Origine des Eucaryote (génétique et biodiversité) - Sciences - Discussions
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:16:17
ReplyMarsh Posté le 22-09-2006 à 18:16:27
ReplyMarsh Posté le 22-09-2006 à 18:17:56
minusplus a écrit : soudain, c'est le drame. |
ingénérie variétée
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:18:27
ReplyMarsh Posté le 22-09-2006 à 18:18:50
floooop a écrit : ingénérie |
chais pas j'ai lu que les premiers mots et la dernière phrase, comme d'hab...
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:22:06
melges a écrit : |
Anticipation ? chance ?
sinon ce sujet me parait .. nan en fait.
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:23:08
"oui mais le passeport?"
ya pas déjà un topic biologie moléculaire et autre joyeuseté?
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:23:10
minusplus a écrit : soudain, c'est le drame. |
Moi j'aime pas les o(p)ignons, ça me fait péter. Et pourtant Dieu sait que j'en ai rien à péter de LUCA.
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:23:27
Thordax a écrit : Anticipation ? chance ? |
tut tut tut
une veille attentive, stout
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:24:18
Thordax a écrit : Anticipation ? chance ? |
un peu des deux
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:25:39
ReplyMarsh Posté le 22-09-2006 à 18:41:00
Bresse a écrit : Veuillez laisser une chance à ce sujet bordel. |
Ok, juste une tite citation :
Citation : correction d'érreur |
Voila, m'en vais
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:53:46
glevesque a écrit : Salut |
De pin.
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:57:52
C'est dommage que le message comporte autant d'erreurs de français, mais je ne demande qu'à m'instruire, et j'avoue que j'ai beaucoup oublié sur le sujet. C'est peut-être un exposé sur lequel il veut des retours ?
Mais là, s'il voulait que vous lui disiez ce que vous pensez de sa petite bafouille sur les eucaryotes, c'est râpé
Marsh Posté le 22-09-2006 à 19:10:38
LooSHA a écrit : C'est dommage que le message comporte autant d'erreurs de français, mais je ne demande qu'à m'instruire, et j'avoue que j'ai beaucoup oublié sur le sujet. C'est peut-être un exposé sur lequel il veut des retours ? |
Kesske tu veux qu'on en pense ? C'est l'heure de l'apéro, voilà c'que j'en pense
Marsh Posté le 22-09-2006 à 19:46:59
Putin de nerds...
Marsh Posté le 22-09-2006 à 19:54:53
LooSHA a écrit : C'est dommage que le message comporte autant d'erreurs de français, mais je ne demande qu'à m'instruire, et j'avoue que j'ai beaucoup oublié sur le sujet. C'est peut-être un exposé sur lequel il veut des retours ? |
Si c'est un exposé, qu'il le dise clairement. En attendant, c'est illisible... et foutument incompréhensible. Sans compter deux ou trois bourdes.
Marsh Posté le 23-09-2006 à 09:21:24
Salut
Voici un text corrigé avec plus de précision !
Ce schéma représente les quatre époques qui peut-êtres associés à lévolution des gènes de développement et de différenciation cellulaire. A chaque étape qui a impliqué la mutation des gènes de développement ou de différenciation cellulaire, il en est résulté une correspondance étroite avec une explosion de la biodiversité des organismes vivant à travers ces mêmes époques. Ce boom a été presque immédiatement suivit d'une sorte de grande décimination (1), causé par la pression sélective naturelle, et un peut de contingence ! Un peut comme le phénomène qui sait produit pour le nombres de phylums des arthropodes qui a explosé au Cambrien, mais dont un seul a survécu et qui existe toujours de nos jours.
Au début la terre était un environnement extrême ! Milieu qui était propice aux développements des organismes extrême, comme les Archéobactéries. Si on se base sur l'aspect évolutif de l'ingénirie génétique (paléongénétique) qui sont axées sur les gènes de réplication (étape 1 sur le schéma) et les gènes de développement ( différenciation, polarisation, segmentation, homéotique) et également sur les différents mécanisme dépissage de lARNm (représenté par les étape 3 et 4). On peut supposé que l'ancètre des cellules (LUCA), devait dupliquer son ADN de manière contigu (sans intron), un peut comme le fait les bactéries actuelles (polycistronique). On peut supposer également, que différent facteurs endogène ou exogène de mutation, ont agient directement sur les gènes de réplication, ou sur dautres gènes qui étaient alors associés aux différents mécanismes de coordination, lors de la division et de la duplication de lADN. Ces différents mécanismes mutationnels, on put modifier ou altérer lexpression des gènes de réplication. La ou les cellules ancestrales, ont alors donnés naissence à différentes souches évolutives, dont une qui sait orienté vers les Eubactéries à lARN polycistronique, et une autre vers les ancêtres des archéobactéries à lARN non polycistronique ou morcelé. Avec lARN non polycistronique, est né lépissage des ARNm.
