Le bonheur, hasard ? comment atteindre le bonheur stable et véritable?

Le bonheur, hasard ? comment atteindre le bonheur stable et véritable? - Vie pratique - Discussions

Marsh Posté le 18-02-2004 à 00:29:03    

Le bonheur!
 
Notion floue dans nos sociétés occidentales, vu d'içi, la recette d'une vie heureuse tient plus du hasard qu'un ensemble de règles de conduite de vie bien déterminées et inculqués des le plus jeune age, le parraitre et l'égo prennant bien plus de place que le reste, pourtant, n'est-ce pas là le but de la vie ? le bonheur ?
 
J'ai l'impression que l'éducation se base plus sur l'aspect pratique des choses que sur l'essence de ce qui fait une vie humaine pleinement satisfaisante, les gens méconnaissent généralement les causes de leur mal etre, de leur souffrance, on s'attache perpetuellement à nos causes de souffrance, sans voir ce qui pourrait nous mener à une vie heureuse en cultivant par exemple la patience, la tolérance, la compassion, l'équanimité, comme enfermé dans un cycle sans appercevoir la porte ouverte, cette formidable opportunité qui nous est donné de transcender nos visions et de vivre mieux, en applicant une série de règles pré définies, une recette du bonheur adapté à tout un chacun.
 
Personne ne nous l'enseigne, et pourtant, c'est primordial je trouve, une grande partie des gens passent à coté de cette compréhension ultime des rouages de la vie et de l'intéret de cultiver tel ou tel comportement, et de rejeter tel catégories de comportement fermement, avec convition et détermination, l'égo encore une fois est mère de tout les vices, l'égo usine à production de l'ignorance et elle meme productrice de souffrance et d'incompréhension nous enferme dans nos visions étriquées nous empeche réellement d'arreter de nous considérer comme étant le centre du monde, de nous considérer comme étant plus important que notre voisins, cela nous empeche de relativiser la vie, et d'en voir les fondements, avec recul et lucidité adapté.
 
Une personne se laissant facilement aller à la colère aura une vie pénible à vivre, tout lui parraitra grisatre et aggressif.
 
Un etre disicpliné mentalement aura atteint une maitrise de ses émotions perturbatices, vivra certainement mieux, aura tout le loisirs d'apprécier tout ce que le spectre de la vie peut offrir, d'ou, l'intéret pour moi de considérer la vie comme un entrainement au bonheur..
 
Alors pour vous le bonheur ? c'est un concept pré fabriqué et illusoire ? envisagez vous de pouvoir atteindre cet état mental stable et étant plus soumis au aléas de la vie et soumis aux obscurcissements que représente la violence, la haine, la colère ? pensez vous pouvoir vous détacher de tout cela ? pensez vous cela possible ? etes vous résigner à vivre selon votre personalité en ne changeant rien et laisser continuer d'affluer les causes de souffrances ?
 
 
vaste débat :)


Message édité par Ryan le 15-04-2004 à 21:24:23
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Marsh Posté le 18-02-2004 à 00:29:03   

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Marsh Posté le 18-02-2004 à 00:49:06    

on s'en fout à cet heure çi apparament :D

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Marsh Posté le 18-02-2004 à 00:51:20    

le bonheur c est chez les autres !

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Marsh Posté le 18-02-2004 à 00:53:03    

Voyons, fallait sauvegader ca & poster ca demain dans la journée :o

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Marsh Posté le 18-02-2004 à 01:11:31    

Ryan a écrit :

Le bonheur!
 
Notion floue dans nos sociétés occidentales, vu d'içi, la recette d'une vie heureuse tient plus du hasard qu'un ensemble de règles de conduite de vie bien déterminées et inculqués des le plus jeune age, le parraitre et l'égo prennant bien plus de place que le reste, pourtant, n'est-ce pas là le but de la vie ? le bonheur ?


 
Pas tout à fait d'accord, il me semble que l'idéal de bonheur tel que la société essaye de nous le présenter est avant tout très matérialiste : beaucoup de gens sont encore persuadés que l'argent est un moyen de parvenir au bonheur, quitte à consacrer toute une vie à s'enrichir sans jamais se remettre en question.
 
