Service militaire. raconter vos bons et mauvais souvenirs. - Page : 7 - Vie pratique - Discussions
Marsh Posté le 10-06-2005 à 10:59:23
Egalite des sexes = service pour tous. Faut arreter de demander légaliter que pour des trucs qui sont bien. On partage tout ou on partage rien. De toute facon le service c'est fini.
Marsh Posté le 10-06-2005 à 11:46:23
Ben c'est claire, je t'aurais charier sur tous les sujets ou tu serais intervenu .
Perso là ou j'étais il y avait pas ce genre de pratique.
Marsh Posté le 11-06-2005 à 19:02:37
C'est sur que je regrete. C'est pas moi qui est regardé dans son pentalon le premier. Il y a eu un effet d'entrainement et de groupe, et une envie de se défouler sur un bouc émissaire.
Le fait d'avoir subit la même chose (à la différence que moi je le sais et que le sergent le l'a jamis su) m'a bien fait comprendre mon erreur. Mais je ne crois pas qu'il faut mettre ce qui c'est passé sur le compte de l'armée. On était que des appelé. Donc pas des vrai militaire. On avait tous moins de 20 ans. Ca aurai pu arriver ailleurs dans le civil, dans une soirée bien arrosé...
Heuressement qu'a léqoque le net était pas aussi développer car je suis sur que les photos du sergent et moi se serait retrouver en ligne.
en vous racontant tout ça c'était pour donner un témoignage (anonyme) sur ce qui a pu réellement arrivé dans un régiment par ailleurs très tranquille : pas de brimade, pas de truc débile ou humiliant.
Bref, un morceau de ma vie en caserne.
Mais il y a eu AUSSI pleins de bon moments.
Marsh Posté le 11-06-2005 à 19:44:08
C'est le coup de l'arroseur (désabilleur) arrosé (déshabillé)
Si tu regrette c'est déjà ça.
Citation : LOGEN : mais pas moi (trop pudique pour sortir mon sexe et encore plus pour montrer mon gland) |
j'ai remarque qqch : c'est plus tu es pudique plus tu es victime de ce genre de truc.
Moi aussi j'étais très pudique et je crois que les autres le sente.
Le jour on on m'a foutu à poil pour me faire une bite au cirage, il y avait plusieurs victimes potentielles. On revenait juste des douches (tout propre...). Moi j'étais en bas de survet et t-shirt, un autre avait juste sa serviète autour de la taille et arrivé dans notre chambre l'a enlevé pour se rhabiller. un troième était en caleçon. Les mecs qui chercher une victime aurait pu facilement chopé qui était nu devant eux en train de se rhabiller quand ils sont entrés dans notre chambre, ou celui en calbut. Non il m'ont choisi moi.
Pareil pour la victime suivante (mon fameux pote qui a eu l'accident) Quand ils m'ont maintenu à poil sur la table pour faire leur connerie ceux des autres piole sont venu et ont plus ou moins participé. Lui est venu voir ce qui ce passait (normal) et est reparti sans participer. Quand ils en ont eu fini avec moi, ils sont aller le chopper dans sa chambre ou il m'ont mener pour badigeaonner son sexe avec le mien comme pinceau à cirage.
Montrer une faiblesse à l'armée c'est déjà se positionner en victime potentielle.
Marsh Posté le 11-06-2005 à 19:59:36
logen a écrit : Alors un dimanche matin pour être tranquille, on lui offert un coca avec une bonne dose de somnifère. Il s'est endormi profondément dans notre chambre. On était 4. On l'a mis sur un lit. Il était en survet bleu armée de terre. Puis l'un de nous a regardé dans son pentalon pour voir ce qu'il avait entre les jambes , puis chacun et au final on l'a désapé entièrement. On s'est amusé à le prendre en photos dans diverses positions, et on a même réussi à le faire b*ander, on a mesurer son sexe photo à l'appui. Il y en a qui se sont amusé à mettre leur b*ite sur son visage ou lui passer le gland sur les levres ( on a appelé ça des "bisous", mais pas moi (trop pudique pour sortir mon sexe et encore plus pour montrer mon gland) Après deux bonnes heures on l'a rhabillé et mis dans sa chambre. Il n'a jamais rien su. Il a mis ca sur une grosse fatigue.J'ai toujours les photos . Je sais je sais mais j'avais 18 ans (et le sergent 19)Il y a prescription (je crois) |
Ca c'est vraiment dégeuuuuulasssssse !!!