Une souche dArchéobactérie aurait subit de nouvelle mutation, sur son matériel génétique. Celle-ci aurait évolué par la suite vers les Urcaryotes (ancêtres des eucaryotes), par différents processus dendosymbionte (de Mereschkowski.) (8). Létape 2 du schéma illustre cette étape. Une Archéobactérie aurrait capturé des procaryotes, dont certains auraient développés une forme de symbiose avec leur hôte (comme les ancètres des mitochondries et des chloroplastes). Certains phénomènes environnementaux, comme laugmentation de la concentration de loxygène moléculaire dans latmosphère (vers 2.2 Ga), émit lors de la photosynthèse effectuée par les cyanobactéries, sont peut-être à lorigine de ce processus dadaptation. De cette symbiose serait apparue les Urcaryotes, qui auraient donnés naissances par la suite au Eucaryotes, vers 1.4 Ga.
Les différentes formes de mécanisme dépissage des ARNm, que nous retrouvons chez les Archéobactéries et les eucaryotes, ne sont peut-êtres pas étrangés à cette forme de symbiose entre Archéobactérie et différents types dEubactéries ancestrale. Au début une forme de mutation sur l'ADN, aurait fait la promotion d'une nouvelle forme de synergie bio-moléculaire et génétique, qui aurait favorisé la résonance des phénomènes d'épissages, vers une forme de travail de coopération (synergie) avec les gènes de différenciation et de développement qui viendront un peut plus tard. Le tout aurait dut disparaître par la suite avec la pression sélective de lépoque. Mais peut-être que certains facteur environnementaux ou de contingence, en aurait désidé autrement (chute de météorite ou autre). Favorisant du même coût, l'émergence et l'évolution de ce grand facteur de diversification génétique. Puisque que les mécanismes d'épissages sont impliqués dans la variabilité des protéines (complexe Spliceosomes + ARN small) (2), et donc un grand facteur d'adaptation (un gène plusieurs protéines).
La première explosion de la vie sur terre, a donc commencé avec LUCA, elle fut la première véritable cellule vivante à faire lacquisition de mécanisme de réplication transmissible et stable entre les générations. Un peut plus tard (quelque millions d'années) une branche se divise en 2, pour donner naissance aux premières Eubactéries (probablement lancêtre des bactéries actuelle) avec leur ARN polycistronique, et aux Archéobactéries avec leurs gènes de type morceler (qui possède des introns) et qui son associé au différents mécanisme d'épissage lors de la transcription génétique de lADN vers ARMm. Le deuxième boom de la vie sur terre, survient à létape 2 du schéma, lors de la fusion et de symbiose dArchéobactéries avec différents type dEubactéries. Les organismes résultant de cette fusion, vont désormais se séparer de la branche des archéobactéries, pour former les ancêtres des eucaryotes (cellules animale et végétale avec noyau). Les Eucaryote marque la naissance des tous premier protistes sur terre, vers 900 à 750 Ma.
Cette étape marque également la naissance des gènes précurseurs de différenciation cellulaire, certains Eucaryotes ce regroupe en colonie, et communique entre elles, via des molécules chimique, des axes de différenciations qui sont portés sur leurs différentes activités métaboliques et biochimiques plus spécialisée. Les différents processus dépissages poursuivent leurs évolutions, tout en favorisant une coopération de plus en plus accrût avec le reste du matériel génétique. Il ce développe à la longue, une synergie en forme de boucle résonnante, et qui est portée sur les affinités biochimique daspect complémentaire à travers l'activité de réplication de l'ADN vers les ARNm. Différentes mutation ont sûrement favorisées de telle phénomènes a cette époque reculée du protérozoique.
Cette évolution va ce diriger par la suite, vers les gènes qui sont impliqués dans la segmentation lors du développement des métazoaire. Comme les gènes de polarité (impliqué dans le grand axe antéro-postérieure et dorso-ventrale), le gène paire rule et les gènes de polarité segmentaires (axé sur la répétition des segments) (3). Ils vont faire leurs apparitions et donnés naissances au tout premier organisme métazoaire (organisme multicellulaire). Ces organismes présentes quelques axes de différenciation morphologique (comme les méduses, les éponges, les correaux et autre). C'est le début et le boom des premiers métazoaires à corps mous, vers 700-600 Ma.