Ceci dit on pourrait nuancer en remarquant les signes d'une volonté de "recentrage" sur soi (regain de spiritualité et de religiosité, consommation grandissante de psy, etc...) qui, sans apporter de réelle solution, sont au moins la preuve qu'un malaise se fait sentir et qu'une remise en question est nécessaire.
 

Ryan a écrit :


 
J'ai l'impression que l'éducation se base plus sur l'aspect pratique des choses que sur l'essence de ce qui fait une vie humaine pleinement satisfaisante, les gens méconnaissent généralement les causes de leur mal etre, de leur souffrance, on s'attache perpetuellement à nos causes de souffrance, sans voir ce qui pourrait nous mener à une vie heureuse en cultivant par exemple la patience, la tolérance, la compassion, l'équanimité, comme enfermé dans un cycle sans appercevoir la porte ouverte, cette formidable opportunité qui nous est donné de transcender nos visions et de vivre mieux, en applicant une série de règles pré définies, une recette du bonheur adapté à tout un chacun.


 
Effectivement les gens méconnaissent les origines profondes de leur mal-être, mais je pense qu'il y a de bonnes raisons à cela. J'irai même plus loin, cette méconnaissance est bien souvent nécessaire à l'individu, elle le protège et c'est sa raison d'être : elle lui évite de se confontrer à une vérité trop lourde et trop douloureuse à supporter. J'avoue que sur ce sujet j'ai une position assez partisane puisque très influencée par les théories psychanalytiques, mais disons pour résumer que je crois que le mal être est en général un moindre mal, une sorte d'état d'équilibre pour un individu et son histoire personnelle.
 

Ryan a écrit :


 
Personne ne nous l'enseigne, et pourtant, c'est primordial je trouve, une grande partie des gens passent à coté de cette compréhension ultime des rouages de la vie et de l'intéret de cultiver tel ou tel comportement, et de rejeter tel catégories de comportement fermement, avec convition et détermination, l'égo encore une fois est mère de tout les vices, l'égo usine à production de l'ignorance et elle meme productrice de souffrance et d'incompréhension nous enferme dans nos visions étriquées nous empeche réellement d'arreter de nous considérer comme étant le centre du monde, de nous considérer comme étant plus important que notre voisins, cela nous empeche de relativiser la vie, et d'en voir les fondements, avec recul et lucidité adapté.


 
Pas grand chose à dire, sinon que tu parais bien idéaliste
 

Ryan a écrit :


Alors pour vous le bonheur ? c'est un concept pré fabriqué et illusoire ? envisagez vous de pouvoir atteindre cet état mental stable et étant plus soumis au aléas de la vie et soumis aux obscurcissements que représente la violence, la haine, la colère ? pensez vous pouvoir vous détacher de tout cela ? pensez vous cela possible ? etes vous résigner à vivre selon votre personalité en ne changeant rien et laisser continuer d'affluer les causes de souffrances ?


 
Je suis assez méfiant avec cette "course au bonheur" comme aboutissement d'une vie réussie, j'ai parfois l'impression que c'est un concept inventé de toutes pièces, une carotte pour nous faire espérer et nous faire avancer. Personnellement j'adhère plus à la notion de sérénité qu'à celle du bonheur, que je décrirai rapidement comme un état de conscience et de lucidité sur soi et sur le monde extérieur.
 
En particulier, il me parait important d'être capable d'arrêter de foncer tête baisser, de pouvoir ralentir, et relever la tête ne serait ce que quelques instants. Se remettre en question, soi même et le monde dans lequel on vit. Réaliser pleinement l'absurdité de notre mode de vie actuel, comme par exemple l'abrutissement généralisé des masses par la télévision. Bref, prendre de la distance, le temps de la réflexion...

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Marsh Posté le 18-02-2004 à 01:11:40    

Ryan a écrit :

on s'en fout à cet heure çi apparament :D


oui en effet deja à cette heure là lire un gros paquet c'est fatiguant et là visiblement il faut reflechir en +
...donc on va garder ca pour demain  :D

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Marsh Posté le 18-02-2004 à 10:38:49    

pour atteindre le bonheur, il faut ne pas etre frustré, et on abolit la frustration en abolissant les désirs futiles et inaccessibles; c'est une "doctrine" de base du bouddhisme.
 