Marsh Posté le 11-06-2005 à 20:04:56
DROIDE
Citation : j'ai remarque qqch : c'est plus tu es pudique plus tu es victime de ce genre de truc. |
Pas faux. Il y en a qui se désapait vant d'entre dans la douche (les cabines était pas grande)et/ou qui en sortait à oilpé pour se secher. Moi je me désapait dedans et ne ressortait qu'habillé. Et vous savez ce qui m'est arrivé.
Il parait que le gouvernement service militaire ( un SMA en métropole : ça promet !!!) enfin peut être que s'il y des filles ça frenera tout ça. C'était trop un milieu de mec.
Yvick ----------------------------------------------------
Marsh Posté le 11-06-2005 à 20:49:37
logen a écrit : Hello, je vous le dis de suite j'ai crée un doublon pour parler dans ce sujet histoire de garder un certain anonymat car je suis mieu connu sous un autre pseudo. Je viens seulement de découvrir ce sujet. |
ça rend con le service militaire quand même ...
Au final c'est une très bonne chose que ça ait été supprimé, mais ils aurait pu (dû ?) garder à la place un service civil à vocation sociale, 6 mois, garçons et filles (servir la soupe aux restaus du coeur, etc ...).
Ca aurait fait du bien à la fois aux djeunz crétins, et aux petits cons d'écoles de commerce.
Marsh Posté le 11-06-2005 à 21:29:32
F22Raptor a écrit : ça rend con le service militaire quand même ... |
6 mois c'est peut etre un peu long....
1 mois suffirait sans probleme je pense
mais l'idee est tres sympa
Marsh Posté le 11-06-2005 à 21:35:02
3HB a écrit : 6 mois c'est peut etre un peu long.... |
je pense que pour vraiment faire bouger les choses dans la tête de pas mal de gens, il faut nettement plus de 6 mois face à la misère et au désespoir.
6 mois, c'est jamais que d'octobre à mars (saison froide pour SDF par exemple).
Avec ce genre de système, on n'aurait peut être pas eu autant de vieux qui cassent leur pipe l'été 2003 ...
Marsh Posté le 11-06-2005 à 23:36:27
Moi j'ai fait mon service militaire en israel. J'ai très peu porté les armes (3 mois pour les classes) le reste dans des bureaux en maintenance informatique.
Voici un petit souvenir :
Marsh Posté le 11-06-2005 à 23:44:20
david simon a écrit : Moi j'ai fait mon service militaire en israel. J'ai très peu porté les armes (3 mois pour les classes) le reste dans des bureaux en maintenance informatique. |
C'était un délire ou quelque chose d'imposé ?
Marsh Posté le 12-06-2005 à 00:53:16
logen a écrit : Hello, je vous le dis de suite j'ai crée un doublon pour parler dans ce sujet histoire de garder un certain anonymat |
Et c'est à ces gens la qu'on confie des armes, qui tuent
Ps: désolé pour ton cul mais j'ai les photos, beurre powa.
Marsh Posté le 12-06-2005 à 00:58:00
bah moi P4 alors j'ai pas le droit au chapitre ....
pourtant en tant que personne 'normale" mes trois jours sont un moment d'antologie pour l'obtenir ... ce P4
entre autre la crise chez le psy ... haha
genre répondre a chaque question par "mes parents veulent que" au lieu de "je"
j'ai un copain qui s'est PAS fait reformé parce que il disait avoir des problemes cardiaques ... ils veulent lui faire des tests sanguins . là il refuse car sa religion lui interdit .... mdr , il dit qu'il est temoin de jéovah....
bref ils ont voulu le faire chier ... 3 mois de tests avant de .... devoir faire son service mdr.
Marsh Posté le 12-06-2005 à 09:21:55
Yvick a écrit : |
Non juste un délire, une photo souvenir marrante mais pas vulgaire.
