Commentaire composé "La route" de Cormac Mccarthy

Commentaire composé "La route" de Cormac Mccarthy - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes

Marsh Posté le 28-02-2013 à 19:30:34    

J'ai un commentaire composé a faire sur un texte, cela fait 1 semaine que je bloque dessus.  J'ai analyser le texte mais aucune problématique et encore moins un plan me vient. Pouvez vous m'aider s'il vous plais, C'est a rendre pour lundi donc là ça devient une urgence. Merci d'avance.
 
 
 
 
Voici le texte:
 
"Quand il se réveillait dans les bois dans l’obscurité et le froid de la
nuit il tendait la main pour toucher l’enfant qui dormait à son côté.
Les nuits obscures au-delà de l’obscur et les jours chaque jour plus
gris que celui d’avant. Comme l’assaut d’on ne sait quel glaucome
froid assombrissant le monde sous sa taie. À chaque précieuse respiration sa main se soulevait et retombait doucement. Il repoussa la
bâche en plastique et se souleva dans les vêtements et les couvertures empuantis et regarda vers l’est en quête d’une lumière mais il
n’y en avait pas. Dans le rêve dont il venait de s’éveiller il errait dans
une caverne où l’enfant le guidait par la main. La lueur de leur lanterne miroitait sur les parois de calcite mouillées. Ils étaient là tous
deux pareils aux vagabonds de la fable, engloutis et perdus dans les
entrailles d’une bête de granit. De profondes cannelures de pierre
où l’eau tombait goutte à goutte et chantait. Marquant dans le silence les minutes de la terre et ses heures et ses jours et les années
sans s’interrompre jamais. Jusqu’à ce qu’ils arrivent dans une vaste
salle de pierre où il y avait un lac noir et antique. Et sur la rive d’en
face une créature qui levait sa gueule ruisselante au-dessus de la
vasque de travertin et regardait fixement dans la lumière avec des
yeux morts blancs et aveugles comme des œufs d’araignée. Elle
balançait la tête au ras de l’eau comme pour capter l’odeur de ce
qu’elle ne pouvait pas voir. Accroupie là, pâle et nue et transparente, l’ombre de ses os d’albâtre projetée derrière elle sur les
rochers. Ses intestins, son cœur battant. Le cerveau qui pulsait dans
une cloche de verre mat. Elle secoua la tête de gauche à droite
et de droite à gauche puis elle émit un gémissement sourd et se
tourna et s’éloigna en titubant et partit à petits bonds silencieux
dans l’obscurité.
À la première lueur grise il se leva et laissa le petit dormir et alla
sur la route et s’accroupit, scrutant le pays vers le sud. Nu, silen-cieux, impie. Il pensait qu’on devait être en octobre mais il n’en
était pas certain. Il y avait des années qu’il ne tenait plus de calendrier. Ils allaient vers le sud. Il n’y aurait pas moyen de survivre un
autre hiver par ici."

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Marsh Posté le 28-02-2013 à 19:30:34   

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Marsh Posté le 28-02-2013 à 19:34:17    

finedepin79 a écrit :

J'ai un commentaire composé a faire sur un texte, cela fait 1 semaine que je bloque dessus.  J'ai analyser le texte mais aucune problématique et encore moins un plan me vient. Pouvez vous m'aider s'il vous plais, C'est a rendre pour lundi donc là ça devient une urgence. Merci d'avance.
 
 
 
 
Voici le texte:
 
"Quand il se réveillait dans les bois dans l’obscurité et le froid de la
nuit il tendait la main pour toucher l’enfant qui dormait à son côté.
Les nuits obscures au-delà de l’obscur et les jours chaque jour plus
gris que celui d’avant. Comme l’assaut d’on ne sait quel glaucome
froid assombrissant le monde sous sa taie. À chaque précieuse respiration sa main se soulevait et retombait doucement. Il repoussa la
bâche en plastique et se souleva dans les vêtements et les couvertures empuantis et regarda vers l’est en quête d’une lumière mais il
n’y en avait pas. Dans le rêve dont il venait de s’éveiller il errait dans
une caverne où l’enfant le guidait par la main. La lueur de leur lanterne miroitait sur les parois de calcite mouillées. Ils étaient là tous
deux pareils aux vagabonds de la fable, engloutis et perdus dans les
entrailles d’une bête de granit. De profondes cannelures de pierre
où l’eau tombait goutte à goutte et chantait. Marquant dans le silence les minutes de la terre et ses heures et ses jours et les années
sans s’interrompre jamais. Jusqu’à ce qu’ils arrivent dans une vaste
salle de pierre où il y avait un lac noir et antique. Et sur la rive d’en
face une créature qui levait sa gueule ruisselante au-dessus de la
vasque de travertin et regardait fixement dans la lumière avec des
yeux morts blancs et aveugles comme des œufs d’araignée. Elle
balançait la tête au ras de l’eau comme pour capter l’odeur de ce
qu’elle ne pouvait pas voir. Accroupie là, pâle et nue et transparente, l’ombre de ses os d’albâtre projetée derrière elle sur les
rochers. Ses intestins, son cœur battant. Le cerveau qui pulsait dans
une cloche de verre mat. Elle secoua la tête de gauche à droite
et de droite à gauche puis elle émit un gémissement sourd et se
tourna et s’éloigna en titubant et partit à petits bonds silencieux
dans l’obscurité.
À la première lueur grise il se leva et laissa le petit dormir et alla
sur la route et s’accroupit, scrutant le pays vers le sud. Nu, silen-cieux, impie. Il pensait qu’on devait être en octobre mais il n’en
était pas certain. Il y avait des années qu’il ne tenait plus de calendrier. Ils allaient vers le sud. Il n’y aurait pas moyen de survivre un
autre hiver par ici."


 
Si durant 1 semaine tu n'as rien fait et tu viens voir pour que quelqu'un te fasse le devoir aujourd'hui jeudi, je ne sais pas si en t'aidant, on te rend service (ou on te rend dépendant et fainéant).
Euh, d'ailleurs, tu ne choisis pas la bonne rubrique du forum


Message édité par henri-alexandre le 28-02-2013 à 19:35:18
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Marsh Posté le 28-02-2013 à 19:38:37    

Je ne sais pas si tu vois une différence entre aider et faire un devoir. Je demande seulement quelques idées de plan, pour le rédiger et autre il faut avoir fais une analyse du texte. Ce que j'ai fait. Et je ne demande rien de plus. Alors si pour toi c'est être fainéant de demander une aide lorsque l'on en à besoin alors tout le monde l'a été. Toi y compris.

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Marsh Posté le 01-03-2013 à 09:10:36    

finedepin79 a écrit :

Je ne sais pas si tu vois une différence entre aider et faire un devoir. Je demande seulement quelques idées de plan, pour le rédiger et autre il faut avoir fais une analyse du texte. Ce que j'ai fait. Et je ne demande rien de plus. Alors si pour toi c'est être fainéant de demander une aide lorsque l'on en à besoin alors tout le monde l'a été. Toi y compris.


La différence, c'est par exemple de montrer à ses interlocuteurs qu'on a un minimum travaillé avant de venir réclamer de l'aide.

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