La quatrième et dernière étape, qui est représenté sur le schéma, marque lévolution des gènes homéotiques. Ces dernier détermine la spécialisation des différents segments dun organisme lors du développement embryonnaire. Cette étape est associée au boom et à l'explosion de la variété biologique, qui cest produit au début du Cambrien (début du phanérozoique), situé entre 570 et 510 Ma. Cette période géologique est associé à la croissance des grands plans d'organisation ou organisateurs des organismes vivant (phylum). Comme par exemple l'explosion de la variété des arthropodes de cette époque. Plus d'une vingtaine d'embranchement d'Arthropode ont existés au cambrien inférieur, mais juste une a évolué jusqu'a notre époque, et une dizaine de phylum différents d'animaux, on également disparut de la surface du globe à cette même époque !
A chaque étape qui ont marquées lévolution des gènes de réplication et de développement, mais aussi sur lévolution du gènes qui sont impliqués dans les phénomènes de lépissage de lARNm qui leurs sont directement associés. La terre à subit un boom dans la croissance de sa diversité biologique, et chacune delle a été immédiatement suivit par la suite (dans un intervale de quelque millions ou millier dannées) d'une perte par décimination dune empleure tout aussi comparable. Les différents mécanismes de l'évolution-adaptation potés sur la pression sélective naturelle des espèces, en est la cause, mais a tout cela il faut aussi ajouté certaine notion de contingence. (mécanisme de décimination comme les chute de météorites, grande activité volcanique par la collision des plaques tectonique et autre).
1 La vie est belle, Stephen Jay Gould, Édition du Seuil 1991
2 - Les microARN, une nouvelle classe de régulateur de lexpression génétique. (Caroline Hartmann/ Fabienne Corre-Menguy/ Adnane Boualem/ Mariana Jovanovic/ Christine Lelandais-Brière)
http://www.erudit.org/revue/ms/200 [...] 336ar.html
3 - http://www.ac-reims.fr/datice/svt/ [...] segmen.htm
4 - Développement embryonnaire et gènes sélecteurs, Michel Delarue
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/h [...] omeo0.html
5 Les modification du matériel génétiques
http://formation.etud.u-psud.fr/bi [...] /index.htm
6 - LA TRANSCRIPTION CHEZ LES EUCARYOTES ET LES MODIFICATIONS POST-TRANSCRIPTIONNELLES CHEZ LES EUCARYOTES
http://spiral.univ-lyon1.fr/polyco [...] ire-9.html
7 - Génétique à la carte
http://formation.etud.u-psud.fr/bi [...] /index.htm
8 - les théories de fusion et d'endosymbioses
http://cgdc3.igmors.u-psud.fr/micr [...] p01_06.htm
Gilles
Marsh Posté le 23-09-2006 à 09:56:46
Si on passe sur :
- les expressions mystérieuses ("une synergie en forme de boucle résonnante" )
- les approximations dans les dates ("situé entre 570 et 510 Ma" )
- les simplifications/omissions ("le gène paire rule et les gènes de polarité segmentaires" )
c'est un bon TPE, oui.
Marsh Posté le 24-09-2006 à 02:44:41
ce topic! mort de rire moi
j'en connaissais un, de lucas, mais avec un s à la fin lui, ce doit pas être le même
faudrait le renommer en "le topic des bactéries, toutes familles bienvenues!"
Marsh Posté le 30-09-2006 à 14:56:55
Salut
Ha Tien, une bactérie vien de passer !!!!
Bonjours bactérie !
Gilles
Marsh Posté le 30-08-2007 à 01:06:18
Salut
Le processus s'éclaircis :
Des procaryotes aux eucaryotes le phénomène d'épissages a évolué du type 1 à 3 (pour les eucaryotes) ! L'épissage est aussi relié à l'épigénitique dans son évolution, par son association d'interface entre la production des ARN pré-messager via les molécules d'ADN et l'activité de leurs polymérase et l'environnement, il s'agit d'une activité d'équilible chimique adaptationnelle qui relie le milieu interne de l'activité génétique de synthèse des protéines à l'environnement immédiat qui englobe et dans lequel beigne la structure génétique, leurs influence mutuelle permet une adaptation et un feelback plus rapide pour l'évolution des organisme vivant via des ajustements qu'établit l'épissage à travers ses activité de maturation des ARN pré-messager vers les ARN messager. Voilà donc un nouveau niveau de coopération génétique inductionnelle !