Marsh Posté le 12-06-2005 à 09:42:33
Pour l'histoire de Logen, perso c'aurait été moi :
1 - j'aurais pas participé au jeu avec le sergent
2 - on me l'aurait fait j'aurais cassé des dents
Marsh Posté le 12-06-2005 à 09:43:47
ReplyMarsh Posté le 12-06-2005 à 09:47:06
Moi j'aurai bien aimé faire le service militaire, enfin au moins en avoir un avant gout car c'est vrai que je ne sais pas du tout ce que c'est. Mais je pense que c'est une aventure sympa quand même... ça dépend pour qui bien sur mais si on n'a rien d'autre a faire, pas de petite amie en cours, envie de se muscler et d'apprendre plein de trucs utiles...
Marsh Posté le 12-06-2005 à 09:50:07
mobil12 a écrit : j'ai un copain qui s'est PAS fait reformé parce que il disait avoir des problemes cardiaques ... ils veulent lui faire des tests sanguins . là il refuse car sa religion lui interdit .... mdr , il dit qu'il est temoin de jéovah.... |
Les témoins de Jéhovah n'ont jamais interdit de faire des tests sanguins, je sais pas si ton pote a inventé l'histoire ou pas mais bon... c'est la transfusion sanguine dont ils ne veulent pas. C'est tout de même pas la même chose.
Marsh Posté le 12-06-2005 à 14:03:02
souliane a écrit : Les témoins de Jéhovah n'ont jamais interdit de faire des tests sanguins, je sais pas si ton pote a inventé l'histoire ou pas mais bon... c'est la transfusion sanguine dont ils ne veulent pas. C'est tout de même pas la même chose. |
mon pote n'est absolument pas temoin de jeovah il a inventé ca . mais ca n'est pas passé .
Marsh Posté le 29-06-2005 à 22:27:25
En fait en tant qu'objecteurs de conscience ils faisaient 8 a 12 mois de tole donc je pense pas que ton pote ai choisit la meilleure solution
Marsh Posté le 07-07-2005 à 12:44:40
La fameuse chambrée
je suis le second en partant de la droite.
Marsh Posté le 07-07-2005 à 13:06:24
Tes photos ne passent pas.(tout comme la mienne à disparu)
Mais j'ai suivi le lien , ce que j'invite tout le monde à faire (il y a un petit album photo de son service militaire qui vaut toute les discussions possibles .
Marsh Posté le 07-07-2005 à 19:09:36
J'ai vu les quatres photos
- les douches de campagnes j'en avaient jamais vues
- les douches collectives j'y ai échappé
- la photo de CDS : comment tu l'as eu ?
- la chambrée : TOP.
Je ne sais pas si tu avais prévu que l'on regarde dans ton album. Il est protégé, on peut tout voir à partir du lien que tu a voulu télécharger.
MDR
Marsh Posté le 15-06-2011 à 17:49:19
Tu as raison. A l'armée j'étais très pudique et les gars l ont bien remarque. Résultat plusieurs mises a l air et deux bittes au cirage! La honte
quotemsg=5821492,247,222522]C'est le coup de l'arroseur (désabilleur) arrosé (déshabillé)
Si tu regrette c'est déjà ça.
Citation : LOGEN : mais pas moi (trop pudique pour sortir mon sexe et encore plus pour montrer mon gland) |
j'ai remarque qqch : c'est plus tu es pudique plus tu es victime de ce genre de truc.
Moi aussi j'étais très pudique et je crois que les autres le sente.
Le jour on on m'a foutu à poil pour me faire une bite au cirage, il y avait plusieurs victimes potentielles. On revenait juste des douches (tout propre...). Moi j'étais en bas de survet et t-shirt, un autre avait juste sa serviète autour de la taille et arrivé dans notre chambre l'a enlevé pour se rhabiller. un troième était en caleçon. Les mecs qui chercher une victime aurait pu facilement chopé qui était nu devant eux en train de se rhabiller quand ils sont entrés dans notre chambre, ou celui en calbut. Non il m'ont choisi moi.