Sans sombrer dans le "non-désir" signe de nonbonheur, il faut adopter un comportement souple et réflechi, en suivant la "voie du milieu". voila: )


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Depressif, l'esprit trop près des récifs ...
Reply

Marsh Posté le 18-02-2004 à 10:47:59    

Ouep... Selon le dalai-lama :  
 
"Le bonheur, c'est la capacité à se satisfaire de ce que l'on possède"
 


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You can fool some people sometimes, But you can't fool all the people all the time...
Reply

Marsh Posté le 15-04-2004 à 21:22:44    

Comment atteindre le bonheur en touchant le fond, c'est possible aussi, largué par sa femme, finir seul, mais libre et détaché de tout sentiment d'amour/démence..ouais, je crois que la recherche de l'amour romantique fusionnel tant prôné en occident est une source de bien plus de souffrance que de bonheur véritable, lorse que l'ont s'en défait c'est une sorte de libération..mais il faut avoir la force de savoir considérer les choses telles qu'elles sont..
 
et up quoi :D

Reply

Marsh Posté le 15-04-2004 à 23:29:15    

Ryan a écrit :

Le bonheur!
 
Notion floue dans nos sociétés occidentales, vu d'içi, la recette d'une vie heureuse tient plus du hasard qu'un ensemble de règles de conduite de vie bien déterminées et inculqués des le plus jeune age, le parraitre et l'égo prennant bien plus de place que le reste, pourtant, n'est-ce pas là le but de la vie ? le bonheur ?
 
 
(j'ai viré le blabla)
 
 
vaste débat :)


 
ca m'inspire pa trop ton speech... On sent beaucoup de jalousie envers les gens heureux, et semble chercher une réponse a la question qui te hante "pourquoi moi, ne suis-je pas heureux". Il n'y a pas de complot, pas de systeme qui empeche l'acces au bonheur pour tous. Le bonheur c'est pas donné à la naissance. Faut se donner les moyens d'être heureux, savoir réfléchir sur soi plutot que sur les autres.  
Si tu n'es pas heureux, ce n'est pas la fautes des autres, c'est la tienne.
 
 :hello:

Reply

Marsh Posté le 15-04-2004 à 23:29:15   

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Marsh Posté le 16-04-2004 à 00:00:49    

de la jalousie ? oulaa..non, c'est quoi ce proces d'intention ?  
 
 
je regrette simplement le fait qu'on fasse croire implicitement que le matérialisme est la réponse à nos maux intérieur alors que c'est totalement faux, ce n'est pas de la jalousie c'est un regret de voir dans quel société je vis simplement, maintenant je suis tout à fait conscient qu'il faille s'en donner la peine c'est plus qu'évident.
 
Simplement la réponse ne se trouve pas dans une course effreinée, *tie goes to the runner* je crois qu'elle est intérieure avant tout c'est clair.

Reply

Marsh Posté le 16-04-2004 à 03:09:31    

Ryan a écrit :

de la jalousie ? oulaa..non, c'est quoi ce proces d'intention ?  
 
 
je regrette simplement le fait qu'on fasse croire implicitement que le matérialisme est la réponse à nos maux intérieur alors que c'est totalement faux, ce n'est pas de la jalousie c'est un regret de voir dans quel société je vis simplement, maintenant je suis tout à fait conscient qu'il faille s'en donner la peine c'est plus qu'évident.
 
Simplement la réponse ne se trouve pas dans une course effreinée, *tie goes to the runner* je crois qu'elle est intérieure avant tout c'est clair.


 
mais pourtant, au fond de toi, n'aimerai tu pas être une personne qui penserai que le matérialisme mene au bonheur ?

Reply

Marsh Posté le 16-04-2004 à 03:12:04    

baddy a écrit :


 
mais pourtant, au fond de toi, n'aimerai tu pas être une personne qui penserai que le matérialisme mene au bonheur ?


 
c'est le contraire, je regrette d'avoir été une personne qui pensait que ca pouvait mener au bonheur..
 
enfin j'ai que 23ans, j'ai pas eu le recul nécessaire vers l'age de 15ans pour m'en rendre compte plus tot :D

Reply

Marsh Posté le 16-04-2004 à 04:25:35    

C triste de voir ce topic abandonné au profit du topic insomniak

Reply

Marsh Posté le 16-04-2004 à 05:42:21    

je lacherais un pavé ici mais 12C4


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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.
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