L'épissage est un phénomène qui emplifit le feelbak sous une forme de résonance coopérative sur la traduction génétique par rapport à l'évolution et à l'adaptation sélective des produit protéiniques et enzymatiques découlant des gènes de base, face à leur milieu ! Il y a donc eu un phénomène biochimique de rétroaction sur la traduction génétique (de l'ADN aux ARN messager) mis en branle par l'épissage, agissant en quelque sorte comme une interface entre le milieu génétique et le milieu extérieur. C'est le fruit de l'activité indirecte de l'épissage, qui rétroagit sur la maturation des molécule d'ARN aprèes leur traduction à partir des gènes, qui est réellement responssables des pression sélectives et de l'adaptabilité.
Ce mécanismes peut aussi bien être a l'origine de l'évolution des gènes de développement (gène architèque et gène de segmentation). Résultant d'une bifurcation mutationnelle de l'appareillage génétique impliquer dans certaines forme de mécanisme d'épissage, mais cette fois ci au lieu de controler les processus de rétroaction enzymatique sur la maturation des ARN messager, ce dernier aurait évoluer vers un mécanisme de feelback directe sur l'expression (activation) génétique pouvant controler (par processus de résonnance fonctionnelle de l'activité génétique et enzymatique) l'activité de plusieurs autres gènes (via des facteur de transcription spécifique) dans une suite cohérentes relié a la concentration de leurs produits d'activité individuelle, formant ainsi par différents processus d'activité diriger et controlé biochimiquement des complexe génétique relié au gènes de développement. (voilà en gros le résumer de ma thèse)
Donc il est tout a fait possible d'immaginer que ce phénomène aurait put participer à l'origine à l'évolution des métazoaires !
Gilles
Marsh Posté le 30-08-2007 à 01:45:36
Mon Dieu, le revoilà
Visiblement, il revient de 11 mois de BAN, et il est toujours aussi lourd
( http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t12545922 )
Marsh Posté le 30-08-2007 à 02:12:10
glevesque a écrit : ... |
si tu nous expliquais d'où vient ce que t'as écrit, ce que tu comptes en faire, à qui ça s'adresse selon toi et et ce que tu voudrais que les gens concernés on en fassent?
bref, c'est quoi la question?
on sent bien que t'es passionné mais t'es loin d'être clair...
Marsh Posté le 30-08-2007 à 02:20:33
Salut
En fait il s'agit d'une hypothèse sur l'origine de la biodiversité effectuer a partir de l'évolution des phénomène d'épissage (bactérie, Arché et eucaryote moniste) qui aurai bifurqué vers l'élaboration des gènes architeques des métazoaires, et qui a caractérisé les différents boom du canbrien et de l'émergence des différents philums !
Les introns et certain exons implique dans la synthèse des protéines du complexe d'épissage aurait put aussi participer a l'évolution de se schéma de la variabilité épigénétique de la diversité de l'activité adaptationnel du génomes ! (réorganisation des brin d'ADN, Transposon, transfère horizontaux et etc...) qui par rétraction positive sur l'ADN, ou de certains segnement de ce dernier, aura favorisé un retourne d'action pouvant controler certaines expression de d'autre gènes par une sorte de mécanisme d'auto-interférence redondant (voir la fonctionnalité du complexe hox a cette effet) !
Marsh Posté le 30-08-2007 à 09:04:39
Herbert de Vaucanson a écrit : Mon Dieu, le revoilà |
Youpi.
Marsh Posté le 22-09-2006 à 18:13:13
Salut
A chaque mutation des gènes qui sont impliqués dans le développement cellulaire, il y a eu un Boom sur la biodiversité suivit d'une sorte de décimination ! (comme pour le boom du Cambrien et des Arthropode )
Au début la terre était un environnement extrème ! (milieu propice aux développement des organismes comme les Archéobactéries)
Si on se base sur l'aspect évolutif de l'ingénérie génétique (réplication, gène de dévelippement et épissage du pré-l'ARNm ), qui est axée sur sur l'établissement et la stabilisation de la réplication de l'ADN (duplication et correction d'érreur), soit tout juste après l'événement de l'ARN auto-catalysant !
On peut supposé que l'ancètre (LUCA par exemple) devait dupliquer son ADN de manière continut (sans intron), un peut comme le fait les bactéries actuelles (polycistronique). On peut supposer alors que différentes source de mutation sur les gènes de l'ingénérie réplicative, ont alors donnés différente source évolutive, dont celle qui allait s'orienté vers les ancètres des Eubactéries et puis plus tart, celles des ancètres des archéobactéries.
Les pré-Archéobactérie aurait évolué par la suite vers deux souches : Les Archéobactéries actuelles et les Urcaryote ancestrale (ancètre des eucaryote). Par la suite avec différents mécanisme de fusion symbiotique impliquant Procaryote et Urcaryote, serait apparut les Eucaryotes.