Pareil pour la victime suivante (mon fameux pote qui a eu l'accident) Quand ils m'ont maintenu à poil sur la table pour faire leur connerie ceux des autres piole sont venu et ont plus ou moins participé. Lui est venu voir ce qui ce passait (normal) et est reparti sans participer. Quand ils en ont eu fini avec moi, ils sont aller le chopper dans sa chambre ou il m'ont mener pour badigeaonner son sexe avec le mien comme pinceau à cirage.
Montrer une faiblesse à l'armée c'est déjà se positionner en victime potentielle.[/quotemsg]
Marsh Posté le 29-06-2011 à 18:38:04
Salut les gars, parmi mes souvenirs forts...ma première douche collective a l armée, avec la trouille e bander et la surprise des mecs sans pudeurs. Ensuite me première mise a l air devant tous les gars de la chambrée avec bite au cirage en prime.
Marsh Posté le 06-08-2011 à 08:27:31
ReplyMarsh Posté le 26-07-2012 à 21:20:43
Phil009 a écrit : Les mecs? Vous préfériez voir ou subir une bite au cirage? |
C'est peut-être un peu tard pour répondre mais bon !
Pour avoir passé à deux doigts de subir une bite au cirage, je peux dire que ce jour là j'aurai donné beaucoup pour être du coté des bizuteurs. Avec le recul...moins malgré le traumatisme vécu à ce moment là. Mais je pense que le traumatisme peut être très important dans le cas d'une vrai bite au cirage.
Par curiosité, pour ceux qui l'ont subie en totalité, dans quelle état d'esprit vous vous êtes trouvé dans les différentes phases (au moment d'être choisi, pendant la mise à l'air, pendant le passage au cirage, après avoir été libéré, pendant le nettoyage et le retour dans la chambre) ?
Le fait d'être victime vous a-t-il fait basculer du coté des bourreaux ?
Marsh Posté le 29-07-2012 à 11:56:23
Franklin_du_62 a écrit : |
Dans mon cas je n'ai pas ete le premier a y passer donc au moment ou j'ai ete choisi pour subir une bite au cirage je savais que je ne pourrais pas faire autrement que d'y passer. J'ai ete chope tres rapidemment et comme c'est le cas souvent lorsqu un des mecs a dit..."les mecs on lui fait une bite au cirage" plusieurs mecs ont eu l'air excite et motive pour m'attraper. Donc une fois immobliser au sol sur le dos, ils ont commencer a me defroquer. Treillis et slip ont rejoins les chevilles et ensuite pelotage de la queue pour te faire bander et ensuite passage au cirage. Au moment ou tu es chope, tu stress, pareil lors de la mise a l'air. Le baissage du slip etait accompagne de commentaires et des cris d'ecouragement. Puis quand tu commences a bander, la c'est la honte. Le pire c'est une fois relache, tu dois te relever la queue raide et noire et te diriger vers la douche au bout du couloir.
Et toi tu as dis que tu etais passer a deux doigts de la bite au cirage. Ont ils reussi a te foutre a l air?
Marsh Posté le 08-04-2015 à 01:58:21
Encore, encore ^^
Marsh Posté le 09-04-2015 à 03:46:20
mobil12 a écrit : bah moi P4 alors j'ai pas le droit au chapitre ....
entre autre la crise chez le psy ... haha j'ai un copain qui s'est PAS fait reformé parce que il disait avoir des problemes cardiaques ... ils veulent lui faire des tests sanguins . là il refuse car sa religion lui interdit .... mdr , il dit qu'il est temoin de jéovah.... |
Je déterre le topic de l'enfer mais la il méritait d'être p4. "Je veux pas avoir de prise de sang parce que je suis témoin de Jéhovah" ?
Tu m'étonnes qu'il ait fait. Il a confondu prise de sang et transfusion sanguine et ils sont parfaitement rodé pour les connaitres. C'est bête de l'avoir fait pour ce petit détail
Marsh Posté le 14-05-2017 à 10:53:48
Berceker United a écrit : |
Elles aussi elles finissaient à poil pendant tout l'après midi du 3ème jour ???
