait parvenir par recommandé, une offre de prêt dont le contenu est réglementé. En effet elle comporte diverses informations : tableau d'amortissement avec totalité des échéances, montant total du prêt, taux…Cette offre engage l'établissement de crédit pendant trente jours minimum à compter de sa réception.
Trois possibilités pour l'emprunteur
Accepter l'offre de prêt : il doit attendre au moins 10 jours (délai de réflexion obligatoire) pour faire part à son banquier, de son acceptation. Le candidat à l'emprunt se décide donc à partir du 11ème jour suivant la réception de l'offre. Lorsqu'une personne se porte caution pour l'acquéreur, l'établissement de crédit doit également adresser l'offre de prêt par courrier. La caution dispose également d'un délai de 10 jours minimum pour examiner l'offre de prêt et signifier son acceptation à l'établissement de crédit, par courrier.
Refuser l'offre de prêt, si on a trouvé mieux ailleurs : c'est son droit le plus strict, mais la banque peut demander au prospect d'acquitter des frais d'étude. D'où l'utilité de se renseigner à l'avance sur le montant de ces frais!
Informer le vendeur de son logement dans les délais prévus dans l'avant-contrat de vente que l'on n'a pas obtenu le prêt. Il sera alors possible de pouvoir récupérer le dépôt de garantie ou les indemnités d'immobilisation versé.
Les grandes règles suivies par les établissements de crédit
Pour accorder un prêt, le banquier examinera trois critères relatifs au candidat à l'emprunt:
Sa capacité d'emprunt : elle est égale à environ 30% de ses ressources;
Son apport initial : il n'existe par de règle spécifique, mais plus il sera important, plus l'emprunteur pourra négocier un taux compétitif. Mieux vaut raisonner "acte en mains", c'est-à-dire en prix d'achat majoré des aux frais liés à l'acquisition (de l'ordre de 7% dans l'ancien, 3% dans le neuf).
Son revenu disponible : cet élément est tout aussi important que son apport personnel. Il s'agit de ce qui reste pour vivre une fois que l'on a acquitté toutes ses charges (crédits à la consommation, impôt sur le revenu…. Bien sûr, le revenu disponible varie en fonction de ses ressources. En pratique, la capacité d'emprunt se révèle une notion à géométrie variable.
Crédit: quels frais?
Attention, en plus du crédit, il faudra aussi prendre en compte les inévitables frais liés au crédit. Ils se ventilent en deux grandes catégories : d'une part, les garanties prises par l'établissement financier, d'autre part; les garanties que l'on peut être amené à prendre pour se protéger.
Les garanties prises par la banque : hypothèque, privilège et cautionnement
L'établissement prêteur cherche à se protéger d'une éventuelle défaillance de l'emprunteur. L'immeuble sur lequel est inscrit l'hypothèque ou le privilège sera saisi en priorité par la banque en cas de problème. Le coût de l'hypothèque varie en fonction du type de prêt et de son montant. Exonérée de taxe de publicité foncière, le coût du privilège de prêteur de denier est sensiblement inférieur à celui d'une prise d'hypothèque.
Mais ces deux garanties nécessitent un acte notarié dont les frais sont à la charge de l'emprunteur. Grosso modo, le coût de ces prises de garantie varie entre 2 et 2,50% du montant d'un prêt classique.
Solution moins connue et souvent moins onéreuse, le cautionnement ne manque pas d'intérêt. Avec cette formule, une caution s'engage à payer à la place de l'emprunteur au cas où il serait défaillant. Dans la pratique, il s'agit souvent d'une personne morale (une mutuelle, par exemple). Même si l'établissement de crédit a établi des relations commerciales avec un organisme spécialisé dans le cautionnement, il a tendance à préférer une garantie hypothécaire pour se couvrir des risques liés au prêt. D'où la nécessité pour l'emprunteur de demander au banquier, qu'il lui recommande un organisme de cautionnement. La caution est en général moins coûteuse pour l'emprunteur que l'hypothèque, mais son obtention obéit à des critères plus stricts.
Le coût du cautionnement oscille entre 1,50 et 2% du montant du prêt.
Les garanties prises par l'emprunteur
ADI : l'assurance décès invalidité est obligatoire (sauf passé un certain âge).
Le coût dépend de l' âge et de l' état de santé de l'emprunteur, s'il souscrit cette assurance chez un assureur spécialisé. Les offres proposées par les banques n'affichent qu'un seul tarif quel que soit l' âge (avant 60 ans).
Assurance chômage : facultative. Pour bien analyser une assurance perte d'emploi, il convient de s'interroger sur son délai de mise en œuvre, sa durée de couverture et son coût. Généralement ce dernier représente entre 0,3 et 0,7% du montant du prêt.
Marsh Posté le 14-10-2003 à 16:01:43
Je vais faire un emprunt immoblier au mois de decembre, donc je suis en train de mettre en concurrence les 2 banques pres ed chez moi.
Aujourd'hui, y'a une banque qui vient de me rappeller et qui me prropose un taux a 3.5% alors qu'il a 2 semaines quand j'ai été la voir c'etait du 4.60%.
Je peux pas la voir en ce moment pour lui poser des questions et elle a pas voulu m'en dire plus au phone.
c koi ce taux la?
je fais pas trop confiance.