C'est les différentes formes de mécanismes qui sont relié dans les différents processus d'épissage des pré-ARNm, qui me pousse a faire cette association (entre les Arché et les Eucaryote). Au début une forme de mutation par addition ou incersion sur l'ADN, aurait fait la promotion d'une nouvelle forme de cinergie bio-moléculaire génétique, qui ont favorisés les phénomènes d'épissage. Le tout aurait dut disparaitre par la suite par le mécanisme relié a la pression sélective d'alors. Mais certains événement environementale de contingence en aurait désider autrement, et favoriser l'émergance et l'évolution de ce grand facteur de diversification génétique. Puisque que les mécanisme d'épissage sont a l'origine d'un facteur croissant de la variabilité biogénétique et donc d'adaptation (un gène plusieurs protéines).
L'épissage est un épiphénomène génétique qui ce déroule en péréfirie immédiat de l'ADN, bien que les gènes qui sont impliquer dans la production des différents complexe protéinique (Spliceosomes + ARN small) sont sous le controle directe de l'expression génétique. Le tout forme une forme de cinergie biochimique qui est intervenut a une époque bien loingtaine (entre Luca et Archéobactérie). Mais cette nouvelle cinergie bio-moléculaire, allait devenir un facteur d'évolution principale, qui donna naissance aux Arché et au Eucaryote.
Voici un petit schéma pour illustrer mes propos !
Les gènes de polarisation de l'étape deux, seraient une modification évolutive et associative des gènes de Réplication et les ancètres des génes de segmentation de l'étape 3 suivante. De même pour l'étape 3 et 4 sur les gènes homéotique. A chacune de ces étapes, la vie sur terre aurait subit un boom sur la diversité du vivant, boom qui aurait été suivit peut de temps après, d'une sorte équilibre par décimination (pression sélective).
A chaques étape de cette ingénérie génétique évolutive des gènes de réplication et de développement, serait étroitement associé comme cause a une explosion évolutive de la variabilité et la diversité des organisme vivant qui ont marqués ces époques géologique.
Étape 1 : Explosion de la vie avec LUCA, le premier véritable cellule vivante doté de mécanisme de réplication. Un peut plus tard (quelque millions d'années) une branche se divise en 2 pour donner naissence aux Eubactéries ancestrale (ancètre des bactéries) et aux pré-Archéobactéries.
Étape 2 : Marque la naissence des gènes précurseurs de polarité, (impliquer plus tard dans le développement) et le début des gènes impliqués dans les différents phénomènes d'épissage (cinergie génétique de bouclage d'affinité biochimique complémentaire de l'activité réplicative de l'ADN-ARN-Protéines de développement). Cette étape marque la naissence des véritables Archéobactéries. L'explosion de la diversité de ces organismes procaryotique, va favorise par la suite une division qui donnera naissence aux Urcaryotes (ancètre des Eucaryote actuelle). Les Urcaryote vont évoluer vers les Eucaryote par l'étabblissement des premier gène précurseure et intégrateur de segmentation. C'est l'époque du boom des protistes vers 900 millions d'années.
Étape 3 :Les gènes de polarisation et les gènes précurseurs de segmentation évolut (en dévelopant une sorte de cinergie biochimique coopérative sur le développement) et donne naissence au tout premier organisme métazoaire (multicellulaire). Ces organisme présente quelque axe de différenciation morphologique (comme les méduse, les éponge et autre). C'est le début et le boom des premier métazoaire a corps mous, vers 700 millions d'années.
Étape 4 : Apparition et évolution des gènes homéotique, qui a caractérisé le boom et l'explosion de la variété biologique du cambrien, voilà 505-543 millions d'années. Étape de l'évolution qui est associé à la croissence des grands plans d'organisation ou organisateurs des organismes vivant (phylum), comme l'explosion de la variété des arthropodes de cette époque. Plus d'une vingtaine d'embrenchement d'Arthropode ont existé au cambien inférieur, mais juste une a évolué jusqu'a notre époque, et une dizaine de phylum différents d'animaux, on carrémant disparut de la surface du globe a cette époque !
Chaque boom est suivit d'une perte progressive, accause des ajustement qui sont reliés aux différents mécanismes de l'évolution-adaptation, et qui sont potés sur la pression sélective naturelle des espèces, mais aussi entre-mélé de différents processus de contingence. (mécanisme de décimination comme les chute de météorites, grande activité volcanique par la colision des plaques et autre)
Venez en discuter et émetre vos opignons !
Gilles