Nous à Mâcon ça a duré six heures tout nus tout l'après midi du 3ème jour ! Tous 18 ans, souvent 17 ans. Presque tous puceaux dans ces années là.
A la fin on nous a mis dehors : allez vous branler où vous voulez !! Ce que nous avons tous fait, évidemment !
Moi j'ai commencé à bander bien raide sans le vouloir et habillé en arrivant à la gare sncf. C'était irrésistible.
Marsh Posté le 14-05-2017 à 11:23:00
[quotemsg=4666469,136,222522]Pour moi des bons souvenirs (PEG, PESO) le tir (certif n°1, 2 et 3)
le DTM (BSM et BAM) stage au CNAM.
Les moins bons
- pendant les classes : une bite au cirage lors de mon premier WE au Bataillon par des libérables.
- pendant le PESO : devoir se foutre à poil dans la neige (nuit prisonnier - exfiltration)
Dans la France d'autrefois, mais dans un passé encore récent, absolument tout ce qui avait un rapport même lointain avec la nudité et avec le sexe, était réprimé et complètement interdit par la loi. L'armée et les casernes était un défouloir, où absolument tout était possible.
Des bizutages - formation de mises à l'air étaient organisés pour aguerrir les nouveaux venus, tous 20 ans, et arrivant directement de chez papa - maman.
Ce qui était bien normal, car en temps de guerre en troupe c'est une situation inévitable et très fréquente. Et dans ces années là se mettre à poil facilement n'importe où et devant n'importe qui, c'était pas encore devenu à la mode ! Et ça ne s'apprend pas en 8 jours.
Mais dans le contexte social affreusement répressif de l'époque, ces bizutages formation servaient de prétextes pour beaucoup beaucoup plus !
Par chance, j'ai échappé de peu aux sodomies obligatoires pour tous les nouveaux arrivants. Qui ont commencées partout deux ans après la fin de mon service. Et qui ont durées au moins 15 ans.
Par contre j'ai connu le BMC, Bordel Militaire de Campagne.
Marsh Posté le 14-05-2017 à 11:26:02
gloubiboulga a écrit : |
Le brevet colonial obligatoire pour tous, c'est pire !!
Marsh Posté le 14-05-2017 à 11:43:29
[/quotemsg]
[quotemsg=4678480,163,81805]
En allant à Reims le jour de l'incorpo, le train passe devant Mourmelon, au petit matin blème, la boue était ... grise (et y avait que de la boue! Tout le paysage gris). Impressionnant comme coin également, surtout que Mourmelon est connu pour une seule chose, son adjudant
Cet adjudant a fait parler de lui parce qu'il a assassiné beaucoup de jeunes appelés. Mais ce n'était que la partie visible de l'iceberg.
Dans les années 80 j'ai beaucoup fréquenté un militaire de carrière retraité. Qui m'a longuement expliqué les motivations sordides, dans les années 1950, 60 et 70, pour choir se métier, et s'engager pour 5 ans, 10 ans, 15 ans, ou à vie. Car la Grande Muette permettait de réaliser tout ce qui était interdit ou impossible dans la société civile française de ces années là.
Il ne m'a pas caché que pendant ces dizaines d'années là, l'armée et les casernes étaient un repaire de pervers, et pour les pires déviances de toutes sortes.
Lui même avait choisi ce métier principalement pour la liberté sexuelle qu'il offrait, sans finir en prison, où sans être exclu complètement, dans la société civile normale.
Evidemment la " formation " des jeunes appelés était une habitude.
Marsh Posté le 14-05-2017 à 13:36:54
Yvick a écrit : |
Il y a 45 ans c'était pire ! Les fils de famille de la haute société étaient mis à poil devant tout le monde, aussi bien que tous les autres.
Et plus un nouveau était coincé et pudique, plus il y avait droit. C'était mon cas.
Nous c'était des chambrées de 28 lits, toutes les origines sociales mélangées, venant de toute la France.
Dans des casernes ou des camps de 500 soldats, les nouveaux appelés de 20 ans étaient toujours groupés ensemble dans la même chambrée.
C'était des engagés de 30-35 ans, et les fins de 16 mois qui organisaient les " bizutages - formation " quotidiens et qui venaient exprès pour ça, et qu'on ne voyait qu'à ce moment là.
Selon les casernes ou les camps:
Les douches étaient toujours collectives. Vestiaires et salles de douches collectives. Toujours plusieurs dizaines à poil ensemble, et toujours avec des engagés et des fins de 16 mois qui n'étaient pas là par hasard.
Ou des cabines de douche individuelles, que chacun pouvait utiliser à tout moment quand il voulait. Mais cabines sans aucune portes, et d'accès entièrement libre à n'importe qui. Donc n'importe qui pouvait venir assister à la douche de n'importe qui. A chaque fois qu'il y en avait un qui partait avec sa serviette sur l'épaule, d'autres le suivaient uniquement pour assister au spectacle.
A chaque fois : commentaires, attouchements, examens et reniflages des grands slips coton blanc sales (à l'époque il n'en existait pas d'autres), etc.
Dans la première caserne où j'ai été pendant 6 semaines, les douches étaient dans un petit bâtiment isolé à l'écart au fond de la caserne qui ne servait qu'à ça. Uniquement un rez de chaussée en ciment avec 2 parties, le vestiaire et la salle de douche, 2 salles mitoyennes. Le toit était une terrasse qui était aussi le plafond des 2 salles entièrement en briques de verre transparentes, qui illuminait les 2 salles.
Le vestiaire collectif et la salle de douche collective, étaient séparés par un mur en béton brut massif de 1,50 mètre de haut, et de trois mètres de large. Avec une arête à angle droit pour empêcher complètement des gens nus de le franchir. Ce mur en béton massif de 1, 50 mètre de large redescendait de l'autre côté dans la salle de douche collective par un escalier. En haut de ce mur il y avait une petite plate forme de 1,50 mètre de large, avec un rideau composé de lames de caoutchouc verticales, exactement comme dans les stations Karcher pour laver les voitures.
La seule façon de passer du vestiaire à la salle de douche, était de monter tout nu, et de parcourir tout nu devant tout le monde, une planche en bois très longue d'au moins cinq ou six mètres de long, recouverte de caoutchouc. Qui reposait sur le sol carrelé du vestiaire, et qui montait jusqu'à 1, 50 m de hauteur. Cette planche caoutchoutée était très étroite, et pliait sous le poids d'un corps. Donc on ne pouvait y passer que un par un. Et il fallait marcher lentement, car elle était étroite et pliait beaucoup de façon inquiétante, mais avec souplesse. C'était fait exprès.
Dans le vestiaire il y avait tout autour des lavabos avec des glaces. Et uniquement des bancs pour poser les vêtements. Ce qui obligeait à empiler ses vêtements les uns sur les autres, par ordre de déshabillage, donc le slip sur le dessus de la pile.
Dans le bas de la longue planche ils avaient laissé libre un espace d'au moins deux mètres de côté. C'était là qu'ils " préparaient " les nouveaux à monter sur la planche.
Il y avait du caoutchouc partout, par ce que les matières synthétiques sont arrivées en France à la fin des années 50, et 15 ans après le plastique n'était pas encore d'une utilisation facile et généralisée.
Il y avait une seule douche par semaine uniquement le vendredi après midi. Tous les vendredis vers 15h30 on nous conduisait au local douche. Les gradés refermaient la porte à double vantaux derrière nous, et laissaient seuls les 25-30 nouveaux appelés avec un quinzaine ou une vingtaine d'engagés de 30-35 ans. Il n'y avait pas d'heure de sortie de prévue. Le quartier libre et le week end suivaient. On avait tout notre temps. Les nouveaux appelés qui voulaient manger à la caserne à 18h, étaient donc obligés d'accepter de subir tout de suite.
En arrivant on se mettait tous tout nus. Les vêtements étaient posés sur les bancs, donc en piles, avec tous les slips sur le dessus. Grands slips coton blanc très sales, car 8 jours sans douche et sans changer de slip, avec les marches et autres séances sportives. Et ensuite commençait l'épreuve de la planche. Les engagés s'arrangeaient pour faire passer en premier sur la planche uniquement tous les nouveaux appelés. Tout le monde se mettait autour de la planche pour regarder de près celui qui allait la parcourir.
En bas de la planche personne n'était pressé de la monter, et dans l'espace libre en bas de la planche c'était un concours interminable à qui allait la prendre en dernier ! En essayant d'obliger les autres à monter en premier. C'était ce que les anciens attendaient. De toute façon les anciens se mettaient à l'entrée de la planche pour nous empêcher de monter spontanément, et pour organiser les passages sur la planche. Et l'espace dans le bas de la planche avait été laissé libre exprès pour ça. Les commentaires pleuvaient, les attouchements, reniflages des slips, claques sur les fesses, véritables fessées pour nous obliger à prendre la planche ce qui voulait dire que notre tour était arrivé.
Il y avait les anciens qui se lavaient les mains en prenant leur douche en dernier. Et il y avait ceux qui attendaient le retour après la douche pour profiter des corps propres. Comme ça il y en avait pour tous les goûts !
Je suis passé 6 fois sur la planche, 6 semaines de suite !
A 20 ans j'étais d'une pudeur extrême, presque maladive, depuis ma naissance. Et ça a commencé à changer, mais très peu, après mes 25 ans !
Marsh Posté le 10-06-2005 à 10:51:21
Reprise du message précédent :
Hello, je vous le dis de suite j'ai crée un doublon pour parler dans ce sujet histoire de garder un certain anonymat car je suis mieu connu sous un autre pseudo. Je viens seulement de découvrir ce sujet.
J'étais simple trouffion (2e Classe)Comme je venais de loin et donc je ne rentrais pas tous les WE. On étais pas bcp le WE, mais selon le sergent on ne nous laissé pars tranquille (nétoyage, rangement, sport...) En particulier il y avait un sergent (un appelé) qui ne nous lachait pas alors que d'autres peletons n'avait rien à foutre.
Alors un dimanche matin pour être tranquille, on lui offert un coca avec une bonne dose de somnifère. Il s'est endormi profondément dans notre chambre. On était 4. On l'a mis sur un lit. Il était en survet bleu armée de terre. Puis l'un de nous a regardé dans son pentalon pour voir ce qu'il avait entre les jambes , puis chacun et au final on l'a désapé entièrement. On s'est amusé à le prendre en photos dans diverses positions, et on a même réussi à le faire b*ander, on a mesurer son sexe photo à l'appui. Il y en a qui se sont amusé à mettre leur b*ite sur saon visage ou lui passer le gland sur les levres ( on a appelé ça des "bisou", mais pas moi (trop pudique pour sortir mon sexe et encore plus pour montrer mon gland) Après deux bonnes heures on l'a rhabillé et mis dans sa chambre. Il n'a jamais rien su. Il a mis ca sur une grosse fatigue.J'ai toujours les photos . Je sais je sais mais j'avais 18 ans (et le sergent 19)Il y a prescription (je crois)
Plusieurs semaine après, de nouveau un WE mais avec un autre sergent très cool, on n'avait rien à faire. Je me rapelle qu'après le repas de midi je suis remonté en chambre... et puis je me suis réveillé le soir entièrement à poil sur mon lit .
Hé oui on m'avait versé du somnifère dans mon verre à midi et je ne sais pas vraiment ce qu'ils ont fait... (je vous rassure je n'avait pas mal au cul en me reveillant).J'ai vu des photos, il ont réussi à me faire b*ander, il ont également mesuré mon sexe bien décalotté tout comme pour le sergent . J'ai su bien plus tard (je m'en doutais un peu) que certains ont passé leur sexe sur mon visage et les m'ont fait faire des "bisous" à leurs sexe.
Autant dire qu'après ça on ne buvait que des canettes non ouverte et on surveillait nos verres. A ma connaissance il n'y a pas eu d'autres qui se sont fait avoir.
Voila pourquoi ce doublon, car c'est pas beau ce que j'ai au sergenbt je le reconnait, et j'ai pas de quoi me vanter pour la suite.
bordel de zeus, c'est le genre de comportement pueril qui me fout en boule.
ouaip j'espere aussi que tu le regrette,